Les travailleurs de l'entreprise Dubai ports world Djazair (DPW) ont retenu le principe de grève illimitée, suite à l'échec des négociations engagées entre les deux parties depuis plusieurs semaines. Les travailleurs de l'entreprise Dubai ports world Djazair (DPW) ont retenu le principe de grève illimitée, suite à l'échec des négociations engagées entre les deux parties depuis plusieurs semaines. Les signes de désaccord et de mésentente commencent à pointer du nez au port d'Alger, ce qui augure d'un mouvement de débrayage très prochainement. Les travailleurs de l'entreprise Dubai ports world Djazair (DPW) ont retenu le principe de grève illimitée, suite à l'échec des négociations engagées entre les deux parties depuis plusieurs semaines. Les dockers déposeront le préavis de débrayage au courant de cette semaine, apprend-on du côté des syndicalistes. Désormais, le torchon brûle entre les employés du Port d'Alger et les gestionnaires du terminal à containers. L'Assemblée générale du syndicat d'entreprise, réunie mercredi dernier, s'est soldée par l'organisation d'une action de débrayage incessamment, une option votée par plus des deux tiers des employés du port d'Alger, ajoute-t-on. Aussi, les employés comptent-ils saisir, toujours au courant de cette semaine, un huissier de justice pour lui transmettre un rapport détaillé de toutes les entrevues avec la direction et qui se sont soldées par un échec. Il s'agit en effet de réactiver le préavis de grève déposé par les dockers de DPW le 8 juin dernier, gelé suite à l'appel de la direction qui a affiché une disponibilité pour le dialogue. Rien n'a été réglé vraisemblablement, en dépit de l'engagement de DPW de porter les horaires de travail de 48 à 40 heures par semaine. En plus de la revendication concernant le volume horaire, les syndicalistes dénoncent l'attitude de la direction qui tend à appliquer « une grille de salaires sans indemnités ». Pour l'exemple, un syndicaliste évoque la suppression de l'indemnité forfaitaire qui était de l'ordre de 7.500 DA que la direction de DPW Djazair voudrait remplacer par une indemnité générale dont le montant tourne autour de 5.000 DA. D'autre part, les négociations sur la convention collective se sont également heurtées à l'intransigeance de la direction qui s'est montrée inflexible face aux propositions et revendications des dockers. Il y a lieu de signaler enfin que la cadence de travail au port d'Alger a sensiblement connu une baisse. Le transport et le déchargement des containers ont diminué ces derniers jours. Ce qui renseigne sur la colère des quelque 750 employés qui ont délibérément engendré cette situation. D'ailleurs, on croit savoir que le ministère du Commerce a adressé des mises en demeure à la société émiratie suite à ces lenteurs. Toutefois, si cette situation de blocage venait à persister, les citoyens en pâtiraient grandement, notamment à l'approche du mois de Ramadhan qui connaîtra une multiplication des flux de marchandises au port d'Alger. Les signes de désaccord et de mésentente commencent à pointer du nez au port d'Alger, ce qui augure d'un mouvement de débrayage très prochainement. Les travailleurs de l'entreprise Dubai ports world Djazair (DPW) ont retenu le principe de grève illimitée, suite à l'échec des négociations engagées entre les deux parties depuis plusieurs semaines. Les dockers déposeront le préavis de débrayage au courant de cette semaine, apprend-on du côté des syndicalistes. Désormais, le torchon brûle entre les employés du Port d'Alger et les gestionnaires du terminal à containers. L'Assemblée générale du syndicat d'entreprise, réunie mercredi dernier, s'est soldée par l'organisation d'une action de débrayage incessamment, une option votée par plus des deux tiers des employés du port d'Alger, ajoute-t-on. Aussi, les employés comptent-ils saisir, toujours au courant de cette semaine, un huissier de justice pour lui transmettre un rapport détaillé de toutes les entrevues avec la direction et qui se sont soldées par un échec. Il s'agit en effet de réactiver le préavis de grève déposé par les dockers de DPW le 8 juin dernier, gelé suite à l'appel de la direction qui a affiché une disponibilité pour le dialogue. Rien n'a été réglé vraisemblablement, en dépit de l'engagement de DPW de porter les horaires de travail de 48 à 40 heures par semaine. En plus de la revendication concernant le volume horaire, les syndicalistes dénoncent l'attitude de la direction qui tend à appliquer « une grille de salaires sans indemnités ». Pour l'exemple, un syndicaliste évoque la suppression de l'indemnité forfaitaire qui était de l'ordre de 7.500 DA que la direction de DPW Djazair voudrait remplacer par une indemnité générale dont le montant tourne autour de 5.000 DA. D'autre part, les négociations sur la convention collective se sont également heurtées à l'intransigeance de la direction qui s'est montrée inflexible face aux propositions et revendications des dockers. Il y a lieu de signaler enfin que la cadence de travail au port d'Alger a sensiblement connu une baisse. Le transport et le déchargement des containers ont diminué ces derniers jours. Ce qui renseigne sur la colère des quelque 750 employés qui ont délibérément engendré cette situation. D'ailleurs, on croit savoir que le ministère du Commerce a adressé des mises en demeure à la société émiratie suite à ces lenteurs. Toutefois, si cette situation de blocage venait à persister, les citoyens en pâtiraient grandement, notamment à l'approche du mois de Ramadhan qui connaîtra une multiplication des flux de marchandises au port d'Alger.