Le directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), Pascal Lamy, estime qu'il faudra compter environ 18 mois entre la reprise économique mondiale et la relance du marché de l'emploi. "Entre la reprise et l'amélioration du marché de l'emploi, il se passera du temps", a-t-il déclaré , évoquant une période "de l'ordre de 18 mois". "Il est probable que la croissance de demain ne se fera pas avec les mêmes emplois que la croissance d'hier et ces ajustements prennent du temps", a-t-il souligné. En matière de relance, Pascal Lamy a dit noter "des différences importantes selon les continents". "Evidemment ça va plus vite et plus fort en Asie qu'aux Etats-Unis, et ça va probablement plus vite et plus fort aux Etats-Unis qu'en Europe", a-t-il résumé. Aux yeux du directeur général de l'OMC, l'Europe "a de gros efforts à faire en matière d'innovation, d'éducation de formation". "L'avenir de l'Europe dans la division internationale du travail, c'est la qualité, c'est la valeur ajoutée, la technologie, ce sont des choses qui impliquent un substrat de compétence de qualification, qui à mon avis est encore un peu problématique", a-t-il estimé. Le directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), Pascal Lamy, estime qu'il faudra compter environ 18 mois entre la reprise économique mondiale et la relance du marché de l'emploi. "Entre la reprise et l'amélioration du marché de l'emploi, il se passera du temps", a-t-il déclaré , évoquant une période "de l'ordre de 18 mois". "Il est probable que la croissance de demain ne se fera pas avec les mêmes emplois que la croissance d'hier et ces ajustements prennent du temps", a-t-il souligné. En matière de relance, Pascal Lamy a dit noter "des différences importantes selon les continents". "Evidemment ça va plus vite et plus fort en Asie qu'aux Etats-Unis, et ça va probablement plus vite et plus fort aux Etats-Unis qu'en Europe", a-t-il résumé. Aux yeux du directeur général de l'OMC, l'Europe "a de gros efforts à faire en matière d'innovation, d'éducation de formation". "L'avenir de l'Europe dans la division internationale du travail, c'est la qualité, c'est la valeur ajoutée, la technologie, ce sont des choses qui impliquent un substrat de compétence de qualification, qui à mon avis est encore un peu problématique", a-t-il estimé.