L'association des journalistes et correspondants de presse de la wilaya de Béjaïa compte marquer la Journée internationale de la liberté de la presse avec des personnalités bien connues. Il s'agit de Maître Ali Yahia Abdenour, président d'honneur de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH), et le professeur Amar Belhimer, journaliste et chroniqueur dans Le Soir d'Algérie. Ces derniers vont animer des conférences-débats sur la liberté de la presse en Algérie et le délit de presse en général, au niveau de la maison de la culture de Béjaïa aujourd'hui à partir de 14h. Il y a lieu de noter que des conférences ont été animées, avant-hier, par Omar Belhouchet, Zoubir Suici et Nadir Bensabaâ sur le même thème au niveau du Théâtre régional de Béjaïa sur invitation d'une autre association de journalistes et correspondants de Béjaïa. Lesquels s'étaient abstenus de rejoindre de nouveau l'AJSB lors de sa dernière assemblée générale tenue en été dernier. Une réunion qui avait vu la relance de cette association née en 93 et qui est restée presque inactive depuis, sinon durant de longues années. Ces derniers n'avaient pas hésité de tirer sur leurs confrères pour des raisons purement «subjectives et déguisées», selon des confrères visés. Par ailleurs, on peut noter aussi les conférences-débats animées par Benyoucef Oaudia et Mohamed Boulahrouz, respectivement journaliste à l'ENTV et à la Chaîne III sur «le mouvement sportif national» et «la relation de la presse et du mouvement sportif à Béjaïa». Cette action est organisée par l'association des journalistes et correspondants de la presse sportive à Béjaïa. C'est dire, en fait, que la presse algérienne doit d'abord exorciser ses démons récalcitrants. L'association des journalistes et correspondants de presse de la wilaya de Béjaïa compte marquer la Journée internationale de la liberté de la presse avec des personnalités bien connues. Il s'agit de Maître Ali Yahia Abdenour, président d'honneur de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH), et le professeur Amar Belhimer, journaliste et chroniqueur dans Le Soir d'Algérie. Ces derniers vont animer des conférences-débats sur la liberté de la presse en Algérie et le délit de presse en général, au niveau de la maison de la culture de Béjaïa aujourd'hui à partir de 14h. Il y a lieu de noter que des conférences ont été animées, avant-hier, par Omar Belhouchet, Zoubir Suici et Nadir Bensabaâ sur le même thème au niveau du Théâtre régional de Béjaïa sur invitation d'une autre association de journalistes et correspondants de Béjaïa. Lesquels s'étaient abstenus de rejoindre de nouveau l'AJSB lors de sa dernière assemblée générale tenue en été dernier. Une réunion qui avait vu la relance de cette association née en 93 et qui est restée presque inactive depuis, sinon durant de longues années. Ces derniers n'avaient pas hésité de tirer sur leurs confrères pour des raisons purement «subjectives et déguisées», selon des confrères visés. Par ailleurs, on peut noter aussi les conférences-débats animées par Benyoucef Oaudia et Mohamed Boulahrouz, respectivement journaliste à l'ENTV et à la Chaîne III sur «le mouvement sportif national» et «la relation de la presse et du mouvement sportif à Béjaïa». Cette action est organisée par l'association des journalistes et correspondants de la presse sportive à Béjaïa. C'est dire, en fait, que la presse algérienne doit d'abord exorciser ses démons récalcitrants.