Le foncier, en dehors de toute autre considération, reste l'obstacle majeur pour la concrétisation des projets d'utilité publique. Certaines communes souffrent plus de cet état de faits à l'instar de la localité de Messelmoun. Le foncier, en dehors de toute autre considération, reste l'obstacle majeur pour la concrétisation des projets d'utilité publique. Certaines communes souffrent plus de cet état de faits à l'instar de la localité de Messelmoun. La commune de Messelmoun dans la daïra de Gouraya à Tipasa, bien qu'elle soit la plus grande commune en termes de superficie dans la wilaya de Tipasa, reste néanmoins parmi les localités les plus déshéritées en matière d'infrastructures et de développement local. En effet il reste beaucoup à faire dans cette localité et en dépit des efforts consentis par les autorités locales. Il est à noter que le manque du foncier reste l'obstacle numéro 1 dans cette localité. Situation particulièrement pénalisante et qui empêche toute améliioration des conditions de vie des résidants de Messelmoun, aggravées par la nature géographique très difficile, la localité est située dans une zone montagneuse avec seulement trois kilomètres de côtes. De ce fait Messelmoun fait face à plusieurs problèmes juridiques et administratifs. En fait plusieurs assiettes de terrains sont susceptibles d'être reconverties en zones urbanisables, pendant que d'autres sont utilisés pour la préservation du périmètre agricole, notamment les SNU (Surfaces non urbanisable). «Le territoire de la commune de Messelmoun qui compte 7.600 habitants est composé de 90% de zones montagneuses et de trois kilomètres de côtes. Les autorités publiques se sont toujours heurtées à des contraintes de disponibilité d'assiette foncière. La rareté du portefeuille foncier s'explique par la nature juridique qui sont dans l'indivision, mais aussi par le fait que Messelmoun est enserrée entre un massif forestier très dense avec un relief abrupt au Sud et une bande littorale au Nord», nous explique un responsable au sein de la wilaya de Tipasa. Le manque flagrant d'infrastructures économiques et administrative nuit au développement de leur localité. Il faut noter que la wilaya de Tipasa a pris, à paartir de 2005, des mesures pour tenter de faire accélérer la roue de ce même développement, qui tarde à décoller, ceci en iprogrammant sur les raares terrainbs disponibles qualques projets d'utilité publique, mais cela reste neanmoins clairement insuffisant. Les infrastructures de base étant prioritaires, les autorités ont donc lancé la réalisation d'un collège d'enseignement moyen, d'un complexe sportif de proximité, d'une polyclinique, d'un bureau de poste ainsi qu'un programme pour l'habitat (toutes formules confondues), mais loin de répondre aux nombreuses demandes. Les pouvoirs publics ont aussi, dans le but d'améliorer les conditions de vie des résidants de Messelmoun, révisé le plan de développement et d'aménagement urbain qui s'étale sur quinze années dans l'objectif d'arriver à dégager des assiettes de terrain qui pourront abriter les nombreux projets dont le logement sera prioritaire ainsi qu'une zone d'activités et de services. La commune de Messelmoun dans la daïra de Gouraya à Tipasa, bien qu'elle soit la plus grande commune en termes de superficie dans la wilaya de Tipasa, reste néanmoins parmi les localités les plus déshéritées en matière d'infrastructures et de développement local. En effet il reste beaucoup à faire dans cette localité et en dépit des efforts consentis par les autorités locales. Il est à noter que le manque du foncier reste l'obstacle numéro 1 dans cette localité. Situation particulièrement pénalisante et qui empêche toute améliioration des conditions de vie des résidants de Messelmoun, aggravées par la nature géographique très difficile, la localité est située dans une zone montagneuse avec seulement trois kilomètres de côtes. De ce fait Messelmoun fait face à plusieurs problèmes juridiques et administratifs. En fait plusieurs assiettes de terrains sont susceptibles d'être reconverties en zones urbanisables, pendant que d'autres sont utilisés pour la préservation du périmètre agricole, notamment les SNU (Surfaces non urbanisable). «Le territoire de la commune de Messelmoun qui compte 7.600 habitants est composé de 90% de zones montagneuses et de trois kilomètres de côtes. Les autorités publiques se sont toujours heurtées à des contraintes de disponibilité d'assiette foncière. La rareté du portefeuille foncier s'explique par la nature juridique qui sont dans l'indivision, mais aussi par le fait que Messelmoun est enserrée entre un massif forestier très dense avec un relief abrupt au Sud et une bande littorale au Nord», nous explique un responsable au sein de la wilaya de Tipasa. Le manque flagrant d'infrastructures économiques et administrative nuit au développement de leur localité. Il faut noter que la wilaya de Tipasa a pris, à paartir de 2005, des mesures pour tenter de faire accélérer la roue de ce même développement, qui tarde à décoller, ceci en iprogrammant sur les raares terrainbs disponibles qualques projets d'utilité publique, mais cela reste neanmoins clairement insuffisant. Les infrastructures de base étant prioritaires, les autorités ont donc lancé la réalisation d'un collège d'enseignement moyen, d'un complexe sportif de proximité, d'une polyclinique, d'un bureau de poste ainsi qu'un programme pour l'habitat (toutes formules confondues), mais loin de répondre aux nombreuses demandes. Les pouvoirs publics ont aussi, dans le but d'améliorer les conditions de vie des résidants de Messelmoun, révisé le plan de développement et d'aménagement urbain qui s'étale sur quinze années dans l'objectif d'arriver à dégager des assiettes de terrain qui pourront abriter les nombreux projets dont le logement sera prioritaire ainsi qu'une zone d'activités et de services.