La pollution demeure la cause principale de l'interdiction à la baignade de 26 plages sur les 83 du littoral algérois. En effet, l'APS citant dans un communiqué la sous-directrice de l'Agence de protection et de promotion du littoral, Mounira Boukacem affirme que «12 parmi les 26 plages interdites l'ont été en raison de la non adéquation de la qualité bactériologique de l'eau». C'est le cas des plages Champ-de-Tir à Zeralda), La-Fayette, Campino, Belvèdère à Hammamet), Deux- Chameaux, l'Olivier à Bologhine), Kaâ-Sour à La Casbah), Sablettes à Belouizdad, Piquet-Blanc Hussein Dey, Lido à Mohammadia, Stamboul à Bordj El-Kiffan) et Coco plage à Bordj El-Bahri. Il est rappelé que «les 14 plages restantes sont interdites soit pour leur dangerosité, en raison de la présence de rochers à fleur d'eau (6 plages), soit pour l'absence d'accès (5 plages) soit pour des travaux (3 plages). Pour l'année 2010, 4 nouvelles plages sableuses ont reçu l'aval des autorités alors qu'une plage a été interdite». Pour rappel le nombre de plages autorisées était de trente en 1999. Mme Boukacem a relevé, d'autre part, «qu'en dépit du fait que des panneaux indiquant l'autorisation ou l'interdiction de la baignade soient plantés à l'entrée des 83 plages de l'Algérois, «des jeunes et des enfants continuent à s'y baigner inconscients du grave danger encourru». Selon le chargé de communication à la Protection civile de la wilaya d'Alger, Sofiane Bekhti, 13 des 19 décès enregistrés dans le littoral algérois en 2009, ont eu lieu dans des plages interdites à la baignade. R. A. La pollution demeure la cause principale de l'interdiction à la baignade de 26 plages sur les 83 du littoral algérois. En effet, l'APS citant dans un communiqué la sous-directrice de l'Agence de protection et de promotion du littoral, Mounira Boukacem affirme que «12 parmi les 26 plages interdites l'ont été en raison de la non adéquation de la qualité bactériologique de l'eau». C'est le cas des plages Champ-de-Tir à Zeralda), La-Fayette, Campino, Belvèdère à Hammamet), Deux- Chameaux, l'Olivier à Bologhine), Kaâ-Sour à La Casbah), Sablettes à Belouizdad, Piquet-Blanc Hussein Dey, Lido à Mohammadia, Stamboul à Bordj El-Kiffan) et Coco plage à Bordj El-Bahri. Il est rappelé que «les 14 plages restantes sont interdites soit pour leur dangerosité, en raison de la présence de rochers à fleur d'eau (6 plages), soit pour l'absence d'accès (5 plages) soit pour des travaux (3 plages). Pour l'année 2010, 4 nouvelles plages sableuses ont reçu l'aval des autorités alors qu'une plage a été interdite». Pour rappel le nombre de plages autorisées était de trente en 1999. Mme Boukacem a relevé, d'autre part, «qu'en dépit du fait que des panneaux indiquant l'autorisation ou l'interdiction de la baignade soient plantés à l'entrée des 83 plages de l'Algérois, «des jeunes et des enfants continuent à s'y baigner inconscients du grave danger encourru». Selon le chargé de communication à la Protection civile de la wilaya d'Alger, Sofiane Bekhti, 13 des 19 décès enregistrés dans le littoral algérois en 2009, ont eu lieu dans des plages interdites à la baignade. R. A.