Un partenariat dans le domaine de la transplantation d'organes sera conclu entre l'Algérie et la Jordanie, a affirmé, hier, Djamel Ould Abbès, ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, lors du congrès international algéro-jordanien sur les greffes d'organes. «La Jordanie est un pays très avancé dans la transplantation d'organes, c'est pour cela que l'Algérie prône un partenariat accru dans ce domaine avec ce pays frère», a indiqué le ministre. Il a ajouté que l'objectif de ce congrès, qui est le premier du genre, réside aussi dans le développement du dialogue et de la coopération sud-sud, à commencer par les relations algéro-jordaniennes puis les relations algéro-arabes pour terminer par les relations sud-sud dans le domaine de la transplantation d'organes et autres filières médicales. «Pourquoi transférer nos malades en Europe pour des opérations de transplantation d'organes alors qu'il est plus aisé de les envoyer en Jordanie qui excelle dans le domaine ?», s'est-il interrogé. Ould Abbès a aussi affirmé que la transplantation d'organes nécessite l'implication, non seulement du corps médical, mais aussi des théologiens et des hommes de loi. M. Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat, représentant personnel du président de la République, a de son côté rappelé les «fortes» relations qui lient l'Algérie à la Jordanie. «Nous avons une très grande considération pour le soutien que nous avons reçu des frères jordaniens lors de la guerre de Libération», a-t-il ajouté. Concernant le congrès international algéro-jordanien sur les greffes d'organes, M. Belkhadem a remercié cette initiative de l'Union médicale algérienne qui a réuni les hommes de science pour débattre sur ce sujet important et échanger leurs expériences. Dans son intervention, le président du comité scientifique jordanien, le professeur Youcef Khalil Mouasher, a indiqué de son côté, que cette rencontre vise à faire le point sur les dernières avancées scientifiques dans le domaine de la transplantation d'organes. C. K. Un partenariat dans le domaine de la transplantation d'organes sera conclu entre l'Algérie et la Jordanie, a affirmé, hier, Djamel Ould Abbès, ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, lors du congrès international algéro-jordanien sur les greffes d'organes. «La Jordanie est un pays très avancé dans la transplantation d'organes, c'est pour cela que l'Algérie prône un partenariat accru dans ce domaine avec ce pays frère», a indiqué le ministre. Il a ajouté que l'objectif de ce congrès, qui est le premier du genre, réside aussi dans le développement du dialogue et de la coopération sud-sud, à commencer par les relations algéro-jordaniennes puis les relations algéro-arabes pour terminer par les relations sud-sud dans le domaine de la transplantation d'organes et autres filières médicales. «Pourquoi transférer nos malades en Europe pour des opérations de transplantation d'organes alors qu'il est plus aisé de les envoyer en Jordanie qui excelle dans le domaine ?», s'est-il interrogé. Ould Abbès a aussi affirmé que la transplantation d'organes nécessite l'implication, non seulement du corps médical, mais aussi des théologiens et des hommes de loi. M. Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat, représentant personnel du président de la République, a de son côté rappelé les «fortes» relations qui lient l'Algérie à la Jordanie. «Nous avons une très grande considération pour le soutien que nous avons reçu des frères jordaniens lors de la guerre de Libération», a-t-il ajouté. Concernant le congrès international algéro-jordanien sur les greffes d'organes, M. Belkhadem a remercié cette initiative de l'Union médicale algérienne qui a réuni les hommes de science pour débattre sur ce sujet important et échanger leurs expériences. Dans son intervention, le président du comité scientifique jordanien, le professeur Youcef Khalil Mouasher, a indiqué de son côté, que cette rencontre vise à faire le point sur les dernières avancées scientifiques dans le domaine de la transplantation d'organes. C. K.