Les efforts se multiplient, de par le monde, pour soutenir le peuple sahraoui dans sa lutte, de longue date, pour la décolonisation de ses territoires occupés. Les efforts se multiplient, de par le monde, pour soutenir le peuple sahraoui dans sa lutte, de longue date, pour la décolonisation de ses territoires occupés. En effet, une conférence internationale de la jeunesse et des étudiants solidaires avec le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination sous le thème «Jeunes et étudiants du monde pour la décolonisation du Sahara occidental», s'est tenue hier à Alger. La conférence, qui a eu lieu à l'université de Bouzaréah, a regroupé un nombre considérable de participants, notamment des délégations de plusieurs pays et continents. Cet évènement, qui coïncide avec le 37e anniversaire du déclenchement par le Front Polisario de la lutte armée contre l'occupation espagnole. Parmi les délégations présentes, la représentation sahraouie venue des camps de réfugiés sahraouis à Tindouf (Sud-Ouest algérien). D'autres jeunes et représentants sahraouis, qui, soulignons-le, ont bravé l'autorité coloniale marocaine, sont venus des territoires occupés prendre part à cette rencontre internationale. La délégation des activistes sahraouis des droits de l'Homme, qui, «en dépit la répression impitoyable et sanguinaire qui s'abat quotidiennement sur le territoire sahraoui, a bravé avec courage et détermination la redoutable machine policière du Maroc», a-t-on précisé, et ce pour participer à cette conférence. Pour rappel, une rencontre a eu lieu jeudi à Alger entre l'Union nationale des étudiants algériens (Unea), l'Union générale des étudiants libres (Ugel) et l'Union des étudiants sahraouis (UES), à l'occasion de la célébration du 37e anniversaire du déclenchement de la lutte armée du peuple sahraoui. Durant le séjour de la délégation des étudiants sahraouis, deux protocoles de coopération ont été signés entre l'UNEA, l'Ugel et l'UES. Le premier accord porte sur la coordination entre les deux organisations estudiantines dans les "fora" internationaux, a-t-on indiqué. A cet effet, les deux parties ont convenu d'organiser des «semaines de fraternité» entre les étudiants des deux pays. Le second accord, conclu entre l'Ugel et l'UES, quant à lui, prévoit d'établir une coopération «en vue de faire connaître la lutte du peuple sahraoui dans les "fora" nationaux et internationaux», a-t-on précisé auprès de l'ambassade de la Rasd à Alger. Ce même accord, prévoit également «un soutien aux activités culturelles des étudiants sahraouis dans les universités algériennes et la création d'un club d'amitié». Ont également pris part à cette manifestation les représentants d'organisations estudiantines et juvéniles en Algérie, ainsi que des étudiants africains poursuivant leurs études en Algérie en plus de représentants du corps diplomatique accrédités en Algérie. Cet évènement a été aussi marqué par la participation du Conseil mondial de la Paix et les représentants de la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique. En effet, une conférence internationale de la jeunesse et des étudiants solidaires avec le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination sous le thème «Jeunes et étudiants du monde pour la décolonisation du Sahara occidental», s'est tenue hier à Alger. La conférence, qui a eu lieu à l'université de Bouzaréah, a regroupé un nombre considérable de participants, notamment des délégations de plusieurs pays et continents. Cet évènement, qui coïncide avec le 37e anniversaire du déclenchement par le Front Polisario de la lutte armée contre l'occupation espagnole. Parmi les délégations présentes, la représentation sahraouie venue des camps de réfugiés sahraouis à Tindouf (Sud-Ouest algérien). D'autres jeunes et représentants sahraouis, qui, soulignons-le, ont bravé l'autorité coloniale marocaine, sont venus des territoires occupés prendre part à cette rencontre internationale. La délégation des activistes sahraouis des droits de l'Homme, qui, «en dépit la répression impitoyable et sanguinaire qui s'abat quotidiennement sur le territoire sahraoui, a bravé avec courage et détermination la redoutable machine policière du Maroc», a-t-on précisé, et ce pour participer à cette conférence. Pour rappel, une rencontre a eu lieu jeudi à Alger entre l'Union nationale des étudiants algériens (Unea), l'Union générale des étudiants libres (Ugel) et l'Union des étudiants sahraouis (UES), à l'occasion de la célébration du 37e anniversaire du déclenchement de la lutte armée du peuple sahraoui. Durant le séjour de la délégation des étudiants sahraouis, deux protocoles de coopération ont été signés entre l'UNEA, l'Ugel et l'UES. Le premier accord porte sur la coordination entre les deux organisations estudiantines dans les "fora" internationaux, a-t-on indiqué. A cet effet, les deux parties ont convenu d'organiser des «semaines de fraternité» entre les étudiants des deux pays. Le second accord, conclu entre l'Ugel et l'UES, quant à lui, prévoit d'établir une coopération «en vue de faire connaître la lutte du peuple sahraoui dans les "fora" nationaux et internationaux», a-t-on précisé auprès de l'ambassade de la Rasd à Alger. Ce même accord, prévoit également «un soutien aux activités culturelles des étudiants sahraouis dans les universités algériennes et la création d'un club d'amitié». Ont également pris part à cette manifestation les représentants d'organisations estudiantines et juvéniles en Algérie, ainsi que des étudiants africains poursuivant leurs études en Algérie en plus de représentants du corps diplomatique accrédités en Algérie. Cet évènement a été aussi marqué par la participation du Conseil mondial de la Paix et les représentants de la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique.