Le tribunal criminel, près la cour d'Alger, a reporté, jeudi dernier, l'examen de l'affaire de l'attentat terroriste à l'explosif contre le Conseil constitutionnel à Ben Aknoun le 11 décembre 2007 à la prochaine session criminelle en raison de l'absence d'avocats des accusés. Cet attentat terroriste, qui a fait 10 morts et de nombreux blessés, avait été perpétré en même temps qu'un autre qui a ciblé le siège du Haut commissariat des Nations unies aux réfugiés. Selon un bilan du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, les deux attentats ont fait 26 morts et 177 blessés. Treize accusés, dont sept en fuite, sont poursuivis dans l'affaire de l'attentat contre le Conseil constitutionnel, dont le terroriste Droudkel Abdelmalek. Ils sont poursuivis pour appartenance à un groupe terroriste activant à l'intérieur et à l'extérieur du pays, homicide volontaire collectif par l'usage d'explosifs et atteinte à la sécurité de l'Etat et à l'intégrité territoriale. Le tribunal criminel, près la cour d'Alger, a reporté, jeudi dernier, l'examen de l'affaire de l'attentat terroriste à l'explosif contre le Conseil constitutionnel à Ben Aknoun le 11 décembre 2007 à la prochaine session criminelle en raison de l'absence d'avocats des accusés. Cet attentat terroriste, qui a fait 10 morts et de nombreux blessés, avait été perpétré en même temps qu'un autre qui a ciblé le siège du Haut commissariat des Nations unies aux réfugiés. Selon un bilan du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, les deux attentats ont fait 26 morts et 177 blessés. Treize accusés, dont sept en fuite, sont poursuivis dans l'affaire de l'attentat contre le Conseil constitutionnel, dont le terroriste Droudkel Abdelmalek. Ils sont poursuivis pour appartenance à un groupe terroriste activant à l'intérieur et à l'extérieur du pays, homicide volontaire collectif par l'usage d'explosifs et atteinte à la sécurité de l'Etat et à l'intégrité territoriale.