L'Eurl IFI spécialisée dans l'exportation des produits agricoles, principalement des fruits et légumes, s'est fixée pour objectif essentiel d'investir le marché européen via le marché de l'Hexagone. Le responsable de cette société située à Jijel, région à vocation agricole, M. Abdelhadi, nous a déclaré que «IFI projette d'exporter d'importantes quantités de fruits et légumes vers la France, aussi bien sur le plan du volume que de la qualité. Nous commercialisons notamment des tomates, des poivrons, des piments, des haricots et des concombres. Nous vendons également des fruits bien prisés dans le Vieux Continent, tels que les melons, les pastèques et le cantaloup». L'objectif immédiat consiste, selon ce responsable, à produire en quantités suffisantes afin de satisfaire ce marché euro-méditerranéen. «Nous exportons depuis 2008 et nous sommes affranchis des droits de douanes. Nous acheminons nos produits par voie aérienne, des quantités estimées entre 20 et 30 tonnes à la fois, parce qu'ils sont périssables sachant que les fruits et légumes requièrent un conditionnement. Nous exportons par bâteau uniquement les pommes de terre et les pastèques. Nos produits sont de meilleure qualité et biologiques» a-t-il souligné. La communauté algérienne résidant en France grosse consommatrice des produits bio favorise beaucoup l'accroissement des exportations. «Nous avons des échos très favorables de la communauté algérienne vivant en Europe sollicitant nos produits dont IFI va s'efforcer d'augmenter les volumes d'exportation, de commun accord avec les agriculteurs-producteurs qui nous pourvoient en fruits et légumes» a t-il précisé. Les fruits et légumes sont chers sur le plan local, donc la piste de l'export est privilégiée pour écouler toutes ces marchandises fraiches. Selon ce responsable d'IFI, «il existe des conventions avec des agriculteurs suivant lesquelles ils nous vendent des récoltes en cours de route en donnant la primauté à leurs intérêts. Même avec des contrats, ces agriculteurs peuvent changer d'avis en s'orientant sur le marché local pour la commercialisation de leurs produits». Travaillant en micro entreprises dans des surfaces cultivables en serres, les agriculteurs de la région de Jijel sont considérés comme des ‘'micro propriétaires''. IFI possède, par ailleurs, une unité de transformation de lait. A. A. L'Eurl IFI spécialisée dans l'exportation des produits agricoles, principalement des fruits et légumes, s'est fixée pour objectif essentiel d'investir le marché européen via le marché de l'Hexagone. Le responsable de cette société située à Jijel, région à vocation agricole, M. Abdelhadi, nous a déclaré que «IFI projette d'exporter d'importantes quantités de fruits et légumes vers la France, aussi bien sur le plan du volume que de la qualité. Nous commercialisons notamment des tomates, des poivrons, des piments, des haricots et des concombres. Nous vendons également des fruits bien prisés dans le Vieux Continent, tels que les melons, les pastèques et le cantaloup». L'objectif immédiat consiste, selon ce responsable, à produire en quantités suffisantes afin de satisfaire ce marché euro-méditerranéen. «Nous exportons depuis 2008 et nous sommes affranchis des droits de douanes. Nous acheminons nos produits par voie aérienne, des quantités estimées entre 20 et 30 tonnes à la fois, parce qu'ils sont périssables sachant que les fruits et légumes requièrent un conditionnement. Nous exportons par bâteau uniquement les pommes de terre et les pastèques. Nos produits sont de meilleure qualité et biologiques» a-t-il souligné. La communauté algérienne résidant en France grosse consommatrice des produits bio favorise beaucoup l'accroissement des exportations. «Nous avons des échos très favorables de la communauté algérienne vivant en Europe sollicitant nos produits dont IFI va s'efforcer d'augmenter les volumes d'exportation, de commun accord avec les agriculteurs-producteurs qui nous pourvoient en fruits et légumes» a t-il précisé. Les fruits et légumes sont chers sur le plan local, donc la piste de l'export est privilégiée pour écouler toutes ces marchandises fraiches. Selon ce responsable d'IFI, «il existe des conventions avec des agriculteurs suivant lesquelles ils nous vendent des récoltes en cours de route en donnant la primauté à leurs intérêts. Même avec des contrats, ces agriculteurs peuvent changer d'avis en s'orientant sur le marché local pour la commercialisation de leurs produits». Travaillant en micro entreprises dans des surfaces cultivables en serres, les agriculteurs de la région de Jijel sont considérés comme des ‘'micro propriétaires''. IFI possède, par ailleurs, une unité de transformation de lait. A. A.