Des jeunes filles universitaires bénéficiaires de locaux du Président dans le cadre du programme 100 locaux par commune sont venues se plaindre de la situation désastreuse dans laquelle se trouvent les locaux qui leurs ont été attribués sis à route de Tunis (derrière le palais de justice) dans une cité qui, depuis l'époque coloniale, n'a pas été aménagée. Dans une requête qu'elles ont adressée au président de la République, les bénéficiaires se plaignent notamment de l'étanchéité défectueuse qui - lorsqu'il pleut - met leurs appareils électriques (ordinateurs surtout) en danger, de l'état impraticable de la chaussée que même les 4x4 ne peuvent emprunter, de l'insécurité qui règne en l'absence d'éclairage public (un climat favorable à la délinquance). Les plaignantes disent avoir adressé plusieurs plaintes aux instances concernées mais leurs doléances seraient restées sans écho.Lorsque le président de la République avait lancé l'opération 100 locaux par commune en faveur des jeunes chômeurs, il ne s'attendait sûrement pas à voir des locaux aux qualités de travaux médiocres, éparpillés ici et là, sans esthétique aucune, dans des endroits où nul n'ose s'aventurer malgré le besoin. À Souk-Ahras comme ailleurs, et devant le refus des jeunes chômeurs d'acquérir des locaux dans de tels endroits, ces derniers sont restés à l'abandon et se sont transformés en lieux de débauche pendant la nuit où des délinquants s'adonnent à la drogue, à l'alcool et aux mœurs, malgré les descentes opérées de temps à autre par les services de sécurité. Bien que la wilaya de Souk-Ahras ait bénéficié d'un quota important de ces locaux, plus de la moitié demeurent encore vide à cause de l'endroit où ils sont implantés à l'image de ceux construits près de la CNAS à Souk-Ahras, près du parc de taxis inter-wilayas nord, à Chaabani ou ceux d'El Ogla à quelques kilomètres au sud de Sedrata et juste en face d'une décharge d'ordures ménagères, pour ne citer que ceux là. K. M. Des jeunes filles universitaires bénéficiaires de locaux du Président dans le cadre du programme 100 locaux par commune sont venues se plaindre de la situation désastreuse dans laquelle se trouvent les locaux qui leurs ont été attribués sis à route de Tunis (derrière le palais de justice) dans une cité qui, depuis l'époque coloniale, n'a pas été aménagée. Dans une requête qu'elles ont adressée au président de la République, les bénéficiaires se plaignent notamment de l'étanchéité défectueuse qui - lorsqu'il pleut - met leurs appareils électriques (ordinateurs surtout) en danger, de l'état impraticable de la chaussée que même les 4x4 ne peuvent emprunter, de l'insécurité qui règne en l'absence d'éclairage public (un climat favorable à la délinquance). Les plaignantes disent avoir adressé plusieurs plaintes aux instances concernées mais leurs doléances seraient restées sans écho.Lorsque le président de la République avait lancé l'opération 100 locaux par commune en faveur des jeunes chômeurs, il ne s'attendait sûrement pas à voir des locaux aux qualités de travaux médiocres, éparpillés ici et là, sans esthétique aucune, dans des endroits où nul n'ose s'aventurer malgré le besoin. À Souk-Ahras comme ailleurs, et devant le refus des jeunes chômeurs d'acquérir des locaux dans de tels endroits, ces derniers sont restés à l'abandon et se sont transformés en lieux de débauche pendant la nuit où des délinquants s'adonnent à la drogue, à l'alcool et aux mœurs, malgré les descentes opérées de temps à autre par les services de sécurité. Bien que la wilaya de Souk-Ahras ait bénéficié d'un quota important de ces locaux, plus de la moitié demeurent encore vide à cause de l'endroit où ils sont implantés à l'image de ceux construits près de la CNAS à Souk-Ahras, près du parc de taxis inter-wilayas nord, à Chaabani ou ceux d'El Ogla à quelques kilomètres au sud de Sedrata et juste en face d'une décharge d'ordures ménagères, pour ne citer que ceux là. K. M.