Plus de 200 jeunes recrutés dans le cadre du dispositif d'emploi contrat d'insertion et de formation (CFI) ont bloqué, dans la matinée d'hier, la RN12 à hauteur de la commune de Naciria (Lâaziv), à une quarantaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès. Ils ont fermé la circulation automobile à l'aide de pierres et ont enflammé des pneus pour réclamer la rétribution de leurs salaires des mois de mai et juin derniers. Selon toute vraisemblance, le torchon brûle entre les jeunes et les services de l'emploi, suite à l'annonce de ces derniers de bloquer le salaire du mois de juin dernier en réaction à la décision des jeunes qui avaient refusé de prendre part aux travaux d'entretien des routes, notamment la RN12. Peu de temps après cette décision, des centaines de jeunes ont manifesté leur colère à Si Mustapha et à Naciria. Les responsables ont fini alors par céder aux pressions des jeunes. Hier encore, c'était le tour des jeunes de la localité de Naciria de sortir dans la rue pour exprimer leur indignation. Par ailleurs, le dispositif de contrat d'insertion et de formation a été introduit, par les pouvoirs publics, en 2009 pour éradiquer un tant soit peu le chômage qui ne cesse de prendre en otage de grands pans de la société, notamment la frange juvénile. A l'agence de l'emploi de Bordj Ménaïel, plus de 3000 postes d'emploi ont été créés depuis l'introduction dudit dispositif. Cette agence, qui compte à elle seule neuf localités, a enregistré une demande croissante d'emploi qui n'est toujours pas satisfaite. Selon des indiscrétions, trois localités avaient refusé ledit dispositif en raison des problèmes de recrutement. Il s'agit des communes d'Ammal, Béni Amrane et Zemmouri. L'action de protestation d'hier, faut-il le rappeler, a provoqué d'immenses bouchons dans la circulation automobile au niveau de cet important axe routier. Il est à rappeler que depuis l'introduction dudit dispositif, plusieurs actions de protestion avaient été organisées par des jeunes à Bordj Ménaïel, Si Mustapha et Naciria, pour réclamer la prise en charge de leurs doléances. Plus de 200 jeunes recrutés dans le cadre du dispositif d'emploi contrat d'insertion et de formation (CFI) ont bloqué, dans la matinée d'hier, la RN12 à hauteur de la commune de Naciria (Lâaziv), à une quarantaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès. Ils ont fermé la circulation automobile à l'aide de pierres et ont enflammé des pneus pour réclamer la rétribution de leurs salaires des mois de mai et juin derniers. Selon toute vraisemblance, le torchon brûle entre les jeunes et les services de l'emploi, suite à l'annonce de ces derniers de bloquer le salaire du mois de juin dernier en réaction à la décision des jeunes qui avaient refusé de prendre part aux travaux d'entretien des routes, notamment la RN12. Peu de temps après cette décision, des centaines de jeunes ont manifesté leur colère à Si Mustapha et à Naciria. Les responsables ont fini alors par céder aux pressions des jeunes. Hier encore, c'était le tour des jeunes de la localité de Naciria de sortir dans la rue pour exprimer leur indignation. Par ailleurs, le dispositif de contrat d'insertion et de formation a été introduit, par les pouvoirs publics, en 2009 pour éradiquer un tant soit peu le chômage qui ne cesse de prendre en otage de grands pans de la société, notamment la frange juvénile. A l'agence de l'emploi de Bordj Ménaïel, plus de 3000 postes d'emploi ont été créés depuis l'introduction dudit dispositif. Cette agence, qui compte à elle seule neuf localités, a enregistré une demande croissante d'emploi qui n'est toujours pas satisfaite. Selon des indiscrétions, trois localités avaient refusé ledit dispositif en raison des problèmes de recrutement. Il s'agit des communes d'Ammal, Béni Amrane et Zemmouri. L'action de protestation d'hier, faut-il le rappeler, a provoqué d'immenses bouchons dans la circulation automobile au niveau de cet important axe routier. Il est à rappeler que depuis l'introduction dudit dispositif, plusieurs actions de protestion avaient été organisées par des jeunes à Bordj Ménaïel, Si Mustapha et Naciria, pour réclamer la prise en charge de leurs doléances.