L'autre fait mis en évidence à trait à l'insuffisance de la part de l'investissement féminin, fait s'expliquant essentiellement par "la prédominance des investissements dans les créneaux du transport de marchandises et du bâtiment et travaux publics, demeurant toujours une chasse gardée de la gent masculine", L'autre fait mis en évidence à trait à l'insuffisance de la part de l'investissement féminin, fait s'expliquant essentiellement par "la prédominance des investissements dans les créneaux du transport de marchandises et du bâtiment et travaux publics, demeurant toujours une chasse gardée de la gent masculine", Hocine Lamouri, directeur de l'antenne Ansej de Tizi-Ouzou a annoncé que quelque sept cent treize micro-entreprises ont été créées durant le 1er semestre 2010 dans la wilaya de Tizi-Ouzou au titre du dispositif assigné par la tutelle, soit une concrétisation de 80% de l'objectif annuel, a appris l'APS. La mise en exploitation de ces projets, initiés pour un coût global de 3,18 milliards de dinars, dont 2,19 milliards de crédits bancaires, a généré une offre de 1.580 emplois permanents, a-t- précisé. "Par créneaux d'investissement, le secteur des services compte à son actif 444 entreprises créées, contre 130 pour le bâtiment et les travaux publics, 83 pour la petite industrie, 34 pour l'agriculture, alors que les activités artisanales viennent en dernière position avec 22 projets initiés", a relevé M. Lamouri, qui estime que "le secteur de l'artisanat présente de réelles opportunités d'investissement, surtout avec la dernière décision de son rattachement à celui du tourisme". "Bien que se situant largement au-delà de nos attentes, ce chiffre de projets créés aurait pu être plus important, si l'investissement dans le secteur de l'agriculture, à potentialités évidentes, n'est pas soumis aux exigences" des procédures bancaires, a souligné M. Lamouri. Il est ainsi "exigé de tout postulant au financement d'un projet agricole de disposer d'un titre de propriété foncière, or il se trouve que, depuis tout temps, la quasi-totalité des parcelles ne sont pas actées, et sont de taille réduite et exploitées dans l'indivision", a-t-il expliqué. Pis encore, en dépit de son énorme potentiel d'opportunités, le secteur de la pêche ne compte "aucun projet d'initié au titre du dispositif ANSEJ", selon ce responsable, qui a imputé cet état de fait à "la subordination de l'éligibilité à ce type d'investissement à l'obtention préalable d'une autorisation de la Direction de la pêche et des ressources halieutiques". L'exigence faite aux porteurs de projets, pour être éligibles, d'obtenir au préalable le bilan de l'ANSEJ pour la période considérée, a conduit au rejet d'une cinquantaine de dossiers, "faute, pour les postulants, de satisfaire à cette exigence de fourniture d'un acte de propriété, ou d'un contrat de location d'un bien foncier justifiant d'un titre de propriété dûment authentifié", a-t-il déploré. L'autre fait mis en évidence à trait à l'insuffisance de la part de l'investissement féminin, fait s'expliquant essentiellement par "la prédominance des investissements dans les créneaux du transport de marchandises et du bâtiment et travaux publics, demeurant toujours une chasse gardée de la gent masculine", a-t-on indiqué. Depuis son lancement en 1998 dans la wilaya de Tizi-Ouzou, ce dispositif de soutien à l'emploi de jeunes a permis la création de 8.852 micro-entreprises, ayant généré une offre globale de 23.700 emplois permanents, pour un montant d'investissement global de 20,7 milliards de dinars. Hocine Lamouri, directeur de l'antenne Ansej de Tizi-Ouzou a annoncé que quelque sept cent treize micro-entreprises ont été créées durant le 1er semestre 2010 dans la wilaya de Tizi-Ouzou au titre du dispositif assigné par la tutelle, soit une concrétisation de 80% de l'objectif annuel, a appris l'APS. La mise en exploitation de ces projets, initiés pour un coût global de 3,18 milliards de dinars, dont 2,19 milliards de crédits bancaires, a généré une offre de 1.580 emplois permanents, a-t- précisé. "Par créneaux d'investissement, le secteur des services compte à son actif 444 entreprises créées, contre 130 pour le bâtiment et les travaux publics, 83 pour la petite industrie, 34 pour l'agriculture, alors que les activités artisanales viennent en dernière position avec 22 projets initiés", a relevé M. Lamouri, qui estime que "le secteur de l'artisanat présente de réelles opportunités d'investissement, surtout avec la dernière décision de son rattachement à celui du tourisme". "Bien que se situant largement au-delà de nos attentes, ce chiffre de projets créés aurait pu être plus important, si l'investissement dans le secteur de l'agriculture, à potentialités évidentes, n'est pas soumis aux exigences" des procédures bancaires, a souligné M. Lamouri. Il est ainsi "exigé de tout postulant au financement d'un projet agricole de disposer d'un titre de propriété foncière, or il se trouve que, depuis tout temps, la quasi-totalité des parcelles ne sont pas actées, et sont de taille réduite et exploitées dans l'indivision", a-t-il expliqué. Pis encore, en dépit de son énorme potentiel d'opportunités, le secteur de la pêche ne compte "aucun projet d'initié au titre du dispositif ANSEJ", selon ce responsable, qui a imputé cet état de fait à "la subordination de l'éligibilité à ce type d'investissement à l'obtention préalable d'une autorisation de la Direction de la pêche et des ressources halieutiques". L'exigence faite aux porteurs de projets, pour être éligibles, d'obtenir au préalable le bilan de l'ANSEJ pour la période considérée, a conduit au rejet d'une cinquantaine de dossiers, "faute, pour les postulants, de satisfaire à cette exigence de fourniture d'un acte de propriété, ou d'un contrat de location d'un bien foncier justifiant d'un titre de propriété dûment authentifié", a-t-il déploré. L'autre fait mis en évidence à trait à l'insuffisance de la part de l'investissement féminin, fait s'expliquant essentiellement par "la prédominance des investissements dans les créneaux du transport de marchandises et du bâtiment et travaux publics, demeurant toujours une chasse gardée de la gent masculine", a-t-on indiqué. Depuis son lancement en 1998 dans la wilaya de Tizi-Ouzou, ce dispositif de soutien à l'emploi de jeunes a permis la création de 8.852 micro-entreprises, ayant généré une offre globale de 23.700 emplois permanents, pour un montant d'investissement global de 20,7 milliards de dinars.