Les problème des logements AADL ne semble pas trouver son épilogue, en effet chaque jour, des postulants se rassemblent pour protester devant la direction de cette Agence. Cette fois-ci, c'est au tour des bénéficiaires du site de Ain Benian, ces derniers ont menacé de couper les routes de leur commune et d'envahir le siège AADL pour faire entendre leurs voix. Ces familles, qui ont postulé en 2002 n'ont, jusqu'à aujourd'hui, pas encore reçu leurs appartements pourtant prévus à la livraison 18 mois après le démarrage des travaux.À cause de l'arrêt répétitif des travaux de ce projet de 1.500 logement dans le quartier Belle-Vue à Ain Bebiane les délais ont été prorogés à l'année 2007 et les bénéficiaires ont reçu l'assurance des responsables de l'agence d'avoir leurs toits à fin 2007, mais encore une fois, ces promesses n'ont pas été tenues. Après d'incessantes réclamations auprès des responsables locaux, ces familles ont contacté la direction de l'AADL pour mettre fin à leur précarité durant depuis plus de huit ans. Les travaux ont certes repris, mais pas pour longtemps puisque à cause du manque de matériaux de construction, notamment le béton et le ciment, la société de réalisation du projet, une société chinoise a, encore une fois, abandonné le projet après une lueur d'espoir entrevue par les bénéficiaires voyant le chantier reprendre de plus belle et que la société pouvait réaliser jusqu'à huit étages par jour. Mais voilà qu'en mai 2010 uniquement 360 logements étaient achevés et ont pu être attribué à leurs bénéficiaires même avant la fin du chantier et les travaux de base dans le quartier. Donc 1.150 autres bénéficiaires attendent toujours leurs logements prévus avant le Mondial. «Les responsable de l'AADL nous ont promis au moment de l'attribution des 350 logements finis, que nous auront le reste des logements avant le mondiale, mais voilà que le mondiale est fini et nous avons encore rien eu et nous n'avons même pas été reçu par ces responsables qui sont apparemment les seuls à rester en Afrique du Sud», nous dira un citoyen rencontré devant le siège de la direction de l'AADL à Saïd Hamdine il y a quelques jours. «Ils n'ont accordé de logements qu'aux bénéficiaires qui ont manifesté leur colère devant leur siège ou ayant menacé d'utiliser les moyens extrêmes pour arriver à leurs fins. De ce fait je pense que c'est l'unique solution que l'on doit adopter nous aussi. D'ailleurs nous comptons le faire dans les jours à venir si cette situation demeure inchangée et que nos protestations et réclamations continuent d'être ignorées par les responsables de l'agence et par les autorités concernées, puisque apparemment rien ne semble avoir d'impact sans devoir recourir à la force», nous dira notre interlocuteur. Il est à signaler que voilà déjà quelques jours, ces familles s'étaient rassemblées devant le siège de leurs communes pour réclamer leurs droits et le responsable de l'urbanisme de la localité de Aïn Benian s'est déplacé pour tenter de les calmer en leur promettant que les services de la commune allaient, encore une fois, intervenir pour trouver une solution rapide à ce problème qui persiste C.K. Les problème des logements AADL ne semble pas trouver son épilogue, en effet chaque jour, des postulants se rassemblent pour protester devant la direction de cette Agence. Cette fois-ci, c'est au tour des bénéficiaires du site de Ain Benian, ces derniers ont menacé de couper les routes de leur commune et d'envahir le siège AADL pour faire entendre leurs voix. Ces familles, qui ont postulé en 2002 n'ont, jusqu'à aujourd'hui, pas encore reçu leurs appartements pourtant prévus à la livraison 18 mois après le démarrage des travaux.À cause de l'arrêt répétitif des travaux de ce projet de 1.500 logement dans le quartier Belle-Vue à Ain Bebiane les délais ont été prorogés à l'année 2007 et les bénéficiaires ont reçu l'assurance des responsables de l'agence d'avoir leurs toits à fin 2007, mais encore une fois, ces promesses n'ont pas été tenues. Après d'incessantes réclamations auprès des responsables locaux, ces familles ont contacté la direction de l'AADL pour mettre fin à leur précarité durant depuis plus de huit ans. Les travaux ont certes repris, mais pas pour longtemps puisque à cause du manque de matériaux de construction, notamment le béton et le ciment, la société de réalisation du projet, une société chinoise a, encore une fois, abandonné le projet après une lueur d'espoir entrevue par les bénéficiaires voyant le chantier reprendre de plus belle et que la société pouvait réaliser jusqu'à huit étages par jour. Mais voilà qu'en mai 2010 uniquement 360 logements étaient achevés et ont pu être attribué à leurs bénéficiaires même avant la fin du chantier et les travaux de base dans le quartier. Donc 1.150 autres bénéficiaires attendent toujours leurs logements prévus avant le Mondial. «Les responsable de l'AADL nous ont promis au moment de l'attribution des 350 logements finis, que nous auront le reste des logements avant le mondiale, mais voilà que le mondiale est fini et nous avons encore rien eu et nous n'avons même pas été reçu par ces responsables qui sont apparemment les seuls à rester en Afrique du Sud», nous dira un citoyen rencontré devant le siège de la direction de l'AADL à Saïd Hamdine il y a quelques jours. «Ils n'ont accordé de logements qu'aux bénéficiaires qui ont manifesté leur colère devant leur siège ou ayant menacé d'utiliser les moyens extrêmes pour arriver à leurs fins. De ce fait je pense que c'est l'unique solution que l'on doit adopter nous aussi. D'ailleurs nous comptons le faire dans les jours à venir si cette situation demeure inchangée et que nos protestations et réclamations continuent d'être ignorées par les responsables de l'agence et par les autorités concernées, puisque apparemment rien ne semble avoir d'impact sans devoir recourir à la force», nous dira notre interlocuteur. Il est à signaler que voilà déjà quelques jours, ces familles s'étaient rassemblées devant le siège de leurs communes pour réclamer leurs droits et le responsable de l'urbanisme de la localité de Aïn Benian s'est déplacé pour tenter de les calmer en leur promettant que les services de la commune allaient, encore une fois, intervenir pour trouver une solution rapide à ce problème qui persiste C.K.