Plusieurs centaines de terres agricoles ont été sauvées de l'urbanisation galopante dans la capitale à Zeralda, Aïn Benian, Cheraga, Staoueli, Dely Brahim... Cela permettra la relance de l'agriculture, secteur vital s'il en est. Plusieurs centaines de terres agricoles ont été sauvées de l'urbanisation galopante dans la capitale à Zeralda, Aïn Benian, Cheraga, Staoueli, Dely Brahim... Cela permettra la relance de l'agriculture, secteur vital s'il en est. La direction de l‘agriculture d‘Alger annonce la récupération de plus de 700 hectares de terres agricoles sur un total de 1.700, qui étaient tous destinés à l‘urbanisation depuis 2003. Ces terres agricoles ont été transformées en terrains urbanisables, en dépit du bon sens, suite à l‘extension urbaine effrénée connue par plusieurs villes et à un degré bien plus dramatique par la capitale. L‘instruction 15 de décembre 2005 ne permet plus, dans les plans d‘urbanisation, que l‘intégration des terrains agricoles de faible production et interdit formellement l‘urbanisation des terrains agricoles productifs. Forte de cette loi la direction de l‘agriculture d‘Alger a donc pu ainsi récupérer plusieurs hectares à Zéralda, Aïn Benian, Chéraga, Staoueli, Dely Brahim... pour ne citer que ces localités. Il faut dire que les parcelles agricoles situées à proximité des agglomérations urbaines, dans plusieurs localités algéroises, ont connu une grave et coupable violation de leurs fonciers agricoles. Pour mener à bien cette opération, une enveloppe de huit cents millions de dinars a été dégagée, apprend-on auprès de la direction de l‘agriculture. Il est à noter que le détournement de ces terrains entre, le plus souvent, dans le cadre de projets d‘utilité publique, à l‘instar de la réalisation d‘autoroutes, de structures étatiques ou autres infrastructures, pour une moyenne de 30%, apprend-on de même source. Souvent l‘urbanisation se fait de façon anarchique par des personnes qui s‘installent sur des terres fertiles et y érigent leurs toits en ignorant les dégâts qu‘ils causent à la terre nourricière. Il est à noter aussi que plus de 151 exploitations agricoles, individuelles et collectives, ont été dédommagées par l‘Etat suite à l‘intégration de leurs terrains dans les plans d‘urbanisation et les extensions de villes, et ce pour un montant de 500 millions de dinars au moment où le reste sera remboursé au fur et à mesure. Il est à signaler aussi que plus de mille hectares de terres, classées comme étant à bas rendement agricole, ont été également récupérées en dehors des zones urbaines de la capitale pour être "ré"exploitées dans leur première et essentielle vocation. Une large opération d‘amélioration des terres, classées improductives, devait également bientôt être lancée dans les communes à caractère rural de la capitale en collaboration avec les autorités locales pour encourager l‘activité agricole et les exploitants aussi bien individuels que collectifs à travailler la terre et enrichir ce secteur important, source essentielle pour l‘autosuffisance alimentaire et de ce fait la survie humaine et le développement durable. La direction de l‘agriculture d‘Alger annonce la récupération de plus de 700 hectares de terres agricoles sur un total de 1.700, qui étaient tous destinés à l‘urbanisation depuis 2003. Ces terres agricoles ont été transformées en terrains urbanisables, en dépit du bon sens, suite à l‘extension urbaine effrénée connue par plusieurs villes et à un degré bien plus dramatique par la capitale. L‘instruction 15 de décembre 2005 ne permet plus, dans les plans d‘urbanisation, que l‘intégration des terrains agricoles de faible production et interdit formellement l‘urbanisation des terrains agricoles productifs. Forte de cette loi la direction de l‘agriculture d‘Alger a donc pu ainsi récupérer plusieurs hectares à Zéralda, Aïn Benian, Chéraga, Staoueli, Dely Brahim... pour ne citer que ces localités. Il faut dire que les parcelles agricoles situées à proximité des agglomérations urbaines, dans plusieurs localités algéroises, ont connu une grave et coupable violation de leurs fonciers agricoles. Pour mener à bien cette opération, une enveloppe de huit cents millions de dinars a été dégagée, apprend-on auprès de la direction de l‘agriculture. Il est à noter que le détournement de ces terrains entre, le plus souvent, dans le cadre de projets d‘utilité publique, à l‘instar de la réalisation d‘autoroutes, de structures étatiques ou autres infrastructures, pour une moyenne de 30%, apprend-on de même source. Souvent l‘urbanisation se fait de façon anarchique par des personnes qui s‘installent sur des terres fertiles et y érigent leurs toits en ignorant les dégâts qu‘ils causent à la terre nourricière. Il est à noter aussi que plus de 151 exploitations agricoles, individuelles et collectives, ont été dédommagées par l‘Etat suite à l‘intégration de leurs terrains dans les plans d‘urbanisation et les extensions de villes, et ce pour un montant de 500 millions de dinars au moment où le reste sera remboursé au fur et à mesure. Il est à signaler aussi que plus de mille hectares de terres, classées comme étant à bas rendement agricole, ont été également récupérées en dehors des zones urbaines de la capitale pour être "ré"exploitées dans leur première et essentielle vocation. Une large opération d‘amélioration des terres, classées improductives, devait également bientôt être lancée dans les communes à caractère rural de la capitale en collaboration avec les autorités locales pour encourager l‘activité agricole et les exploitants aussi bien individuels que collectifs à travailler la terre et enrichir ce secteur important, source essentielle pour l‘autosuffisance alimentaire et de ce fait la survie humaine et le développement durable.