Ahmed Ouyahia, SG du RND : «La lutte contre le fléau de la corruption nécessite, à chaque fois, des moyens supplémentaires, qu'il s'agisse de moyens de police ou d'un arsenal législatif adapté». Abdelaziz Belkhadem, SG du FLN : «Il y a plusieurs types de corruption : détournement, vol, favoritisme, délit d'initiés, etc. Si le problème est un problème de vol, il faut le traiter comme tel, si c'est du favoritisme, il faut le traiter comme tel et ainsi de suite. Oui, il faut punir et le corrompu et le corrupteur». Bouguerra Soltani, président du MSP : «Le contrôle de tout mouvement des réformes au scanner est une chose positive. Cependant, ce contrôle perd de sa force si celui qui manipule le scanner est corrompu ou impliqué dans ce qu'il voit défiler devant ses yeux (…) à quoi servent les réformes si les mesures de leur protection sont viciées?» Louisa Hanoune, SG du PT : «Cette cascade d'affaires ne nuit pas à l'image du pays, mais au contraire elle réhabilite l'Etat, à condition qu'elle ne se limite pas à de la poudre aux yeux, mais qu'elle aille plus loin.» Moussa Touati, président du FNA : «L'Etat doit, aujourd'hui, instituer des tribunaux spéciaux qui seront chargés de lutter contre la corruption sous toutes ses formes. Il est nécessaire de renforcer les prérogatives du parquet afin qu'il s'autosaisisse à la moindre information.» Saïd Sadi, président du RCD : «La corruption est bel et bien la conséquence directe, mécanique et inévitable de cette centralisation, une centralisation qui n'est autre que le coffre-fort de la corruption.» Ahmed Ouyahia, SG du RND : «La lutte contre le fléau de la corruption nécessite, à chaque fois, des moyens supplémentaires, qu'il s'agisse de moyens de police ou d'un arsenal législatif adapté». Abdelaziz Belkhadem, SG du FLN : «Il y a plusieurs types de corruption : détournement, vol, favoritisme, délit d'initiés, etc. Si le problème est un problème de vol, il faut le traiter comme tel, si c'est du favoritisme, il faut le traiter comme tel et ainsi de suite. Oui, il faut punir et le corrompu et le corrupteur». Bouguerra Soltani, président du MSP : «Le contrôle de tout mouvement des réformes au scanner est une chose positive. Cependant, ce contrôle perd de sa force si celui qui manipule le scanner est corrompu ou impliqué dans ce qu'il voit défiler devant ses yeux (…) à quoi servent les réformes si les mesures de leur protection sont viciées?» Louisa Hanoune, SG du PT : «Cette cascade d'affaires ne nuit pas à l'image du pays, mais au contraire elle réhabilite l'Etat, à condition qu'elle ne se limite pas à de la poudre aux yeux, mais qu'elle aille plus loin.» Moussa Touati, président du FNA : «L'Etat doit, aujourd'hui, instituer des tribunaux spéciaux qui seront chargés de lutter contre la corruption sous toutes ses formes. Il est nécessaire de renforcer les prérogatives du parquet afin qu'il s'autosaisisse à la moindre information.» Saïd Sadi, président du RCD : «La corruption est bel et bien la conséquence directe, mécanique et inévitable de cette centralisation, une centralisation qui n'est autre que le coffre-fort de la corruption.»