Le directeur du Centre national d'expertise médicale du personnel navigant (CNEMPN), le colonel Fayçal Messaoudi a annoncé hier à Alger que le centre effectue 30 mille actes médicaux par an. A l'occasion des premières journées scientifiques du Centre national de l'expertise médicale du personnel navigant, le colonel Messaoudi a affirmé que "l'expertise médicale fait foi de certificat de médecine légale et de garant de l'état de santé du personnel navigant", rapporte l'APS. «Le centre procède aux actes médicaux de tous les candidats au travail dans la navigation aérienne et maritime dans l'attente de la décision définitive d'acceptation ou de refus rendue par le président de la commission chargée de cette tâche», a indiqué le directeur du centre. Les personnes dont les candidatures ont été rejetées ont le droit de faire un recours auprès de la commission, affirmant que les décisions de la commission sont souvent "irrévocables". Les maladies cardiovasculaires viennent en tête des maladies à prévenir chez le personnel navigant en raison de la gravité des complications, a-t-il estimé. M. Haffaf, spécialiste relevant du service de médecine nucléaire à l'Hôpital central de l'armée a affirmé que la réalisation d'examens pendant et après l'effort chez le personnel navigant est à même de déterminer la capacité du personnel à exercer ses fonctions. Evoquant le développement ayant marqué la navigation aérienne et maritime dans le monde, M. Haffaf a cité les raisons pouvant empêcher le commandant de bord de naviguer dont les problèmes de santé. Il a, d'autre part, appelé à la définition des dangers auxquels le commandant de bord d'un avion ou d'un navire est exposé à l'effet de les prévenir, citant certaines maladies qui touchent le personnel navigant, dont les malaises, la perte de conscience, l'épilepsie, les maladies cardiovasculaires, les nausées, les troubles digestifs et l'hypoglycémie. Les experts ont insisté sur le rôle du médecin, du pilote et sur l'importance de la formation. Ils ont également souligné la nécessité de recourir aux recommandations de l'Organisation du traité nord atlantique (OTAN), dans le domaine militaire et de l'Organisation internationale de l'aviation civile (OACI), en matière d'aviation civile. Le directeur du Centre national d'expertise médicale du personnel navigant (CNEMPN), le colonel Fayçal Messaoudi a annoncé hier à Alger que le centre effectue 30 mille actes médicaux par an. A l'occasion des premières journées scientifiques du Centre national de l'expertise médicale du personnel navigant, le colonel Messaoudi a affirmé que "l'expertise médicale fait foi de certificat de médecine légale et de garant de l'état de santé du personnel navigant", rapporte l'APS. «Le centre procède aux actes médicaux de tous les candidats au travail dans la navigation aérienne et maritime dans l'attente de la décision définitive d'acceptation ou de refus rendue par le président de la commission chargée de cette tâche», a indiqué le directeur du centre. Les personnes dont les candidatures ont été rejetées ont le droit de faire un recours auprès de la commission, affirmant que les décisions de la commission sont souvent "irrévocables". Les maladies cardiovasculaires viennent en tête des maladies à prévenir chez le personnel navigant en raison de la gravité des complications, a-t-il estimé. M. Haffaf, spécialiste relevant du service de médecine nucléaire à l'Hôpital central de l'armée a affirmé que la réalisation d'examens pendant et après l'effort chez le personnel navigant est à même de déterminer la capacité du personnel à exercer ses fonctions. Evoquant le développement ayant marqué la navigation aérienne et maritime dans le monde, M. Haffaf a cité les raisons pouvant empêcher le commandant de bord de naviguer dont les problèmes de santé. Il a, d'autre part, appelé à la définition des dangers auxquels le commandant de bord d'un avion ou d'un navire est exposé à l'effet de les prévenir, citant certaines maladies qui touchent le personnel navigant, dont les malaises, la perte de conscience, l'épilepsie, les maladies cardiovasculaires, les nausées, les troubles digestifs et l'hypoglycémie. Les experts ont insisté sur le rôle du médecin, du pilote et sur l'importance de la formation. Ils ont également souligné la nécessité de recourir aux recommandations de l'Organisation du traité nord atlantique (OTAN), dans le domaine militaire et de l'Organisation internationale de l'aviation civile (OACI), en matière d'aviation civile.