Zerhouni aura ainsi une équipe restreinte de 11 membres, qui pourra être étoffée à l'avenir surtout lorsque le chef de l'Etat aura défintivement levé le voile sur les missions et les attributions du vice-Premier ministre, un poste créé à la faveur de la révision de la Constitution le 12 novembre 2008. Zerhouni aura ainsi une équipe restreinte de 11 membres, qui pourra être étoffée à l'avenir surtout lorsque le chef de l'Etat aura défintivement levé le voile sur les missions et les attributions du vice-Premier ministre, un poste créé à la faveur de la révision de la Constitution le 12 novembre 2008. Le vice-Premier ministre, dont on ignore tout sur les missions qui lui sont confiées depuis sa nomination à ce poste lors du dernier remaniement gouvernemental, sera désormais entouré de 11 collaborateurs. Le président de la République vient, en effet, de définir la configuration du cabinet de Nouredine Yazid Zerhouni. Ce dernier sera ainsi entouré de 11 proches collaborateurs. C'est à travers le décret présidentiel n° 10-221 du 28 septembre 2010, publié au Journal officiel n° 56 du 30 septembre 2010, que Abdelaziz Bouteflika a quelque peu clarifié la situation dans laquelle se trouve le vice-Premier ministre et ce, en attendant qu'il définisse avec exactitude les prérogatives qui seront dévolues à l'ex-ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur. Ainsi donc, Nouredine Zerhouni sera assisté d'un cabinet composé d'un chef de cabinet, de deux chargés de missions, de trois directeurs d'études, de trois chargés d'études et de synthèse ainsi que de deux chefs d'études. Zerhouni aura ainsi une équipe restreinte de 11 membres, qui pourra être étoffée à l'avenir surtout lorsque le chef de l'Etat aura défintivement levé le voile sur les missions et les attributions du vice-Premier ministre, un poste créé à la faveur de la révision de la Constitution le 12 novembre 2008. Sans doute plus que l'opinion publique, Nouredine Yazid Zerhouni , nommé à ce poste à la faveur du remaniement gouvernemental intervenu vers la fin du mois de mai dernier, attend avec impatience d'être fixé sur ses prérogatives. Et il en fait clairement allusion lors de sa première déclaration publique suite à sa nomination à cette nouvelle fonction après avoir passé une dizaine d'années à la tête du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. «Je ne connais pas pour le moment mes prérogatives car n'ayant pas encore été définies» a t-il, en effet, indiqué dans une déclaration à la presse au mois de juillet en marge de la cérémonie de clôture de la session de printemps du Conseil de la nation. Lors de cette même sortie médiatique, il a précisé avoir «toujours eu à positiver les missions que j'ai eu à assumer au sein du gouvernement». Il tenait ainsi à mettre un terme à certaines spéculations médiatiques et politiques. En effet, par ces propos, Zerhouni a tenu à démentir les informations selon lesquelles il ne serait pas satisfait d'avoir quitté le ministère de l'Intérieur. Mais cela ne l'a pas empêché, pour autant, comme il l'a déclaré ultérieurement, d'avoir demandé au président de la République des clarifications à propos des motivations de son remplacement à la tête du ministère de l'Intérieur. Des clarifications qu'il semble n'avoir pas eues jusqu'à présent, comme il l'a déjà laissé entendre. Cela dit, tout porte à croire que le président de la République maintenant qu'il a déterminé la composition du staff devant travailler avec le vice-Premier ministre, ne tardera pas à clarifier les prérogatives de Nouredine Yazid Zerhouni sur lequel il compte apparemment beaucoup pour la concrétisation des objectifs de la politique qu'il a initiée à travers notamment le programme quinquennal 2010-2014. Le vice-Premier ministre, dont on ignore tout sur les missions qui lui sont confiées depuis sa nomination à ce poste lors du dernier remaniement gouvernemental, sera désormais entouré de 11 collaborateurs. Le président de la République vient, en effet, de définir la configuration du cabinet de Nouredine Yazid Zerhouni. Ce dernier sera ainsi entouré de 11 proches collaborateurs. C'est à travers le décret présidentiel n° 10-221 du 28 septembre 2010, publié au Journal officiel n° 56 du 30 septembre 2010, que Abdelaziz Bouteflika a quelque peu clarifié la situation dans laquelle se trouve le vice-Premier ministre et ce, en attendant qu'il définisse avec exactitude les prérogatives qui seront dévolues à l'ex-ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur. Ainsi donc, Nouredine Zerhouni sera assisté d'un cabinet composé d'un chef de cabinet, de deux chargés de missions, de trois directeurs d'études, de trois chargés d'études et de synthèse ainsi que de deux chefs d'études. Zerhouni aura ainsi une équipe restreinte de 11 membres, qui pourra être étoffée à l'avenir surtout lorsque le chef de l'Etat aura défintivement levé le voile sur les missions et les attributions du vice-Premier ministre, un poste créé à la faveur de la révision de la Constitution le 12 novembre 2008. Sans doute plus que l'opinion publique, Nouredine Yazid Zerhouni , nommé à ce poste à la faveur du remaniement gouvernemental intervenu vers la fin du mois de mai dernier, attend avec impatience d'être fixé sur ses prérogatives. Et il en fait clairement allusion lors de sa première déclaration publique suite à sa nomination à cette nouvelle fonction après avoir passé une dizaine d'années à la tête du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales. «Je ne connais pas pour le moment mes prérogatives car n'ayant pas encore été définies» a t-il, en effet, indiqué dans une déclaration à la presse au mois de juillet en marge de la cérémonie de clôture de la session de printemps du Conseil de la nation. Lors de cette même sortie médiatique, il a précisé avoir «toujours eu à positiver les missions que j'ai eu à assumer au sein du gouvernement». Il tenait ainsi à mettre un terme à certaines spéculations médiatiques et politiques. En effet, par ces propos, Zerhouni a tenu à démentir les informations selon lesquelles il ne serait pas satisfait d'avoir quitté le ministère de l'Intérieur. Mais cela ne l'a pas empêché, pour autant, comme il l'a déclaré ultérieurement, d'avoir demandé au président de la République des clarifications à propos des motivations de son remplacement à la tête du ministère de l'Intérieur. Des clarifications qu'il semble n'avoir pas eues jusqu'à présent, comme il l'a déjà laissé entendre. Cela dit, tout porte à croire que le président de la République maintenant qu'il a déterminé la composition du staff devant travailler avec le vice-Premier ministre, ne tardera pas à clarifier les prérogatives de Nouredine Yazid Zerhouni sur lequel il compte apparemment beaucoup pour la concrétisation des objectifs de la politique qu'il a initiée à travers notamment le programme quinquennal 2010-2014.