Nouredine Yazid Zerhouni a fait son entrée dans l'hémicycle du Conseil de la nation en compagnie du Premier ministre, Ahmed Ouyahia ainsi que des présidents des deux chambres du Parlement, Abdelkader Bensalah et Abdelaziz Ziari. Mais depuis sa nomination au poste de vice-Premier ministre, ses prérogatives ne sont pas encore connues. Nouredine Yazid Zerhouni a fait son entrée dans l'hémicycle du Conseil de la nation en compagnie du Premier ministre, Ahmed Ouyahia ainsi que des présidents des deux chambres du Parlement, Abdelkader Bensalah et Abdelaziz Ziari. Mais depuis sa nomination au poste de vice-Premier ministre, ses prérogatives ne sont pas encore connues. Nouredine Yazid Zerhouni marque son retour sur la scène nationale après une absence qui a duré presque deux mois maintenant. L'ex-ministre d'Etat, ministre des Collectivités locales, qui assume désormais la fonction de vice-Premier ministre, s'est éclipsé de la scène depuis le remaniement gouvernemental opéré par le président de la République, Abdelaziz Bouteflila vers la fin du mois de mai, est en effet apparu jeudi dernier à la faveur de la cérémonie de clôture de la session de printemps du Parlement. De par son nouveau statut, il a fait son entrée dans l'hémicycle du Conseil de la nation en compagnie du Premier ministre, Ahmed Ouyahia ainsi que des présidents des deux chambres du Parlement, Abdelkader Bensalah et Abdelaziz Ziari. Au sortir de la séance, Zerhouni a, en réponse à une question sur son sentiment après avoir changé de poste au sein de l'Exécutif, indiqué que « j'ai toujours eu à positiver les missions que j'ai eu à assumer au sein du gouvernement». Par ces propos Zerhouni a tenu à démentir les informations selon lesquelles il ne serait pas satisfait d'avoir quitté le ministère de l'Intérieur après avoir passé presque 11 années à sa tête. Sur ses rapports avec le gouvernement, Zerhouni a souligné que «nous sommes une équipe qui travaille avec le Premier ministre» ajoutant que «je suis un homme qui a toujours été au service de l'Etat». Mais depuis sa nomination au poste de vice-Premier ministre, ses prérogatives ne sont pas encore connues. «Je n'ai pas encore de prérogatives définies» a-t-il précisé à ce propos et il doit attendre, pour être fixer sur ses nouvelles missions, le décret présidentiel. Sur un autre plan, Nouredine Yazid Zerhouni a fait montre de sa disponibilité à répondre positivement à toute convocation émanant de la justice. Dans l'affaire de l'assassinat de l'ex-directeur général de la sûreté nationale, Ali Tounsi, les avocats de la famille du défunt ont saisi le magistrat instructeur pour qu'il auditionne Zerhouni en sa qualité d'ex-ministre de l'Intérieur au moment des faits. Il semble que pour l'heure, le magistrat n'a pas répondu favorablement à cette requête. «Si la justice juge utile de me convoquer, je suis à sa disposition» dira Zerhouni précisant que «j'ai consacré toute ma vie au respect de la loi». Nouredine Yazid Zerhouni marque son retour sur la scène nationale après une absence qui a duré presque deux mois maintenant. L'ex-ministre d'Etat, ministre des Collectivités locales, qui assume désormais la fonction de vice-Premier ministre, s'est éclipsé de la scène depuis le remaniement gouvernemental opéré par le président de la République, Abdelaziz Bouteflila vers la fin du mois de mai, est en effet apparu jeudi dernier à la faveur de la cérémonie de clôture de la session de printemps du Parlement. De par son nouveau statut, il a fait son entrée dans l'hémicycle du Conseil de la nation en compagnie du Premier ministre, Ahmed Ouyahia ainsi que des présidents des deux chambres du Parlement, Abdelkader Bensalah et Abdelaziz Ziari. Au sortir de la séance, Zerhouni a, en réponse à une question sur son sentiment après avoir changé de poste au sein de l'Exécutif, indiqué que « j'ai toujours eu à positiver les missions que j'ai eu à assumer au sein du gouvernement». Par ces propos Zerhouni a tenu à démentir les informations selon lesquelles il ne serait pas satisfait d'avoir quitté le ministère de l'Intérieur après avoir passé presque 11 années à sa tête. Sur ses rapports avec le gouvernement, Zerhouni a souligné que «nous sommes une équipe qui travaille avec le Premier ministre» ajoutant que «je suis un homme qui a toujours été au service de l'Etat». Mais depuis sa nomination au poste de vice-Premier ministre, ses prérogatives ne sont pas encore connues. «Je n'ai pas encore de prérogatives définies» a-t-il précisé à ce propos et il doit attendre, pour être fixer sur ses nouvelles missions, le décret présidentiel. Sur un autre plan, Nouredine Yazid Zerhouni a fait montre de sa disponibilité à répondre positivement à toute convocation émanant de la justice. Dans l'affaire de l'assassinat de l'ex-directeur général de la sûreté nationale, Ali Tounsi, les avocats de la famille du défunt ont saisi le magistrat instructeur pour qu'il auditionne Zerhouni en sa qualité d'ex-ministre de l'Intérieur au moment des faits. Il semble que pour l'heure, le magistrat n'a pas répondu favorablement à cette requête. «Si la justice juge utile de me convoquer, je suis à sa disposition» dira Zerhouni précisant que «j'ai consacré toute ma vie au respect de la loi».