Les pilotes de ligne algériens revendiquent toujours leur «statut particulier». Ils comptent remettre cette question au goût du jour, demain, au cours d'une réunion du Syndicat des pilotes de ligne algériens (Spla). Les pilotes de ligne algériens revendiquent toujours leur «statut particulier». Ils comptent remettre cette question au goût du jour, demain, au cours d'une réunion du Syndicat des pilotes de ligne algériens (Spla). Les pilotes de ligne algériens, regroupés autour du Syndicat des pilotes de ligne algériens (Spla) se réunissent demain pour étudier les termes du décret 10-40 paru dans le JO (Journal officiel) du 23 mai 2010. Outre ce point, les pilotes de ligne des compagnies aériennes, Air Algérie, Tassili Air Lines et deux compagnies privées assurant le transport des pétroliers, Air Express et Star Aviation débattront de l'opportunité de doter la corporation des pilotes de ligne d'un statut particulier. «Les pilotes de ligne algériens n'ont pas à ce jour de statut particulier», a déploré le président du Spla, Sahbane Othmane qui souligne la nécessité de l'existence d'un statut particulier du pilote algérien à l'instar de ce qui existe sous d'autres cieux. Pour les pilotes de l'aviation civile, se doter d' «un texte réglementaire» pour faire valoir leurs revendications socioprofessionnelles, est fondamental. Pour ce faire, les pilotes de ligne, affiliés au Spla, envisagent de créer «un bureau national» qui sera à même de porter leurs revendications socioprofessionnelles. Le statut particulier des pilotes de ligne revient donc à l'actualité du jour. Le statut, qui désigne l'ensemble des lois, usages et coutumes qui régissaient la condition d'une catégorie de travailleurs est réclamé par les pilotes de ligne, permet d'engager, sur des bases propres à la spécificité du métier de pilote, des négociations sur tous les volets qui les intéressent avec l'employeur. Dans ce cadre, les syndicats de pilotes de ligne se réfère à l'article 4 du 21 avril 1990 relatif aux relations de travail, modifié qui permet l'élaboration des statuts particuliers, pour demander le statut particulier auquel il ont droit. Le Spla qui vient de prendre part à la conférence annuelle de l'Ifalpa qui s'est déroulée à Marrakech du 18 au 23 mars 2010, a dressé un constat «effrayant» sur les préoccupations actuelles du pilote algérien , à savoir le statut particulier, limite du temps de vol , le stress dû aux conditions de travail et d'autre problèmes socioprofessionnels qui ne sont plus, selon les syndicalistes, «d'actualité chez les pilotes à travers le monde entier et cela depuis longtemps». Le Spla compte «sensibiliser les autorités du pays ainsi que tous les adhérents en vue de hisser le pavillon national au niveau mondial». Il compte mobiliser tous ses adhérents pour atteindre cet objectif. Et ce n'est pas le décret exécutif paru récemment sur le JO (limitation de temps de vol et de repos) qui pourrait amener la sérénité dans la corporation des aviateurs de l'aviation civile algérienne. Une question de plus à solutionner pour le Spla qui voit les problèmes auxquels il est confronté s'amonceler. En tous état de cause, les syndicalistes du Spla qui se réuniront demain, comptent mettre sur la table toutes les problématiques qui «nuisent» au travail de pilote et alerter les parties concernées. Les pilotes de ligne algériens, regroupés autour du Syndicat des pilotes de ligne algériens (Spla) se réunissent demain pour étudier les termes du décret 10-40 paru dans le JO (Journal officiel) du 23 mai 2010. Outre ce point, les pilotes de ligne des compagnies aériennes, Air Algérie, Tassili Air Lines et deux compagnies privées assurant le transport des pétroliers, Air Express et Star Aviation débattront de l'opportunité de doter la corporation des pilotes de ligne d'un statut particulier. «Les pilotes de ligne algériens n'ont pas à ce jour de statut particulier», a déploré le président du Spla, Sahbane Othmane qui souligne la nécessité de l'existence d'un statut particulier du pilote algérien à l'instar de ce qui existe sous d'autres cieux. Pour les pilotes de l'aviation civile, se doter d' «un texte réglementaire» pour faire valoir leurs revendications socioprofessionnelles, est fondamental. Pour ce faire, les pilotes de ligne, affiliés au Spla, envisagent de créer «un bureau national» qui sera à même de porter leurs revendications socioprofessionnelles. Le statut particulier des pilotes de ligne revient donc à l'actualité du jour. Le statut, qui désigne l'ensemble des lois, usages et coutumes qui régissaient la condition d'une catégorie de travailleurs est réclamé par les pilotes de ligne, permet d'engager, sur des bases propres à la spécificité du métier de pilote, des négociations sur tous les volets qui les intéressent avec l'employeur. Dans ce cadre, les syndicats de pilotes de ligne se réfère à l'article 4 du 21 avril 1990 relatif aux relations de travail, modifié qui permet l'élaboration des statuts particuliers, pour demander le statut particulier auquel il ont droit. Le Spla qui vient de prendre part à la conférence annuelle de l'Ifalpa qui s'est déroulée à Marrakech du 18 au 23 mars 2010, a dressé un constat «effrayant» sur les préoccupations actuelles du pilote algérien , à savoir le statut particulier, limite du temps de vol , le stress dû aux conditions de travail et d'autre problèmes socioprofessionnels qui ne sont plus, selon les syndicalistes, «d'actualité chez les pilotes à travers le monde entier et cela depuis longtemps». Le Spla compte «sensibiliser les autorités du pays ainsi que tous les adhérents en vue de hisser le pavillon national au niveau mondial». Il compte mobiliser tous ses adhérents pour atteindre cet objectif. Et ce n'est pas le décret exécutif paru récemment sur le JO (limitation de temps de vol et de repos) qui pourrait amener la sérénité dans la corporation des aviateurs de l'aviation civile algérienne. Une question de plus à solutionner pour le Spla qui voit les problèmes auxquels il est confronté s'amonceler. En tous état de cause, les syndicalistes du Spla qui se réuniront demain, comptent mettre sur la table toutes les problématiques qui «nuisent» au travail de pilote et alerter les parties concernées.