En dépit des mesures préventives et répressives introduites dans le nouveau code de la route, les accidents de la circulation continuent de faire des victimes. Selon le commandant du groupement de gendarmerie de la wilaya de Souk-Ahras, le colonel Touafek, on a enregistré 83 accidents durant le premier quadrimestre 2010 provoquant 8 morts et 157 blessés. 89 % de ces accidents (soit 74 cas) ont été causés par l‘erreur humaine. En 2009 on a enregistré, selon la même source, 282 accidents causant 32 morts et 482 blessés.Une petite comparaison entre les deux chiffres montre que le nombre d‘accidents cette année risque de dépasser celui de l‘année dernière ce qui laisse supposer que la solution ne réside pas dans l‘application rigoureuse du code de la route ou les campagnes de sensibilisation mais plutôt dans la recherche des causes réelles et en tirer les conclusions et les enseignements. L‘état de la chaussée et les virages dangereux (20 sur la RN 16 et 5 sur la RN 81), le non respect du code de la route et les dépassements dangereux ont été les principaux facteurs d‘après les services de securité. D‘autre part, notre étude des différents cas en notre possession a démontré que l‘écrasante majorité de ces accidents (98 %) se sont déroulés sur des routes à double sens que ce soit à la RN 16 vers Annaba via Bouchegouf, la RN 81 vers Tébessa via Mdaourouche, la RN 82 vers Oum el Bouagui via Sedrata ou la RN 20 vers Tarf au nord ou la frontière tunisienne à l‘Est car toutes ces routes ne comportent qu‘une seule voie à double sens d‘où les risques énormes de collision pendant les dépassements sans oublier les virages dont les angles d‘inclinaison ne sont pas calculés selon les lois de physique ce qui amène les véhicules à rater le virage sous l‘effet d‘une force centripète énorme qui devrait être équilibrée par la force centrifuge du vehicule en marche, cette derniere augmente avec l‘inclinaison du virage et assure au vehicule une adhérence suffisante. L‘autre facteur à ne pas négliger est celui des poids lourds (camions et tracteurs) qui empruntent ces routes nationales et qui, avec leur vitesse très réduite, obligent les automobilistes impatients ou en retard pour rejoindre leurs lieux de travail à s‘aventurer dans des dépassements dangereux et mortels. Pour venir à bout de ce fléau, la solution est simple. Puisque toutes les tentatives incitatives et persuasives et toutes les mesures préventives et répressives ont été vaines, toutes nos routes (inter-wilayas pour commencer) doivent être aménagées en double-voies séparées, cela mettra sûrement fin aux collisions dues aux dépassements, réduira le nombre d‘accidents et facilitera le trafic routier. En dépit des mesures préventives et répressives introduites dans le nouveau code de la route, les accidents de la circulation continuent de faire des victimes. Selon le commandant du groupement de gendarmerie de la wilaya de Souk-Ahras, le colonel Touafek, on a enregistré 83 accidents durant le premier quadrimestre 2010 provoquant 8 morts et 157 blessés. 89 % de ces accidents (soit 74 cas) ont été causés par l‘erreur humaine. En 2009 on a enregistré, selon la même source, 282 accidents causant 32 morts et 482 blessés.Une petite comparaison entre les deux chiffres montre que le nombre d‘accidents cette année risque de dépasser celui de l‘année dernière ce qui laisse supposer que la solution ne réside pas dans l‘application rigoureuse du code de la route ou les campagnes de sensibilisation mais plutôt dans la recherche des causes réelles et en tirer les conclusions et les enseignements. L‘état de la chaussée et les virages dangereux (20 sur la RN 16 et 5 sur la RN 81), le non respect du code de la route et les dépassements dangereux ont été les principaux facteurs d‘après les services de securité. D‘autre part, notre étude des différents cas en notre possession a démontré que l‘écrasante majorité de ces accidents (98 %) se sont déroulés sur des routes à double sens que ce soit à la RN 16 vers Annaba via Bouchegouf, la RN 81 vers Tébessa via Mdaourouche, la RN 82 vers Oum el Bouagui via Sedrata ou la RN 20 vers Tarf au nord ou la frontière tunisienne à l‘Est car toutes ces routes ne comportent qu‘une seule voie à double sens d‘où les risques énormes de collision pendant les dépassements sans oublier les virages dont les angles d‘inclinaison ne sont pas calculés selon les lois de physique ce qui amène les véhicules à rater le virage sous l‘effet d‘une force centripète énorme qui devrait être équilibrée par la force centrifuge du vehicule en marche, cette derniere augmente avec l‘inclinaison du virage et assure au vehicule une adhérence suffisante. L‘autre facteur à ne pas négliger est celui des poids lourds (camions et tracteurs) qui empruntent ces routes nationales et qui, avec leur vitesse très réduite, obligent les automobilistes impatients ou en retard pour rejoindre leurs lieux de travail à s‘aventurer dans des dépassements dangereux et mortels. Pour venir à bout de ce fléau, la solution est simple. Puisque toutes les tentatives incitatives et persuasives et toutes les mesures préventives et répressives ont été vaines, toutes nos routes (inter-wilayas pour commencer) doivent être aménagées en double-voies séparées, cela mettra sûrement fin aux collisions dues aux dépassements, réduira le nombre d‘accidents et facilitera le trafic routier.