Lors de la première session ordinaire 2010 de l'APW, qui s'ést tenue la semaine écoulée, des élus avaient saisi l'opportunité de l'ordre du jour, incluant le dossier de l'habitat, pour exprimer de légitimes préoccupations citoyennes. L'un d'eux s'exclame : "Des logements sociaux à caractère locatif, attribués en octobre dernier à des familles censées être méritantes, ont été revendus par leurs bénéficiaires contre la somme de 200 à 250 millions de centimes ! Certains les ont loués pour des contrats de trois ans et ont empoché des dizaines de millions !" Ce sujet sensible et brûlant a toujours suscité l'intérêt, l'implication et parfois l'indignation et la colère de la population en quête d'un toit décent. L'affichage des listes des pré-bénéficiaires, appréhendé par les responsables locaux, avait parfois engendré des mouvements de colère et le dépot de centaines de recours auprès de la commission de wilaya. Un locataire de l'APW clame : "Ces logements sociaux destinés à des familles dans le besoin et hébergées dans des conditions lamentables sont parfois attribués à des gens sans foi qui s'adonnent au business et s'enrichissent illégalement !". Des exemples multiples sont cités au niveau des communes de Guelma, Oued-Zenati, Bouchegouf, Héliopolis, Hammam Debagh, Boumahra et autres et les auteurs de ces délits agissent dans l'impunité, ce qui révolte les mal-logés. D'autre part, les intervenants s'étonnent que des logements distribués voilà quelques mois, voire quelques années , restent mystérieusement inoccupés alors qu'une crise de logement affecte la wilaya et le territoire national ! Le wali a concédé du bien-fondé de ces interventions et a déploré ces agissements inacceptables alors que les pouvoirs publics s'attellent à piloter d'ambitieux programmes d'habitat dans toutes les régions du pays et à allouer des enveloppes financières faramineuses. Il poursuit : "Je suis perpétuellement harcelé par des citoyens qui réclament un logement en invoquant divers motifs. J'ai fermement instruit les chefs de daïra et présidents des commissions d'attribution d'être vigilants et de ne choisir que ceux qui sont mal logés et qui n'ont que de faibles revenus, mais force est de constater que certains bénéficiaires sont malhonnètes !" Le chef de l'exécutif révèle que selon les déclarations des citoyens reçus en audience, au moins 20% des logements distribués récemment à Oued-Zenati auraient été vendus ! En conséquence, il annonce que le directeur général de l'OPGI a été chargé de recenser tous les cas délictuels et à cet égard, une commission ad-hoc entamera incessamment cette mission pour débusquer les coupables de ces agissements indignes. Le wali est catégorique : la justice sera saisie et la loi sera appliquée avec rigueur. Lors de la première session ordinaire 2010 de l'APW, qui s'ést tenue la semaine écoulée, des élus avaient saisi l'opportunité de l'ordre du jour, incluant le dossier de l'habitat, pour exprimer de légitimes préoccupations citoyennes. L'un d'eux s'exclame : "Des logements sociaux à caractère locatif, attribués en octobre dernier à des familles censées être méritantes, ont été revendus par leurs bénéficiaires contre la somme de 200 à 250 millions de centimes ! Certains les ont loués pour des contrats de trois ans et ont empoché des dizaines de millions !" Ce sujet sensible et brûlant a toujours suscité l'intérêt, l'implication et parfois l'indignation et la colère de la population en quête d'un toit décent. L'affichage des listes des pré-bénéficiaires, appréhendé par les responsables locaux, avait parfois engendré des mouvements de colère et le dépot de centaines de recours auprès de la commission de wilaya. Un locataire de l'APW clame : "Ces logements sociaux destinés à des familles dans le besoin et hébergées dans des conditions lamentables sont parfois attribués à des gens sans foi qui s'adonnent au business et s'enrichissent illégalement !". Des exemples multiples sont cités au niveau des communes de Guelma, Oued-Zenati, Bouchegouf, Héliopolis, Hammam Debagh, Boumahra et autres et les auteurs de ces délits agissent dans l'impunité, ce qui révolte les mal-logés. D'autre part, les intervenants s'étonnent que des logements distribués voilà quelques mois, voire quelques années , restent mystérieusement inoccupés alors qu'une crise de logement affecte la wilaya et le territoire national ! Le wali a concédé du bien-fondé de ces interventions et a déploré ces agissements inacceptables alors que les pouvoirs publics s'attellent à piloter d'ambitieux programmes d'habitat dans toutes les régions du pays et à allouer des enveloppes financières faramineuses. Il poursuit : "Je suis perpétuellement harcelé par des citoyens qui réclament un logement en invoquant divers motifs. J'ai fermement instruit les chefs de daïra et présidents des commissions d'attribution d'être vigilants et de ne choisir que ceux qui sont mal logés et qui n'ont que de faibles revenus, mais force est de constater que certains bénéficiaires sont malhonnètes !" Le chef de l'exécutif révèle que selon les déclarations des citoyens reçus en audience, au moins 20% des logements distribués récemment à Oued-Zenati auraient été vendus ! En conséquence, il annonce que le directeur général de l'OPGI a été chargé de recenser tous les cas délictuels et à cet égard, une commission ad-hoc entamera incessamment cette mission pour débusquer les coupables de ces agissements indignes. Le wali est catégorique : la justice sera saisie et la loi sera appliquée avec rigueur.