Les dirigeants rassemblés à Washington pour les réunions de printemps du Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale ont adressé un message très clair à la Grèce : pas de prêts d'urgence si Athènes n'adopte pas des mesures d'austérité. Les dirigeants rassemblés à Washington pour les réunions de printemps du Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale ont adressé un message très clair à la Grèce : pas de prêts d'urgence si Athènes n'adopte pas des mesures d'austérité. Le ministre grec des Finances George Papaconstantinou a eu une série d'entretiens au siège du FMI, alors qu'une équipe de cette institution financière travaillait avec des responsables gouvernementaux à Athènes sur la conclusion d'un accord visant à débloquer les fonds demandés. M. Papaconstantinou a rencontré le directeur général du FMI Dominique Strauss-Kahn et le commissaire européen aux Affaires monétaires Olli Rehn. Il s'est aussi entretenu avec le secrétaire américain au Trésor Timothy Geithner et plusieurs hauts responsables de l'Union européenne. Selon le ministère du Trésor, Timothy Geithner a encouragé la Grèce et ses partenaires au sein de l'UE et du FMI à mettre en place rapidement "une série d'importantes réformes économiques et un soutien financier concret et substantiel". La Grèce espère obtenir des prêts s'élevant à environ 30 milliards d'euros de pays européens qui, comme la Grèce, utilisent l'euro comme monnaie, ainsi que 10 milliards d'euros du FMI. Les ministres des Finances réunis à Washington ont affirmé que leur soutien aurait une contrepartie : "qu'Athènes remette en ordre ses finances". La crise grecque dominait ce week-end les discussions entre les représentants des 186 pays-membres du FMI et de la Banque mondiale. Etranglée par sa dette vertigineuse et par un coût du crédit s'envolant sur les marchés, Athènes a réclamé vendredi le déclenchement du mécanisme d'aide d'urgence conjoint EU-FMI promis pour sortir le pays d'une grave crise budgétaire. Le Premier ministre grec Georges Papandréou a déclaré dans une intervention télévisée que son pays était comme "un bateau qui coule". La Grèce met en place un programme d'austérité qui réduit les salaires des fonctionnaires, gèle les retraites et augmente les impôts. Mais ce pays devra affronter des années de rigueur et de doutes sur ses finances à long terme. Le ministre grec des Finances George Papaconstantinou a eu une série d'entretiens au siège du FMI, alors qu'une équipe de cette institution financière travaillait avec des responsables gouvernementaux à Athènes sur la conclusion d'un accord visant à débloquer les fonds demandés. M. Papaconstantinou a rencontré le directeur général du FMI Dominique Strauss-Kahn et le commissaire européen aux Affaires monétaires Olli Rehn. Il s'est aussi entretenu avec le secrétaire américain au Trésor Timothy Geithner et plusieurs hauts responsables de l'Union européenne. Selon le ministère du Trésor, Timothy Geithner a encouragé la Grèce et ses partenaires au sein de l'UE et du FMI à mettre en place rapidement "une série d'importantes réformes économiques et un soutien financier concret et substantiel". La Grèce espère obtenir des prêts s'élevant à environ 30 milliards d'euros de pays européens qui, comme la Grèce, utilisent l'euro comme monnaie, ainsi que 10 milliards d'euros du FMI. Les ministres des Finances réunis à Washington ont affirmé que leur soutien aurait une contrepartie : "qu'Athènes remette en ordre ses finances". La crise grecque dominait ce week-end les discussions entre les représentants des 186 pays-membres du FMI et de la Banque mondiale. Etranglée par sa dette vertigineuse et par un coût du crédit s'envolant sur les marchés, Athènes a réclamé vendredi le déclenchement du mécanisme d'aide d'urgence conjoint EU-FMI promis pour sortir le pays d'une grave crise budgétaire. Le Premier ministre grec Georges Papandréou a déclaré dans une intervention télévisée que son pays était comme "un bateau qui coule". La Grèce met en place un programme d'austérité qui réduit les salaires des fonctionnaires, gèle les retraites et augmente les impôts. Mais ce pays devra affronter des années de rigueur et de doutes sur ses finances à long terme.