Le marché des fruits et légumes dans la commune de Bouzaréah, de l'avis des commerçants qu'il héberge, est loin de répondre à leurs besoins et aspirations. Les occupants des lieux dénoncent une dégradation très avancée des lieux, dont la vétusté et l'absence de tout entretien sont particulièrement apparents. En effet depuis l'incendie, qui a sérieusement endommagé le marché il y a plus de sept ans maintenant, les commerçants ont été contraints de reprendre leurs activités sur ces lieux insalubres, le marché n'ayant bénéficié d'aucune opération de réaménagement ou réfection. De plus c'est l'unique espace commercial public dans la région, et même à des kilomètres à la ronde, de cefait il connaît un grand afflux de clients venant de la commune même et de celles avoisinantes. «les commerçants ont effectué à leurs frais certains menus travaux de réhabilitation et de qui étaient indispensables après l'incendie de 2003 afin qu'ils puissent reprendre leurs activités, mais cela malheureusement est loin d'être suffisant, vu l'ampleur de la catastrophe qui a gravement endommagé le toit du marché, les murs et même le sol. Cet environnement gravement endommagé pénalise les commerçants qui ne peuvent plus, vu cette situation, offrir des prestations de qualité. Les clients, quant à eux, tout en dénonçant cet environnement de désolation n'ont pourtant d'autre choix que de se rendre sur ces lieux insalubres qui ne répondent, en aucun cas, aux normes de commerce de proximité et encore moins à un marché de fruits et légumes. Il faut noter que certains clients, plus ou moins aisés, et qui fréquentaient avant l'incendie ce marché, préfèrent effectuer leurs courses auprès des boutiques proposant les mêmes produits à des prix bien plus élevés, mais ils estiment que cela est bien plus sage plutôt que d'exposer leur vie au danger omniprésent au sein du marché. L'autre point dénoncé par les habitants de la commune de Bouzeréah, déplorent l'ampleur prise par le commerce informel au sein de leur localité qui voit des dizaines de marchands de fruits et légumes exposer leurs marchandise de manière anarchique à l'entrée du marché. Ce dernier, de plus, est situé à proximité de la station urbaine des bus, ce qui provoque un embouteillage monstre et quotidien à proximité dudit marché. Il est à noter aussi que ledit marché, après l'incendie, n'a pas été raccordé à l'électricité, ce qui oblige les marchands à pirater les fils électriques afin debénéficier de l'energie électrique. Cette pratique démultiplie le danger d'un éventuel incendie. L'intervention des services concernés demeure donc plus qu'indispensable afin de mettre fin à cette anarchie. Un marché de proximité doit en effet respecter les règles de sécurité et de salubité, ce qui est très loin d'être le cas pour le marché de Bouzareah Le marché des fruits et légumes dans la commune de Bouzaréah, de l'avis des commerçants qu'il héberge, est loin de répondre à leurs besoins et aspirations. Les occupants des lieux dénoncent une dégradation très avancée des lieux, dont la vétusté et l'absence de tout entretien sont particulièrement apparents. En effet depuis l'incendie, qui a sérieusement endommagé le marché il y a plus de sept ans maintenant, les commerçants ont été contraints de reprendre leurs activités sur ces lieux insalubres, le marché n'ayant bénéficié d'aucune opération de réaménagement ou réfection. De plus c'est l'unique espace commercial public dans la région, et même à des kilomètres à la ronde, de cefait il connaît un grand afflux de clients venant de la commune même et de celles avoisinantes. «les commerçants ont effectué à leurs frais certains menus travaux de réhabilitation et de qui étaient indispensables après l'incendie de 2003 afin qu'ils puissent reprendre leurs activités, mais cela malheureusement est loin d'être suffisant, vu l'ampleur de la catastrophe qui a gravement endommagé le toit du marché, les murs et même le sol. Cet environnement gravement endommagé pénalise les commerçants qui ne peuvent plus, vu cette situation, offrir des prestations de qualité. Les clients, quant à eux, tout en dénonçant cet environnement de désolation n'ont pourtant d'autre choix que de se rendre sur ces lieux insalubres qui ne répondent, en aucun cas, aux normes de commerce de proximité et encore moins à un marché de fruits et légumes. Il faut noter que certains clients, plus ou moins aisés, et qui fréquentaient avant l'incendie ce marché, préfèrent effectuer leurs courses auprès des boutiques proposant les mêmes produits à des prix bien plus élevés, mais ils estiment que cela est bien plus sage plutôt que d'exposer leur vie au danger omniprésent au sein du marché. L'autre point dénoncé par les habitants de la commune de Bouzeréah, déplorent l'ampleur prise par le commerce informel au sein de leur localité qui voit des dizaines de marchands de fruits et légumes exposer leurs marchandise de manière anarchique à l'entrée du marché. Ce dernier, de plus, est situé à proximité de la station urbaine des bus, ce qui provoque un embouteillage monstre et quotidien à proximité dudit marché. Il est à noter aussi que ledit marché, après l'incendie, n'a pas été raccordé à l'électricité, ce qui oblige les marchands à pirater les fils électriques afin debénéficier de l'energie électrique. Cette pratique démultiplie le danger d'un éventuel incendie. L'intervention des services concernés demeure donc plus qu'indispensable afin de mettre fin à cette anarchie. Un marché de proximité doit en effet respecter les règles de sécurité et de salubité, ce qui est très loin d'être le cas pour le marché de Bouzareah