Entre Alger et Washington, il est désormais question d'assistance et d'appui mutuels en matière de lutte antiterroriste uniquement. Aucune autre forme de collaboration n'est envisagée. C'est du moins ce qu'a confirmé, lundi, Daniel Benjamin, le coordonnateur de la lutte antiterroriste au département d'Etat américain lors d'une conférence tenue au siège de l'ambassade US à Alger. Le volet assistance et appui, sur lequel s'appuie l'administration Obama, dans son combat contre le terrorisme international, notamment avec notre pays, semble être le cheval de bataille des Américains. Il est à s'interroger, toutefois, si cette méthode qui n'est qu'une forme de semence dont la récolte future, ouvrira les portes pour l'implantation de troupes militaires dans la région sous quelques prétextes soient-ils. La preuve en a été donnée à maintes reprises et les Américains n'en sont pas à leur première bavure en la matière. Les guerres engagées dans différentes places du monde, notamment en Afghanistan ou en Irak pour ne citer que celles-là, sont un bon exemple pour illustrer cela. Pour l'instant, selon notre conférencier, « aucun pays n'a émis la requête d'entreprendre une quelconque opération commune dans la région », a-t-il fait entendre. « Nous sommes ici pour créer des partenariats et pour fournir notre assistance et appui aux pays de la région en vue de les aider dans leur lutte engagée contre le terrorisme», a-t-il affirmé. Mais qu'en sera-t-il si ces pays en font la requête ? Pour le diplomate américain, l'Algérie est un pays leader et partenaire incontournable des Etats-Unis dans leur lutte contre le terrorisme transfrontalier, en particulier dans la région du Sahel. « L'Algérie demeure un partenaire essentiel engagé pleinement dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité sous toutes ses formes», a-t-il estimé. Elle est à la pointe de la lutte contre la criminalité transnationale. Il a également fait l'éloge des relations entre les deux pays, reconnaissant de ce fait, l'intérêt américain à tirer profit de l'expérience algérienne dans ce domaine. Se trouvant à Alger depuis dimanche pour une visite de trois jours, le diplomate américain s'est donc contenté de se restreindre à confirmer « l'engagement entier de son pays à apporter assistance et appui », principalement en matière de formation, à l'Algérie mais aussi à l'ensemble des pays du Sahel. L'engagement US, en la matière, se résume, selon lui, à un apport d'assistance, sans qu'aucun appui militaire ne soit envisagé. Entre Alger et Washington, il est désormais question d'assistance et d'appui mutuels en matière de lutte antiterroriste uniquement. Aucune autre forme de collaboration n'est envisagée. C'est du moins ce qu'a confirmé, lundi, Daniel Benjamin, le coordonnateur de la lutte antiterroriste au département d'Etat américain lors d'une conférence tenue au siège de l'ambassade US à Alger. Le volet assistance et appui, sur lequel s'appuie l'administration Obama, dans son combat contre le terrorisme international, notamment avec notre pays, semble être le cheval de bataille des Américains. Il est à s'interroger, toutefois, si cette méthode qui n'est qu'une forme de semence dont la récolte future, ouvrira les portes pour l'implantation de troupes militaires dans la région sous quelques prétextes soient-ils. La preuve en a été donnée à maintes reprises et les Américains n'en sont pas à leur première bavure en la matière. Les guerres engagées dans différentes places du monde, notamment en Afghanistan ou en Irak pour ne citer que celles-là, sont un bon exemple pour illustrer cela. Pour l'instant, selon notre conférencier, « aucun pays n'a émis la requête d'entreprendre une quelconque opération commune dans la région », a-t-il fait entendre. « Nous sommes ici pour créer des partenariats et pour fournir notre assistance et appui aux pays de la région en vue de les aider dans leur lutte engagée contre le terrorisme», a-t-il affirmé. Mais qu'en sera-t-il si ces pays en font la requête ? Pour le diplomate américain, l'Algérie est un pays leader et partenaire incontournable des Etats-Unis dans leur lutte contre le terrorisme transfrontalier, en particulier dans la région du Sahel. « L'Algérie demeure un partenaire essentiel engagé pleinement dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité sous toutes ses formes», a-t-il estimé. Elle est à la pointe de la lutte contre la criminalité transnationale. Il a également fait l'éloge des relations entre les deux pays, reconnaissant de ce fait, l'intérêt américain à tirer profit de l'expérience algérienne dans ce domaine. Se trouvant à Alger depuis dimanche pour une visite de trois jours, le diplomate américain s'est donc contenté de se restreindre à confirmer « l'engagement entier de son pays à apporter assistance et appui », principalement en matière de formation, à l'Algérie mais aussi à l'ensemble des pays du Sahel. L'engagement US, en la matière, se résume, selon lui, à un apport d'assistance, sans qu'aucun appui militaire ne soit envisagé.