Leila la Batnéenne a été nominée, par le pays de l'oncle Sam, pour ses œuvres -nombreuses- en sculpture et peinture. cette jeune femme qui a su concilier le triptyque -Art-famille et métier s'est imposée sur la scène internationale et n'en est pas à sa première distinction. Leila la Batnéenne a été nominée, par le pays de l'oncle Sam, pour ses œuvres -nombreuses- en sculpture et peinture. cette jeune femme qui a su concilier le triptyque -Art-famille et métier s'est imposée sur la scène internationale et n'en est pas à sa première distinction. L'autodidacte des arts majeurs, la peinture à l'huile et la sculpture, Leila Ameddah, dentiste de profession, vient de réussir son inscription dans le Livre d'Or «International Contemporary Masters 2009 (ICM 2009)», un répertoire des artistes contemporains internationaux, édité par WWAB (Word Wild Art Books), à Santa Barbara, en Amérique du Nord. Et c'est en l'honneur de l'Algérie et des Aurès. Leila la Batnéenne a été nominée, par le pays de l'oncle SAM , pour ses œuvres -nombreuses- en sculpture et peinture. Sa bibliographie est accompagnée par une illustration d'une toile illustrant les bijoux berbères «dans le style semi abstrait» précise l'honorée. Devant ce trophée arraché de haute lutte par la chirurgienne dentiste du pays profond, les Aurès, la direction de la culture de Batna a organisé une conférence de presse pour lui donner la parole en la circonstance, suivie d'une visite à l'atelier de Leila, cette jeune femme qui a su concilier le triptyque -Art-famille et métier. La peintre-sculpteuse, par son amour fou pour l'art, s'est imposée sur la scène internationale et n'en est pas à sa première distinction, dès lors qu'elle a été déjà référenciée dans le dictionnaire des artistes algériens (1917-2006), élaboré par le directeur de la culture de Créteil (France), qui a répertorié 1.705 biographies.L'ouvrage est édité par la prestigieuse maison l'Harmattan (2006). C'est la nostalgie nationaliste qui aurait probablement, inspiré cet homme de culture algérien, installé en France. "A force de forger, on devient forgeron", dit l'adage. Ainsi, la femme chaouia Leila s'est déjà illustrée dans le dictionnaire Diwan Al Fen de l'année 2008 sous la plume de Djamila Flici-Guendil, une énarque de l'Algérie promotion 1980, qui s'est versée dans la littérature culturelle. L'ouvrage éponyme, très bien illustré, comptabilise mille neuf cent soixante-dix-sept artistes et designers algériens. Enfin, le féru de l'art, le professeur Mansour Abrous vient d'informer cette femme-artiste de la parution du dernier répertoire bibliographique de la période 1840-2008 des artistes algériens, paru aux Editions Casbah à Alger «Et c'est en l'honneur de notre ambassadeur de l'art et gardien du Temple», se félicite Leila Ameddah qui ne manque pas d'éloges à l'endroit de l'homme de culture engagé. La prestigieuse dame de Batna rectifie et précise : «Je remercie les medias lourds algériens qui ont consacré des émissions à mes travaux». Peu de publications algériennes s'intéressent dans les détails à l'art dans tous ses états. Aux dernières nouvelles, un designer anglo-saxon de New York aurait invité la Chaouia algérienne, sur la Toile, pour un partenariat. L'autodidacte des arts majeurs, la peinture à l'huile et la sculpture, Leila Ameddah, dentiste de profession, vient de réussir son inscription dans le Livre d'Or «International Contemporary Masters 2009 (ICM 2009)», un répertoire des artistes contemporains internationaux, édité par WWAB (Word Wild Art Books), à Santa Barbara, en Amérique du Nord. Et c'est en l'honneur de l'Algérie et des Aurès. Leila la Batnéenne a été nominée, par le pays de l'oncle SAM , pour ses œuvres -nombreuses- en sculpture et peinture. Sa bibliographie est accompagnée par une illustration d'une toile illustrant les bijoux berbères «dans le style semi abstrait» précise l'honorée. Devant ce trophée arraché de haute lutte par la chirurgienne dentiste du pays profond, les Aurès, la direction de la culture de Batna a organisé une conférence de presse pour lui donner la parole en la circonstance, suivie d'une visite à l'atelier de Leila, cette jeune femme qui a su concilier le triptyque -Art-famille et métier. La peintre-sculpteuse, par son amour fou pour l'art, s'est imposée sur la scène internationale et n'en est pas à sa première distinction, dès lors qu'elle a été déjà référenciée dans le dictionnaire des artistes algériens (1917-2006), élaboré par le directeur de la culture de Créteil (France), qui a répertorié 1.705 biographies.L'ouvrage est édité par la prestigieuse maison l'Harmattan (2006). C'est la nostalgie nationaliste qui aurait probablement, inspiré cet homme de culture algérien, installé en France. "A force de forger, on devient forgeron", dit l'adage. Ainsi, la femme chaouia Leila s'est déjà illustrée dans le dictionnaire Diwan Al Fen de l'année 2008 sous la plume de Djamila Flici-Guendil, une énarque de l'Algérie promotion 1980, qui s'est versée dans la littérature culturelle. L'ouvrage éponyme, très bien illustré, comptabilise mille neuf cent soixante-dix-sept artistes et designers algériens. Enfin, le féru de l'art, le professeur Mansour Abrous vient d'informer cette femme-artiste de la parution du dernier répertoire bibliographique de la période 1840-2008 des artistes algériens, paru aux Editions Casbah à Alger «Et c'est en l'honneur de notre ambassadeur de l'art et gardien du Temple», se félicite Leila Ameddah qui ne manque pas d'éloges à l'endroit de l'homme de culture engagé. La prestigieuse dame de Batna rectifie et précise : «Je remercie les medias lourds algériens qui ont consacré des émissions à mes travaux». Peu de publications algériennes s'intéressent dans les détails à l'art dans tous ses états. Aux dernières nouvelles, un designer anglo-saxon de New York aurait invité la Chaouia algérienne, sur la Toile, pour un partenariat.