Depuis l'entrée en vigueur des nouvelles dispositions du code de la route en février 2010, les statistiques des accidents à Constantine attestent d'un recul relatif, comparativement à celles des années précédentes. Depuis l'entrée en vigueur des nouvelles dispositions du code de la route en février 2010, les statistiques des accidents à Constantine attestent d'un recul relatif, comparativement à celles des années précédentes. Ce constat fait l'unanimité auprès des différents partenaires chargés de veiller sur la sécurité des citoyens, en l'occurrence les services de la Protection civile, de la Gendarmerie nationale et de la sûreté de wilaya. Invités de l'émission radiophonique «Forum» dimanche dernier, les représentants de ces trois autorités ont, chiffres à l'appui, confirmé une certaine baisse dans les accidents de la circulation depuis trois mois. Les textes répressifs de la loi en question, les campagnes de sensibilisation et le renforcement des points de contrôle sur les axes routiers meurtriers sont autant d'éléments ayant contribué à renverser la vapeur. Pour la Protection civile, les équipes des sapeurs pompiers sont intervenues à 279 reprises durant le premier trimestre 2010 et ont relevé 21 décès contre 24 pour la même période en 2009. Les statistiques en possession de la Gendarmerie font état de la survenue de 97 accidents depuis février dernier contre 136 sur la même période de l'année 2009. Ces accidents ont causé la mort à 12 personnes et des blessures à 192 autres contre 14 décès et 234 blessés pour le premier trimestre de l'année écoulée. A la lumière de ces bilans, il est évident que le nouveau code de la route aura, un tant soit peu, porté ses fruits. Selon toujours la même source, la courbe des accidents de la circulation connaît une descente perceptible de 40%. Et de préciser que le facteur humain demeure, à hauteur de 78%, la première cause d'accidents dans notre pays. Un tableau identique est dressé par les services de la sûreté de wilaya. Ils ont recensé, de par leurs interventions, rien que pour le mois d'avril dernier, 46 accidents urbains, contre 49 pour le même mois de 2009. Tous les moyens humains et matériels sont mis en place pour traquer les fauteurs. Outre le fait de disposer de systèmes radar, les services compétents de la wilaya disposent, annuellement, d'un budget de 100 millions de centimes destiné au remplacement des plaques signalétiques que certains automobilistes arrachent à dessein. L'application de la nouvelle loi a abouti à la sanction de bon nombre de conducteurs peu soucieux du respect du code de la route. Pour le premier trimestre 2010, il sera procédé au retrait de 2.003 permis de conduire et à l'établissement de 7.176 contraventions. Ce constat fait l'unanimité auprès des différents partenaires chargés de veiller sur la sécurité des citoyens, en l'occurrence les services de la Protection civile, de la Gendarmerie nationale et de la sûreté de wilaya. Invités de l'émission radiophonique «Forum» dimanche dernier, les représentants de ces trois autorités ont, chiffres à l'appui, confirmé une certaine baisse dans les accidents de la circulation depuis trois mois. Les textes répressifs de la loi en question, les campagnes de sensibilisation et le renforcement des points de contrôle sur les axes routiers meurtriers sont autant d'éléments ayant contribué à renverser la vapeur. Pour la Protection civile, les équipes des sapeurs pompiers sont intervenues à 279 reprises durant le premier trimestre 2010 et ont relevé 21 décès contre 24 pour la même période en 2009. Les statistiques en possession de la Gendarmerie font état de la survenue de 97 accidents depuis février dernier contre 136 sur la même période de l'année 2009. Ces accidents ont causé la mort à 12 personnes et des blessures à 192 autres contre 14 décès et 234 blessés pour le premier trimestre de l'année écoulée. A la lumière de ces bilans, il est évident que le nouveau code de la route aura, un tant soit peu, porté ses fruits. Selon toujours la même source, la courbe des accidents de la circulation connaît une descente perceptible de 40%. Et de préciser que le facteur humain demeure, à hauteur de 78%, la première cause d'accidents dans notre pays. Un tableau identique est dressé par les services de la sûreté de wilaya. Ils ont recensé, de par leurs interventions, rien que pour le mois d'avril dernier, 46 accidents urbains, contre 49 pour le même mois de 2009. Tous les moyens humains et matériels sont mis en place pour traquer les fauteurs. Outre le fait de disposer de systèmes radar, les services compétents de la wilaya disposent, annuellement, d'un budget de 100 millions de centimes destiné au remplacement des plaques signalétiques que certains automobilistes arrachent à dessein. L'application de la nouvelle loi a abouti à la sanction de bon nombre de conducteurs peu soucieux du respect du code de la route. Pour le premier trimestre 2010, il sera procédé au retrait de 2.003 permis de conduire et à l'établissement de 7.176 contraventions.