À Souk-Ahras comme ailleurs, et devant le refus des jeunes d'acquérir des locaux dans de tels endroits, ces derniers sont restés à l'abandon total et se sont transformés en lieux de débauche pendant la nuit malgré les descentes opérées de temps à autre par les services de sécurité. À Souk-Ahras comme ailleurs, et devant le refus des jeunes d'acquérir des locaux dans de tels endroits, ces derniers sont restés à l'abandon total et se sont transformés en lieux de débauche pendant la nuit malgré les descentes opérées de temps à autre par les services de sécurité. Lorsque le président de la République avait lancé l'opération 100 locaux par commune en faveur des jeunes chômeurs, il ne s'attendait sûrement pas à voir des locaux éparpillés ici et là, sans esthétique aucune, dans des endroits où nul n'ose s'aventurer. À Souk-Ahras comme ailleurs, et devant le refus des jeunes d'acquérir des locaux dans de tels endroits, ces derniers sont restés à l'abandon total et se sont transformés en lieux de débauche pendant la nuit malgré les descentes opérées de temps à autre par les services de sécurité. « On aurait pu créer dans chaque commune un petit centre commercial sécurisé et esthétiquement présentable au lieu de gaspiller ainsi l'argent du contribuable » lance une bénéficiaire qui est venu se plaindre de l'état de l'étanchéité du local ou elle exerce, de l'état de la chaussée et de la défaillance de l'éclairage public dans son quartier. Bien que la wilaya de Souk-Ahras avait bénéficié d'un quota important de ces locaux, plus de la moitié demeure encore vide à cause de l'endroit où ils sont implantés à l'image de ceux construits prés de la CNAS à Souk-Ahras ou ceux d'el Ogla à quelques kilomètres au sud de Sedrata et juste en face d'une décharge d'ordures ménagères, le president d'une association nous confie, sous couvert de l'anonymat, que dans sa commune ces locaux se sont transformés par des opportunistes en logements, une information qui si elle vient à se confirmer soulevera un problème de taille. « Que vais-je faire dans un endroit isolé que personne ne frequente ? » s'interroge un jeune diplômé en coifure du centre de formation professionnelle. La question soulevée par ce jeune necessite reflexion, puisque si ce jeune pense au côté commercial, et il a entièrement raison, que dire alors des jeunes filles bénéficiaires et qui seraient exposées au risque d'insécurité dans de tels endroits ? Lorsque le président de la République avait lancé l'opération 100 locaux par commune en faveur des jeunes chômeurs, il ne s'attendait sûrement pas à voir des locaux éparpillés ici et là, sans esthétique aucune, dans des endroits où nul n'ose s'aventurer. À Souk-Ahras comme ailleurs, et devant le refus des jeunes d'acquérir des locaux dans de tels endroits, ces derniers sont restés à l'abandon total et se sont transformés en lieux de débauche pendant la nuit malgré les descentes opérées de temps à autre par les services de sécurité. « On aurait pu créer dans chaque commune un petit centre commercial sécurisé et esthétiquement présentable au lieu de gaspiller ainsi l'argent du contribuable » lance une bénéficiaire qui est venu se plaindre de l'état de l'étanchéité du local ou elle exerce, de l'état de la chaussée et de la défaillance de l'éclairage public dans son quartier. Bien que la wilaya de Souk-Ahras avait bénéficié d'un quota important de ces locaux, plus de la moitié demeure encore vide à cause de l'endroit où ils sont implantés à l'image de ceux construits prés de la CNAS à Souk-Ahras ou ceux d'el Ogla à quelques kilomètres au sud de Sedrata et juste en face d'une décharge d'ordures ménagères, le president d'une association nous confie, sous couvert de l'anonymat, que dans sa commune ces locaux se sont transformés par des opportunistes en logements, une information qui si elle vient à se confirmer soulevera un problème de taille. « Que vais-je faire dans un endroit isolé que personne ne frequente ? » s'interroge un jeune diplômé en coifure du centre de formation professionnelle. La question soulevée par ce jeune necessite reflexion, puisque si ce jeune pense au côté commercial, et il a entièrement raison, que dire alors des jeunes filles bénéficiaires et qui seraient exposées au risque d'insécurité dans de tels endroits ?