Le ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale établie à l'étranger a de nouveau mis en exergue le combat mené par l'Algérie contre le terrorisme à l'occasion de l'ouverture, hier, à Alger du colloque international sur «les victimes du terrorisme et la réconciliation nationale». Le peuple algérien a combattu tout seul le terrorisme a, en effet, indiqué Djamel Ould Abbès avant de rendre un hommage appuyé à l'ensemble des forces vives du pays qui, dira-t-il, «ont résisté farouchement comme ils l'avaient fait pendant la guerre de Libération nationale». Le ministre, qui prononçait une allocution d'ouverture des travaux d'un colloque international portant sur le thème «Les victimes du terrorisme et la réconciliation nationale», est revenu sur le aspects positifs de la politique de réconciliation nationale initiée par le Président Abdelaziz Bouteflika. Dans ce cadre, Djamel Ould Abbès a été on ne peut plus clair puisque, pour lui, c'est «grâce à la volonté du président de la République et à travers la loi sur la Concorde civile et la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, que l'Algérie a retrouvé ses esprits et sa place dans le concert des nations». Le ministre, dont le département ministériel gère de nombreux volets liés à l'application justement des textes de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale dont notamment la partie relative à l'indemnisation des victimes du terrorisme, a de même indiqué que «l'Algérie est aujourd'hui courtisée au niveau international pour son expérience dans la lutte antiterroriste». De son côté la présidente de l'Organisation nationale des victimes du terrorisme (ONVT), qui a organisée cette rencontre internationale à laquelle ont pris part des personnalités nationales et internationales, a rappelé le soutien de son organisation à la politique de la réconciliation nationale a-t-elle indiqué, qui «découle de la conviction de la majorité des victimes du terrorisme». Fatma-Zohra Flici a affirmé que cette politique a donné de probants fruits en considérant que «l'expérience algérienne est même devenue visible» en faisant cas des avancées réalisés en matière de développement. En d'autres termes, pour cette victime du terrorisme, la réconciliation nationale, qui a grandement contribué à réduire la menace terroriste puisque des milliers de terroristes ont déposé les armes et ont bénéficié des dispositions de la Charte pour la paix, a favorisé le développement du pays et le retour de la paix et de la sécurité. Tidjani-Serpos Nouréini, directeur général adjoint de l'Unesco, a, lui, déclaré que «le thème de la réconciliation nationale porte une invitation à dépasser le repli sur soi, dans ce sens où la société est mise dans une posture où les cultures de déchéance et de haine doivent céder la place à une paix restaurée». C'est pourquoi il a estimé que l'ONVT, en organisant cette rencontre, «prouve le rôle actif de la société civile dans la restauration de la culture de la paix dans la société». Pour sa part, le président du comité Europe-Afrique de l'Union africaine, Johnson Keneth, a souligné que «L'Afrique, au même titre que les autres continents, et face au terrorisme, au crime organisé et aux question liées au développement durable est appelée à relever ces défis». Notons que les travaux de ce colloque, qui se sont organisés en plusieurs ateliers, s'achèveront aujourd'hui. Le ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale établie à l'étranger a de nouveau mis en exergue le combat mené par l'Algérie contre le terrorisme à l'occasion de l'ouverture, hier, à Alger du colloque international sur «les victimes du terrorisme et la réconciliation nationale». Le peuple algérien a combattu tout seul le terrorisme a, en effet, indiqué Djamel Ould Abbès avant de rendre un hommage appuyé à l'ensemble des forces vives du pays qui, dira-t-il, «ont résisté farouchement comme ils l'avaient fait pendant la guerre de Libération nationale». Le ministre, qui prononçait une allocution d'ouverture des travaux d'un colloque international portant sur le thème «Les victimes du terrorisme et la réconciliation nationale», est revenu sur le aspects positifs de la politique de réconciliation nationale initiée par le Président Abdelaziz Bouteflika. Dans ce cadre, Djamel Ould Abbès a été on ne peut plus clair puisque, pour lui, c'est «grâce à la volonté du président de la République et à travers la loi sur la Concorde civile et la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, que l'Algérie a retrouvé ses esprits et sa place dans le concert des nations». Le ministre, dont le département ministériel gère de nombreux volets liés à l'application justement des textes de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale dont notamment la partie relative à l'indemnisation des victimes du terrorisme, a de même indiqué que «l'Algérie est aujourd'hui courtisée au niveau international pour son expérience dans la lutte antiterroriste». De son côté la présidente de l'Organisation nationale des victimes du terrorisme (ONVT), qui a organisée cette rencontre internationale à laquelle ont pris part des personnalités nationales et internationales, a rappelé le soutien de son organisation à la politique de la réconciliation nationale a-t-elle indiqué, qui «découle de la conviction de la majorité des victimes du terrorisme». Fatma-Zohra Flici a affirmé que cette politique a donné de probants fruits en considérant que «l'expérience algérienne est même devenue visible» en faisant cas des avancées réalisés en matière de développement. En d'autres termes, pour cette victime du terrorisme, la réconciliation nationale, qui a grandement contribué à réduire la menace terroriste puisque des milliers de terroristes ont déposé les armes et ont bénéficié des dispositions de la Charte pour la paix, a favorisé le développement du pays et le retour de la paix et de la sécurité. Tidjani-Serpos Nouréini, directeur général adjoint de l'Unesco, a, lui, déclaré que «le thème de la réconciliation nationale porte une invitation à dépasser le repli sur soi, dans ce sens où la société est mise dans une posture où les cultures de déchéance et de haine doivent céder la place à une paix restaurée». C'est pourquoi il a estimé que l'ONVT, en organisant cette rencontre, «prouve le rôle actif de la société civile dans la restauration de la culture de la paix dans la société». Pour sa part, le président du comité Europe-Afrique de l'Union africaine, Johnson Keneth, a souligné que «L'Afrique, au même titre que les autres continents, et face au terrorisme, au crime organisé et aux question liées au développement durable est appelée à relever ces défis». Notons que les travaux de ce colloque, qui se sont organisés en plusieurs ateliers, s'achèveront aujourd'hui.