Les habitants du bidonville Mahmoudi situé sur la route reliant la commune de Sidi Moussa à celle de Baraki à Alger, végètent depuis plus d'une vingtaine d'années dans une misère absolue en l'absence quasi-totale de la moindre commodité. Ce site, plus connu sous l'appellation de "Kaboul", reste oublié de tous dans des conditions moyennâgeuses. Ni eau, ni électricité, ni même de réseau d'assainissement, cette situation a engendré plusieurs graves maladies au sein des résidants de ce bidonville, à l'instar des maladies respiratoires, dermiques et de multiples allergies. L'insalubrité est tellement omniprésente qu'elle a fini par se confondre avec ce paysage cauchemardesque avec lequel les familles ont fini par se familiariser. L'autre problème, et non des moindres est celui des insectes, parasites et des animaux errants qui viennent faire des festins dans les décharges sauvages. Ces intrus exposent les habitants, notamment les enfants, aux dangers des morsures de chiens enragés errant librement entre les masures et les décharges. Cela sans parlé de la dégradation des accès menant à ce site de toutes les misères, ce qui contribue un peu plus à l'isolement des familles.Les premières victimes sont les écoliers qui souvent, lassés des nombreux problèmes, abandonnent l'école . C.K Les habitants du bidonville Mahmoudi situé sur la route reliant la commune de Sidi Moussa à celle de Baraki à Alger, végètent depuis plus d'une vingtaine d'années dans une misère absolue en l'absence quasi-totale de la moindre commodité. Ce site, plus connu sous l'appellation de "Kaboul", reste oublié de tous dans des conditions moyennâgeuses. Ni eau, ni électricité, ni même de réseau d'assainissement, cette situation a engendré plusieurs graves maladies au sein des résidants de ce bidonville, à l'instar des maladies respiratoires, dermiques et de multiples allergies. L'insalubrité est tellement omniprésente qu'elle a fini par se confondre avec ce paysage cauchemardesque avec lequel les familles ont fini par se familiariser. L'autre problème, et non des moindres est celui des insectes, parasites et des animaux errants qui viennent faire des festins dans les décharges sauvages. Ces intrus exposent les habitants, notamment les enfants, aux dangers des morsures de chiens enragés errant librement entre les masures et les décharges. Cela sans parlé de la dégradation des accès menant à ce site de toutes les misères, ce qui contribue un peu plus à l'isolement des familles.Les premières victimes sont les écoliers qui souvent, lassés des nombreux problèmes, abandonnent l'école . C.K