Il est vrai à dire que le manque d'eau dans de nombreuses localités de la wilaya a tendance à perdurer selon les populations de la bande frontalière. A commencer par quelques quartiers de la commune de Zitouna qui n'ont pas reçu une seule goutte d'eau depuis maintenant trois jours si l'on tient compte des déclarations de nombreux pères de famille. Il est vrai à dire que le manque d'eau dans de nombreuses localités de la wilaya a tendance à perdurer selon les populations de la bande frontalière. A commencer par quelques quartiers de la commune de Zitouna qui n'ont pas reçu une seule goutte d'eau depuis maintenant trois jours si l'on tient compte des déclarations de nombreux pères de famille. Mais aussi paradoxal que cela puisse paraître, les clients de l'ex-ADE continuent en cette saison qui s'annonce caniculaire de recevoir des factures qui frisent l'inimaginable. Les citoyens ont beau introduire des réclamations mais personne ne semble être préoccupé par le calvaire qu'il endure pour collecter quelques litres d'eau et de régler ces factures considérées par les contribuables comme étant une injustice de plus. Cet état de situation n'a pas manqué d'accentuer la colère des mécontents au sein du village. Dans des localités comme Ain Allem dans la daira de Dréan ainsi que les quartiers populeux Besbes ou Ben Mhidi, c'est la même situation nous dit-on mais avec une durée qui diffère de loin de la localité de Zitouna. Les jeunes paient un lourd tribut après l'école à la recherche de quelques jerricanes d'eau pour assurer le nettoyage des parterres et étancher une soif . Le problème vécu arrive à n'importe quelle saison, nous apprennent des ménagères. Il est vrai à dire que dans le domaine de l' hydraulique de nombreux projets ont été initiés mais ces derniers restent au stade de la concrétisation drainant donc en langueur. Pis d'importantes quantités de ce liquide précieux se perdent dans la nature à causes des fuites à répétition. Le problème de l'eau saumâtre dans la daira de Dréan n'a pas été résolu depuis la nuit des temps et l'eau douce ne se trouve que chez les revendeurs ralliée par des camions citernes. Ce qui revient à dire que les pères de familles dans ces contrées sont contraints de mettre de côté un budget pour subvenir aux besoins de leurs enfants pour les alimenter en eau potable. Même son de cloche dans la commune de Chatt où les ménagères se plaignent de l'irrégularité de la distribution et le temps consacré. On apprend que des quartiers sont carrément privés. Il est loin le temps où les autorités disaient que l'eau sera servie vingt heures sur vingt quatre. Les promesses les habitants de ces quartiers populeux sont les seuls à connaitre leurs issues..…El Tarf possède deux barrages opérationnels et des plus importants tenez vous bien. Hélas les populations aussi bien citadines que rurales crient soif à longueur d'année. Y a-t-il une mauvaise gestion de l'eau ? Dieu seul le sait. Une chose est sûre le problème sera remis sur le tapis demain… « L'alimentation en eau potable à El Tarf est un sempiternel problème » nous confie ami Moussa. Si pour la municipalité de Zitouna située à quinze kilomètres du chef lieu de wilaya, le projet d'alimentation en eau potable à partir de Mexna dans la commune de Bougous est réalisé, il n'en demeure pas moins que pour la population de la plaine ouest , la solution réside dans la volonté des gestionnaires de ce secteur de décider du sort de toute une population. Enfin disons que la wilaya est suffisamment arrosée, elle reçoit annuellement 1200 mm de pluie qui dans les deux tiers se perdent dans la nature. Mais aussi paradoxal que cela puisse paraître, les clients de l'ex-ADE continuent en cette saison qui s'annonce caniculaire de recevoir des factures qui frisent l'inimaginable. Les citoyens ont beau introduire des réclamations mais personne ne semble être préoccupé par le calvaire qu'il endure pour collecter quelques litres d'eau et de régler ces factures considérées par les contribuables comme étant une injustice de plus. Cet état de situation n'a pas manqué d'accentuer la colère des mécontents au sein du village. Dans des localités comme Ain Allem dans la daira de Dréan ainsi que les quartiers populeux Besbes ou Ben Mhidi, c'est la même situation nous dit-on mais avec une durée qui diffère de loin de la localité de Zitouna. Les jeunes paient un lourd tribut après l'école à la recherche de quelques jerricanes d'eau pour assurer le nettoyage des parterres et étancher une soif . Le problème vécu arrive à n'importe quelle saison, nous apprennent des ménagères. Il est vrai à dire que dans le domaine de l' hydraulique de nombreux projets ont été initiés mais ces derniers restent au stade de la concrétisation drainant donc en langueur. Pis d'importantes quantités de ce liquide précieux se perdent dans la nature à causes des fuites à répétition. Le problème de l'eau saumâtre dans la daira de Dréan n'a pas été résolu depuis la nuit des temps et l'eau douce ne se trouve que chez les revendeurs ralliée par des camions citernes. Ce qui revient à dire que les pères de familles dans ces contrées sont contraints de mettre de côté un budget pour subvenir aux besoins de leurs enfants pour les alimenter en eau potable. Même son de cloche dans la commune de Chatt où les ménagères se plaignent de l'irrégularité de la distribution et le temps consacré. On apprend que des quartiers sont carrément privés. Il est loin le temps où les autorités disaient que l'eau sera servie vingt heures sur vingt quatre. Les promesses les habitants de ces quartiers populeux sont les seuls à connaitre leurs issues..…El Tarf possède deux barrages opérationnels et des plus importants tenez vous bien. Hélas les populations aussi bien citadines que rurales crient soif à longueur d'année. Y a-t-il une mauvaise gestion de l'eau ? Dieu seul le sait. Une chose est sûre le problème sera remis sur le tapis demain… « L'alimentation en eau potable à El Tarf est un sempiternel problème » nous confie ami Moussa. Si pour la municipalité de Zitouna située à quinze kilomètres du chef lieu de wilaya, le projet d'alimentation en eau potable à partir de Mexna dans la commune de Bougous est réalisé, il n'en demeure pas moins que pour la population de la plaine ouest , la solution réside dans la volonté des gestionnaires de ce secteur de décider du sort de toute une population. Enfin disons que la wilaya est suffisamment arrosée, elle reçoit annuellement 1200 mm de pluie qui dans les deux tiers se perdent dans la nature.