Qu'est-ce que le roman algérien ? Telle a été la question primordiale à laquelle se sont efforcés de répondre plusieurs jeunes écrivains algériens en langue arabe lors de la rencontre littéraire sous le thème générique «Le roman, l'invité du théâtre» organisée avant-hier, en marge du Festival national du théâtre professionnel (FNTP) qui a débuté le 24 mai dernier et qui verra sa clôture officielle aujourd'hui à travers une soirée artistique. Qu'est-ce que le roman algérien ? Telle a été la question primordiale à laquelle se sont efforcés de répondre plusieurs jeunes écrivains algériens en langue arabe lors de la rencontre littéraire sous le thème générique «Le roman, l'invité du théâtre» organisée avant-hier, en marge du Festival national du théâtre professionnel (FNTP) qui a débuté le 24 mai dernier et qui verra sa clôture officielle aujourd'hui à travers une soirée artistique. Une pleiade d'écrivains étaient présents à cette rencontre littéraire animée par l'écrivain, poète et journaliste Abderzak Boukeba. Parmi ces jeunes écrivains il y avait Kamel Guergour, Zahra Dik, Samir Guesmi, Mohamed Sarri, Mohamed Mehlah et le libyen Mohamed El Asfar. Cette manifestation a pour but, d'après Boukeba de «rendre au roman ces lettres de noblesse au sein de la famille du 4e art, et de contribuer ainsi à être un trait d'union entre les romanciers et les dramaturges. Une initiative que nous avons entamé avec les deux précédentes après-midis poétiques dédiées à Djamel Amrani et à Hussein Zidane». Après ce bref rappel, les intervenants ce sont succédé pour témoigner de leur expérience littéraire : comment sont-ils venus à ce monde fictif et imagé de la littérature, leurs sources d'inspiration et bien entendu les difficultés de l'écrivain algérien face à l'édition. Pour le Libyen Mohamed El Asfar, ce mouvement qui fait vibrer l'Algérie entière «jeunes, vieux, femmes, hommes et enfants à l'égard de leur équipe nationale est pour moi l'une des sources d'inspiration. D'ailleurs je dis souvent que j'écris comme le football, sans attendre en réalité de victoire et s'il en aura une, elle sera certainement éphémère». Le second intervenant, à avoir marqué l'assistance par ses déclarations, a été certainement Kamel Guergour qui soulignera que son expérience est différente de celles de ses pairs : «Moi j'ai commencé à faire mon petit chemin dans la littérature à travers la nouvelle. J'ai dû m'arrêter à un moment car la presse accaparait le plus clair de mon temps. J'ai eu alors du mal à reprendre l'écriture littéraire, jusqu'au jour où j' ai écris avec rage et audace mon premier roman. Moi-même j'ai été surpris par cette volonté». La seule écrivaine de cette après-midi littéraire était Zahra Dik. Cette voix féminine a précisé qu'elle n'aime pas parler de ses précédents romans car ils lui «rappellent les moments atroces qu'a vécu l'Algérie durant les années 90». Elle ajoutera «j'aime écrire sur des choses angoissantes car je suis moi-même une angoissée de nature, et j'adore mon état d'âme car c'est ma source d'inspiration». Une pleiade d'écrivains étaient présents à cette rencontre littéraire animée par l'écrivain, poète et journaliste Abderzak Boukeba. Parmi ces jeunes écrivains il y avait Kamel Guergour, Zahra Dik, Samir Guesmi, Mohamed Sarri, Mohamed Mehlah et le libyen Mohamed El Asfar. Cette manifestation a pour but, d'après Boukeba de «rendre au roman ces lettres de noblesse au sein de la famille du 4e art, et de contribuer ainsi à être un trait d'union entre les romanciers et les dramaturges. Une initiative que nous avons entamé avec les deux précédentes après-midis poétiques dédiées à Djamel Amrani et à Hussein Zidane». Après ce bref rappel, les intervenants ce sont succédé pour témoigner de leur expérience littéraire : comment sont-ils venus à ce monde fictif et imagé de la littérature, leurs sources d'inspiration et bien entendu les difficultés de l'écrivain algérien face à l'édition. Pour le Libyen Mohamed El Asfar, ce mouvement qui fait vibrer l'Algérie entière «jeunes, vieux, femmes, hommes et enfants à l'égard de leur équipe nationale est pour moi l'une des sources d'inspiration. D'ailleurs je dis souvent que j'écris comme le football, sans attendre en réalité de victoire et s'il en aura une, elle sera certainement éphémère». Le second intervenant, à avoir marqué l'assistance par ses déclarations, a été certainement Kamel Guergour qui soulignera que son expérience est différente de celles de ses pairs : «Moi j'ai commencé à faire mon petit chemin dans la littérature à travers la nouvelle. J'ai dû m'arrêter à un moment car la presse accaparait le plus clair de mon temps. J'ai eu alors du mal à reprendre l'écriture littéraire, jusqu'au jour où j' ai écris avec rage et audace mon premier roman. Moi-même j'ai été surpris par cette volonté». La seule écrivaine de cette après-midi littéraire était Zahra Dik. Cette voix féminine a précisé qu'elle n'aime pas parler de ses précédents romans car ils lui «rappellent les moments atroces qu'a vécu l'Algérie durant les années 90». Elle ajoutera «j'aime écrire sur des choses angoissantes car je suis moi-même une angoissée de nature, et j'adore mon état d'âme car c'est ma source d'inspiration».