La Russie compte investir environ 100 milliards de dollars américains dans le développement de champs de gaz naturel ces cinq prochaines années, a annoncé le vice-Premier ministre Igor Sechin. Les installations gazières actuelles de la Russie, qui comprennent les équipements dans les régions minières et les systèmes de transport de gaz, valent entre 700 et 900 milliards de dollars, a déclaré M. Sechin à St-Petersbourg au Forum économique international. Les discussions ont porté sur le gaz de schiste qui a récemment remplacé le gaz naturel traditionnel en raison du boom rapide du gaz de schiste américain, a-t-il expliqué. Cependant, le gaz de schiste n'a une efficacité minière que relativement faible et son coût est élevé, a indiqué M. Sechin. Il a ajouté que le gaz de schiste n'a connu une augmentation considérable qu'aux Etats-Unis. D'après les estimations effectuées par les agences internationales d'énergie, le gaz naturel extrait par voies non traditionnelles ne représenterait que 14 % à 18 % de la production gazière totale d'ici 2030. C'est pourquoi, il est raisonnable de croire que le gaz naturel traditionnel ne sera pas remplacé par le gaz de schiste, a-t-il poursuivi. Enfin, les champs de gaz russes connaissent un coût comparativement stable, a ajouté M. Sechin. La Russie compte investir environ 100 milliards de dollars américains dans le développement de champs de gaz naturel ces cinq prochaines années, a annoncé le vice-Premier ministre Igor Sechin. Les installations gazières actuelles de la Russie, qui comprennent les équipements dans les régions minières et les systèmes de transport de gaz, valent entre 700 et 900 milliards de dollars, a déclaré M. Sechin à St-Petersbourg au Forum économique international. Les discussions ont porté sur le gaz de schiste qui a récemment remplacé le gaz naturel traditionnel en raison du boom rapide du gaz de schiste américain, a-t-il expliqué. Cependant, le gaz de schiste n'a une efficacité minière que relativement faible et son coût est élevé, a indiqué M. Sechin. Il a ajouté que le gaz de schiste n'a connu une augmentation considérable qu'aux Etats-Unis. D'après les estimations effectuées par les agences internationales d'énergie, le gaz naturel extrait par voies non traditionnelles ne représenterait que 14 % à 18 % de la production gazière totale d'ici 2030. C'est pourquoi, il est raisonnable de croire que le gaz naturel traditionnel ne sera pas remplacé par le gaz de schiste, a-t-il poursuivi. Enfin, les champs de gaz russes connaissent un coût comparativement stable, a ajouté M. Sechin.