Le procureur de la République près le tribunal pénal de Boumerdès a requis, en fin de journée de mardi dernier, des peines allant d'1 an à 18 mois de prison ferme à l'encontre des dix-sept manifestants dont trois ont été arrêtés et placés sous mandat de dépôt. 18 mois de prison ferme, est la peine requise à l'encontre des trois manifestants arrêtés pour les chefs d'inculpation de «rassemblement et attroupement non autorisé, destruction de bien d'autrui et publics, agression des forces de l'ordre et détention d'armes blanches». Les trois mis en cause, faut-il le rappeler, ont été arrêtés au cours des émeutes déclenchées au lendemain de la mort de jeune Hamza Belarbi, dans la localité du Sahel à Zemmouri. Le jeune Hamza a succombé aux tirs d'une patrouille de police en mission commandée dans la région. Contre les autres manifestants, c'est-à-dire 14 personnes, le procureur de la République a requis une peine d'1 an de prison ferme pour les chefs d'accusation d'«attroupement non autorisé». Le verdict sera prononcé le 18 du mois en cours par le même tribunal. Tahar Ounas Le procureur de la République près le tribunal pénal de Boumerdès a requis, en fin de journée de mardi dernier, des peines allant d'1 an à 18 mois de prison ferme à l'encontre des dix-sept manifestants dont trois ont été arrêtés et placés sous mandat de dépôt. 18 mois de prison ferme, est la peine requise à l'encontre des trois manifestants arrêtés pour les chefs d'inculpation de «rassemblement et attroupement non autorisé, destruction de bien d'autrui et publics, agression des forces de l'ordre et détention d'armes blanches». Les trois mis en cause, faut-il le rappeler, ont été arrêtés au cours des émeutes déclenchées au lendemain de la mort de jeune Hamza Belarbi, dans la localité du Sahel à Zemmouri. Le jeune Hamza a succombé aux tirs d'une patrouille de police en mission commandée dans la région. Contre les autres manifestants, c'est-à-dire 14 personnes, le procureur de la République a requis une peine d'1 an de prison ferme pour les chefs d'accusation d'«attroupement non autorisé». Le verdict sera prononcé le 18 du mois en cours par le même tribunal. Tahar Ounas