Le président du Réseau algérien pour la défense des droits de l'enfant (Nada), Abderrahmane Arar a appelé, hier à Alger, à mettre en place un "médiateur social" afin d'intervenir pour résoudre les conflits conjugaux. Lors des travaux du séminaire sur les conflits conjugaux et leur impact sur les enfants, M. Arar a souligné la nécessité de "mettre en place un médiateur social pour résoudre les conflit conjugaux au sein de la famille comme une alternative avant d'aller en justice". M. Arar a appelé, en outre à "introduire des textes de loi complémentaires au code de la famille portant sur la mise en place d'une médiation sociale spécialisée en matière de statuts personnels". La médiation devra intervenir "en coordination avec les autorités juridiques et la société civile, sous couvert juridique et dans l'intérêt de l'enfant», a ajouté M. Arar. «Le réseau Nada avait effectué un sondage sur un échantillon de 500 enfants victimes de problèmes sociaux et dont les résultats avaient démontrés que 80% de ces cas avait pour origines des conflits parentaux», a-t-il affirmé. Parmi ces cas sociaux, le responsable a cité la déperdition scolaire, les fugues, le déséquilibre mental de l'enfant qui se retrouve dans un cercle vicieux de dérives et de délinquances. M. Arar a déploré le taux de plus en plus élevé de divorces enregistré dans la société. Le président du Réseau algérien pour la défense des droits de l'enfant (Nada), Abderrahmane Arar a appelé, hier à Alger, à mettre en place un "médiateur social" afin d'intervenir pour résoudre les conflits conjugaux. Lors des travaux du séminaire sur les conflits conjugaux et leur impact sur les enfants, M. Arar a souligné la nécessité de "mettre en place un médiateur social pour résoudre les conflit conjugaux au sein de la famille comme une alternative avant d'aller en justice". M. Arar a appelé, en outre à "introduire des textes de loi complémentaires au code de la famille portant sur la mise en place d'une médiation sociale spécialisée en matière de statuts personnels". La médiation devra intervenir "en coordination avec les autorités juridiques et la société civile, sous couvert juridique et dans l'intérêt de l'enfant», a ajouté M. Arar. «Le réseau Nada avait effectué un sondage sur un échantillon de 500 enfants victimes de problèmes sociaux et dont les résultats avaient démontrés que 80% de ces cas avait pour origines des conflits parentaux», a-t-il affirmé. Parmi ces cas sociaux, le responsable a cité la déperdition scolaire, les fugues, le déséquilibre mental de l'enfant qui se retrouve dans un cercle vicieux de dérives et de délinquances. M. Arar a déploré le taux de plus en plus élevé de divorces enregistré dans la société.