Les cours du pétrole étaient stables, hier à l'ouverture des marchés après une poussée de près de 88 dollars le baril à Londres, les cours puisant leur force dans l'anticipation d'une accélération de la reprise économique, notamment après de très bons chiffres de l'immobilier américain. Les cours du brut, qui avaient été dopés vendredi par de très bons chiffres de l'immobilier américain, ont continué sur leur lancée lundi matin et se sont approchés des 88 dollars à Londres, touchant un plus haut depuis 19 mois (octobre 2008). Vendredi, le marché avait déjà gagné environ un dollar et demi après la publication des ventes de logements neufs aux Etats-Unis, interprétés comme un signe d'accélération de la reprise économique. En Europe, un bond de l'indice Ifo, principal indice de confiance en Allemagne, avait également participé à l'optimisme sur la reprise économique. Par ailleurs, un écart de prix "anormal" persistait lundi entre le pétrole coté à Londres et son homologue new-yorkais. Alors que d'ordinaire le brut léger texan (WTI), plus léger que le Brent de Londres, se vend plus cher, c'est actuellement le contraire, en raison de l'ampleur des stocks aux Etats-Unis. "Le WTI est à la traîne derrière le Brent, car celui-ci est déprimé par le niveau des réserves du Midwest américain, qui ont atteint leur niveau le plus élevé en 20 ans", rappelaient les analystes. Par ailleurs, il est à relever que le ministre koweïtien du Pétrole Ahmad Abdallah Al-Sabah, a indiqué lundi que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) interviendrait pour augmenter son offre si les prix venaient à dépasser la barre des 100 dollars le baril, estimant que les prix actuels n'entravaient pas la reprise économique. Autre annonce de nature à soulager les inquiétudes sur les approvisionnements, l'oléoduc du nord de l'Irak conduisant au terminal turc de Ceyhan a rouvert lundi, quatre jours après sa fermeture à la suite d'un acte de sabotage, a affirmé le porte-parole du ministère du Pétrole. Les cours du pétrole étaient stables, hier à l'ouverture des marchés après une poussée de près de 88 dollars le baril à Londres, les cours puisant leur force dans l'anticipation d'une accélération de la reprise économique, notamment après de très bons chiffres de l'immobilier américain. Les cours du brut, qui avaient été dopés vendredi par de très bons chiffres de l'immobilier américain, ont continué sur leur lancée lundi matin et se sont approchés des 88 dollars à Londres, touchant un plus haut depuis 19 mois (octobre 2008). Vendredi, le marché avait déjà gagné environ un dollar et demi après la publication des ventes de logements neufs aux Etats-Unis, interprétés comme un signe d'accélération de la reprise économique. En Europe, un bond de l'indice Ifo, principal indice de confiance en Allemagne, avait également participé à l'optimisme sur la reprise économique. Par ailleurs, un écart de prix "anormal" persistait lundi entre le pétrole coté à Londres et son homologue new-yorkais. Alors que d'ordinaire le brut léger texan (WTI), plus léger que le Brent de Londres, se vend plus cher, c'est actuellement le contraire, en raison de l'ampleur des stocks aux Etats-Unis. "Le WTI est à la traîne derrière le Brent, car celui-ci est déprimé par le niveau des réserves du Midwest américain, qui ont atteint leur niveau le plus élevé en 20 ans", rappelaient les analystes. Par ailleurs, il est à relever que le ministre koweïtien du Pétrole Ahmad Abdallah Al-Sabah, a indiqué lundi que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) interviendrait pour augmenter son offre si les prix venaient à dépasser la barre des 100 dollars le baril, estimant que les prix actuels n'entravaient pas la reprise économique. Autre annonce de nature à soulager les inquiétudes sur les approvisionnements, l'oléoduc du nord de l'Irak conduisant au terminal turc de Ceyhan a rouvert lundi, quatre jours après sa fermeture à la suite d'un acte de sabotage, a affirmé le porte-parole du ministère du Pétrole.