Un quart au moins des sélectionneurs nationaux, présents à la Coupe du monde de football en Afrique du Sud, ont été remerciés par leurs fédérations ou démissionné, à l'issue de l'éliminations de leurs équipes et viennent de vérifier à leurs dépens que leur avenir reste suspendu au seul résultat. Un quart au moins des sélectionneurs nationaux, présents à la Coupe du monde de football en Afrique du Sud, ont été remerciés par leurs fédérations ou démissionné, à l'issue de l'éliminations de leurs équipes et viennent de vérifier à leurs dépens que leur avenir reste suspendu au seul résultat. Huit entraîneurs des équipes nationales ont été limogés ou poussés vers la porte de sortie à l'issue des résultats jugés catastrophiques ou tout simplement en deçà des espérances de leurs employeurs, alors que l'avenir des autres restent suspendu à l'analyse du bilan de leurs parcours à la tête de leurs groupes. Parmi ces techniciens, plusieurs n'ont pas hésité à assumer leurs responsabilités dans la déroute ou l'élimination de leur équipe. Sans jeter la pierre à personne, ils se sont déclarés seuls responsables des défaites et des échecs. Le sélectionneur de l'Italie a été parmi les premiers de la liste des entraîneurs qui ont porté, seuls, le chapeau de l'élimination de leurs teams. «Si on n'a pas réussi, c'est parce que l'entraîneur n'a pas préparé l'équipe de manière correcte sur les plans physique et tactique, surtout psychologique» avait reconnu sans détours ni faux-fuyants Marcello Lippi. Il a été précédé par l'entraîneur de la Corée du Nord qui, pour expliquer la lourde défaite de sa sélection face au Portugal, a endossé le tout en précisant que c'est lui qui a failli dans son travail. La fédération italienne a déjà nommé Cesare Prandelli à la tête de la Squadra Azura pour tenter de rectifier le tir et de remettre la sélection sur la bonne voie en commençant par le rajeunissement de l'effectif. Le chamboulement de l'équipe italienne le sera comme celle de la France dont la participation a été un fiasco total. Une humiliation qui a poussé le chef de l'Etat à se saisir de la question pour «remettre de l'ordre». Départ non seulement du sélectionneur Raymond Domenech mais aussi de celui de Jean-Pierre Escalettes président de la Fédération française qui avait comme celle de l'Italie décidé de se séparer de son coach, bien avant le Mondial. Cette situation a été vécue par l'équipe du Nigeria soumise à un bras de fer entre son gouvernement et la FIFA et qui a tourné finalement à l'avantage de l'instance mondiale qui a avait imposé ses lois et règlements. L'autre technicien qui s'est limité à la fin du contrat est le Français Paul Le Guen qui, suite trois défaites du Cameroun au mondial 2010, a préféré arrêter son chemin. «Mon contrat se termine et je vais arrêter», s'est-il contenté de dire à la presse. Le sélectionneur japonais Takeshi Okada dont l'équipe a atteint les 8es de finale du Mondial-2010 mardi, a lui aussi annoncé sa volonté de quitter ses fonctions tout avouant qu'il était aussi responsable de la défaite. «C'est moi qui suis responsable de cette défaite, pas les joueurs. Je n'en ai pas fait assez pour leur permettre de gagner», avait regretté Osaka qui avait déjà dirigé les "Samouraïs bleus" à la fin des années 1990, les qualifiant pour le Mondial 1998. Pour sa part, le conseil d'administration de la Fédération grecque de football (EPO) a désigné à l'unanimité le Portugais Fernando Santos, nommé pour les deux prochaines saisons avec pour objectif de qualifier la Grèce pour l'Euro-2012. Il remplace l'Allemand Otto Rehhagel à la tête de la Grèce depuis plus neuf ans, avec laquelle il avait remporté la coupe d'Europe des nations en 2004. Le Brésil éliminé, alors qu'il était super favori, s'est séparé de son entraîneur Dunga qui a lui aussi reconnu la faillite de sa gestion du groupe. «En tant qu'entraîneur, on est toujours responsable de la situation. J'ai la plus grande responsabilité mais nous sommes tous responsables», a-t-il dit. Dunga qui a été critiqué après surtout la non convocation de Ronaldinho était nommé pour quatre ans. Comme la Corée du Nord, celle du Sud a enregistré le départ de Huh Jung-mo qui a démissionné de son poste. Comme notre sélectionneur national, Rabah Saâdane dont l'avenir à