Les résidants de la cité populaire Mounib, située à l'ouest de la localité des Eucalyptus se plaignent de l'absence d'éclairage public. Un représentant de ce quartier, non intégré dans le plan communal de réhabilitation urbaine, souligne notamment l'insécurité engendrée par ces ténèbres qui pénalisent grandement plus de cinq mille habitants, et ce depuis plusieurs années. Ainsi, les familles sont condamnées à rentrer chez eux dès le crépusculeet ne plus en bouger, sauf cas de force majeure, de crainte de subir des agressions de la part de groupes de voyous qui squattent le quartier ès la tombée de la nuit et qui arrivent de tous les quartiers avoisinants. A cela s'ajoute la détérioration de larges tronçons de l'unique route, par endroits, entièrement éventrée. La circulation automobile y est quasi impossible, et les déplacements des piétons sont des plus difficiles, vu les innombrables ornières. En cette période de "grandes" vacances scolaires, les parents s'inquiètent vivement du devenir de leurs enfants. Il est vrai que jusqu'à hier tout le monde était branché sur les compétitions de la Coupe du monde, mais à partir d'aujourd'hui, leur calvaire commencera se désole-ton. Pour réduire un tant soit peu ces nombreuses nuisances, les habitants de ce site oublié interpellent les autorités locales afin de leur installer, pour un premier temps, l'éclairage public, qui n'est nullement un luxe dans cette cité du bout du monde. A.-H. M. Les résidants de la cité populaire Mounib, située à l'ouest de la localité des Eucalyptus se plaignent de l'absence d'éclairage public. Un représentant de ce quartier, non intégré dans le plan communal de réhabilitation urbaine, souligne notamment l'insécurité engendrée par ces ténèbres qui pénalisent grandement plus de cinq mille habitants, et ce depuis plusieurs années. Ainsi, les familles sont condamnées à rentrer chez eux dès le crépusculeet ne plus en bouger, sauf cas de force majeure, de crainte de subir des agressions de la part de groupes de voyous qui squattent le quartier ès la tombée de la nuit et qui arrivent de tous les quartiers avoisinants. A cela s'ajoute la détérioration de larges tronçons de l'unique route, par endroits, entièrement éventrée. La circulation automobile y est quasi impossible, et les déplacements des piétons sont des plus difficiles, vu les innombrables ornières. En cette période de "grandes" vacances scolaires, les parents s'inquiètent vivement du devenir de leurs enfants. Il est vrai que jusqu'à hier tout le monde était branché sur les compétitions de la Coupe du monde, mais à partir d'aujourd'hui, leur calvaire commencera se désole-ton. Pour réduire un tant soit peu ces nombreuses nuisances, les habitants de ce site oublié interpellent les autorités locales afin de leur installer, pour un premier temps, l'éclairage public, qui n'est nullement un luxe dans cette cité du bout du monde. A.-H. M.