Intervenant devant les cadres de l'Office national de recherche géologique et minière (ORGM) en présence du directeur des mines au niveau du ministère de l'Energie et de Ali Rézaïguia représentant du ministre de l'Energie, Sidi Saïd a annoncé que le décret portant sur la création d'un grand groupe minier public, dénommé «Manadjem El Djazair» (Mines d'Algérie), sera «bientôt promulgué». Intervenant devant les cadres de l'Office national de recherche géologique et minière (ORGM) en présence du directeur des mines au niveau du ministère de l'Energie et de Ali Rézaïguia représentant du ministre de l'Energie, Sidi Saïd a annoncé que le décret portant sur la création d'un grand groupe minier public, dénommé «Manadjem El Djazair» (Mines d'Algérie), sera «bientôt promulgué». Le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi Saïd, a présidé, jeudi dernier à Boumerdès, les festivités commémoratives du 44e anniversaire de la nationalisation du secteur des Mines qui s'est effectué en 1966. Intervenant devant les cadres de l'Office national de recherche géologique et minière (ORGM) en présence du directeur des Mines au niveau du ministère de l'Energie et de Ali Rézaïguia représentant du ministre de l'Energie, Sidi Saïd a annoncé que le décret portant sur la création d'un grand groupe minier public, dénommé «Manadjem El Djazair» (Mines d'Algérie), sera «bientôt promulgué ». Ce nouveau pôle sera formé, essentiellement, des entreprises publiques et aura pour mission de «créer une valeur ajoutée dans divers domaines, que ce soit dans le phosphate, le plomb, le zinc, les agrégats, le sel ou les autres produits industriels». Il sera doté d'institutions et de locaux «dignes des grandes entreprises». Le SG de l'UGTA s'est engagé personnellement à intervenir pour la promulgation du décret de naissance de ce groupe. «Tous les moyens, notamment financiers, seront donnés à ce groupe pour hisser le secteur des mines au niveau qui est le sien», a assuré Sidi Saïd qui n'a pas exclu le recours, si nécessaire, au partenariat étranger. Par ailleurs, le directeur des Mines au niveau du ministère de l'Energie a affirmé que plus de trois cent quarante-cinq sites miniers ont été instaurés durant l'année 2009 après des opérations de vérification qui ont apporté une recette de plus de 2,13 milliards de dinars alors que les recettes totales engagées en 2009 s'élevèrent à 3,7 milliards de dinars dont 1,22 milliard ont été versés au fonds commun des collectivités locales ainsi qu'au développement de l'économie existentielle des communes. Il ajoutera que plus de 45 millions de dollars ont été investis dans le secteur des Mines au cours de l'année 2009 et plus de sept mille postes d'emploi ont été crées. Selon l'orateur, c'est grâce à la participation de plusieurs partenaires étrangers (allemands, français, chinois, égyptiens et canadiens), que de tels acquis ont pu être concrétisées. Il citera l'exemple des gisements gérés et l'exploitation des mines de Tella El Khedra et El Ouenza ainsi que l'exploitation des gisement de Oued Amizour gérés par des opérateurs australiens. Le représentant du ministre affirmera qu'un pôle industriel pour la fabrication des engrais a été mis en place au niveau de la région de Beb Lahssa et Bouchenouf et qui permettra de valoriser cette activité. Il souligne qu'à la faveur des réformes, introduites dans le secteur, une croissance importante a été enregistrée citant l'exemple des agrégats qui sont passé de quatre millions de m3 en 2001 à cinquante-cinq millions de m3 en 2009. Idem pour la production aurifère qui a connu «une montée en cadence». Le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi Saïd, a présidé, jeudi dernier à Boumerdès, les festivités commémoratives du 44e anniversaire de la nationalisation du secteur des Mines qui s'est effectué en 1966. Intervenant devant les cadres de l'Office national de recherche géologique et minière (ORGM) en présence du directeur des Mines au niveau du ministère de l'Energie et de Ali Rézaïguia représentant du ministre de l'Energie, Sidi Saïd a annoncé que le décret portant sur la création d'un grand groupe minier public, dénommé «Manadjem El Djazair» (Mines d'Algérie), sera «bientôt promulgué ». Ce nouveau pôle sera formé, essentiellement, des entreprises publiques et aura pour mission de «créer une valeur ajoutée dans divers domaines, que ce soit dans le phosphate, le plomb, le zinc, les agrégats, le sel ou les autres produits industriels». Il sera doté d'institutions et de locaux «dignes des grandes entreprises». Le SG de l'UGTA s'est engagé personnellement à intervenir pour la promulgation du décret de naissance de ce groupe. «Tous les moyens, notamment financiers, seront donnés à ce groupe pour hisser le secteur des mines au niveau qui est le sien», a assuré Sidi Saïd qui n'a pas exclu le recours, si nécessaire, au partenariat étranger. Par ailleurs, le directeur des Mines au niveau du ministère de l'Energie a affirmé que plus de trois cent quarante-cinq sites miniers ont été instaurés durant l'année 2009 après des opérations de vérification qui ont apporté une recette de plus de 2,13 milliards de dinars alors que les recettes totales engagées en 2009 s'élevèrent à 3,7 milliards de dinars dont 1,22 milliard ont été versés au fonds commun des collectivités locales ainsi qu'au développement de l'économie existentielle des communes. Il ajoutera que plus de 45 millions de dollars ont été investis dans le secteur des Mines au cours de l'année 2009 et plus de sept mille postes d'emploi ont été crées. Selon l'orateur, c'est grâce à la participation de plusieurs partenaires étrangers (allemands, français, chinois, égyptiens et canadiens), que de tels acquis ont pu être concrétisées. Il citera l'exemple des gisements gérés et l'exploitation des mines de Tella El Khedra et El Ouenza ainsi que l'exploitation des gisement de Oued Amizour gérés par des opérateurs australiens. Le représentant du ministre affirmera qu'un pôle industriel pour la fabrication des engrais a été mis en place au niveau de la région de Beb Lahssa et Bouchenouf et qui permettra de valoriser cette activité. Il souligne qu'à la faveur des réformes, introduites dans le secteur, une croissance importante a été enregistrée citant l'exemple des agrégats qui sont passé de quatre millions de m3 en 2001 à cinquante-cinq millions de m3 en 2009. Idem pour la production aurifère qui a connu «une montée en cadence».