la tête des Verts n'est pas encore réglé, d'autres sélectionneurs aussi ne sont pas encore fixés sur leurs avenirs immédiats. Maradona, Capello et autres Carlos Queiroz du Portugal préfèrent prendre du recul avant de se décider, même si les échéances internationales approchent et sont à la porte… Huit entraîneurs des équipes nationales ont été limogés ou poussés vers la porte de sortie à l'issue des résultats jugés catastrophiques ou tout simplement en deçà des espérances de leurs employeurs, alors que l'avenir des autres restent suspendu à l'analyse du bilan de leurs parcours à la tête de leurs groupes. Parmi ces techniciens, plusieurs n'ont pas hésité à assumer leurs responsabilités dans la déroute ou l'élimination de leur équipe. Sans jeter la pierre à personne, ils se sont déclarés seuls responsables des défaites et des échecs. Le sélectionneur de l'Italie a été parmi les premiers de la liste des entraîneurs qui ont porté, seuls, le chapeau de l'élimination de leurs teams. «Si on n'a pas réussi, c'est parce que l'entraîneur n'a pas préparé l'équipe de manière correcte sur les plans physique et tactique, surtout psychologique» avait reconnu sans détours ni faux-fuyants Marcello Lippi. Il a été précédé par l'entraîneur de la Corée du Nord qui, pour expliquer la lourde défaite de sa sélection face au Portugal, a endossé le tout en précisant que c'est lui qui a failli dans son travail. La fédération italienne a déjà nommé Cesare Prandelli à la tête de la Squadra Azura pour tenter de rectifier le tir et de remettre la sélection sur la bonne voie en commençant par le rajeunissement de l'effectif. Le chamboulement de l'équipe italienne le sera comme celle de la France dont la participation a été un fiasco total. Une humiliation qui a poussé le chef de l'Etat à se saisir de la question pour «remettre de l'ordre». Départ non seulement du sélectionneur Raymond Domenech mais aussi de celui de Jean-Pierre Escalettes président de la Fédération française qui avait comme celle de l'Italie décidé de se séparer de son coach, bien avant le Mondial. Cette situation a été vécue par l'équipe du Nigeria soumise à un bras de fer entre son gouvernement et la FIFA et qui a tourné finalement à l'avantage de l'instance mondiale qui a avait imposé ses lois et règlements. L'autre technicien qui s'est limité à la fin du contrat est le Français Paul Le Guen qui, suite trois défaites du Cameroun au mondial 2010, a préféré arrêter son chemin. «Mon contrat se termine et je vais arrêter», s'est-il contenté de dire à la presse. Le sélectionneur japonais Takeshi Okada dont l'équipe a atteint les 8es de finale du Mondial-2010 mardi, a lui aussi annoncé sa volonté de quitter ses fonctions tout avouant qu'il était aussi responsable de la défaite. «C'est moi qui suis responsable de cette défaite, pas les joueurs. Je n'en ai pas fait assez pour leur permettre de gagner», avait regretté Osaka qui avait déjà dirigé les "Samouraïs bleus" à la fin des années 1990, les qualifiant pour le Mondial 1998. Pour sa part, le conseil d'administration de la Fédération grecque de football (EPO) a désigné à l'unanimité le Portugais Fernando Santos, nommé pour les deux prochaines saisons avec pour objectif de qualifier la Grèce pour l'Euro-2012. Il remplace l'Allemand Otto Rehhagel à la tête de la Grèce depuis plus neuf ans, avec laquelle il avait remporté la coupe d'Europe des nations en 2004. Le Brésil éliminé, alors qu'il était super favori, s'est séparé de son entraîneur Dunga qui a lui aussi reconnu la faillite de sa gestion du groupe. «En tant qu'entraîneur, on est toujours responsable de la situation. J'ai la plus grande responsabilité mais nous sommes tous responsables», a-t-il dit. Dunga qui a été critiqué après surtout la non convocation de Ronaldinho était nommé pour quatre ans. Comme la Corée du Nord, celle du Sud a enregistré le départ de Huh Jung-mo qui a démissionné de son poste. Comme notre sélectionneur national, Rabah Saâdane dont l'avenir à la tête des Verts n'est pas encore réglé, d'autres sélectionneurs aussi ne sont pas encore fixés sur leurs avenirs immédiats. Maradona, Capello et autres Carlos Queiroz du Portugal préfèrent prendre du recul avant de se décider, même si les échéances internationales approchent et sont à la porte…