Les 85 familles du quartier Saint-Gaule dans la commune de Douera à Alger souffrent, depuis plusieurs décennies maintenant, de l'absence totale de commodités de vie décentes et encore moins moderne. Ni gaz ni électricité durant toutes ces longues années et les habitants s'éclairent toujours aux bougies. Chose qui a obligé les plus audacieux parmi les habitants à raccorder leurs foyers anarchiquement au réseau électrique en piratant des fils des poteaux électriques de la région. Pourtant ce quartier n'est plus un bidonville puisque les habitants ont, dans leur grande majorité, construit en dur. Des problème en gros dans l'absence du gaz de ville aussi et la dégradation de l'état des routes du quartier ce qui rend plus difficile la mission des distributeurs des bonbonnes de gaz de butane qui ne viennent aujourd'hui laissant les habitants devant l'obligation de se déplacer en dehors de leurs quartiers pour y chercher cette matière vitale et la ramener encore à l'ancienne à dos d'âne ou dans des chariots tirés à la main. La précarité a aussi atteint le réseau d'assainissement qui très vétustes n'arrivent plus à contenir les eaux usées et les restes biologiques des habitants qui vivent aujourd'hui entourés de rivières d d'égouts et d'ordures, des lieux fertiles pour la prolifération des insectes et l'apparition de maladies respiratoires. Les habitants disent pourtant avoir contacté les responsables locaux à maintes reprises pour se pencher sur leur situation, mais en vain, nous dira l'un des habitants qui nous a contacté. Devant cette situati aux responsables leurs devoirs et surtout promesses «lors des différentes occasions notamment les élections » d'améliorer leurs cadre de vie et leur assurer une vie digne. Les 85 familles du quartier Saint-Gaule dans la commune de Douera à Alger souffrent, depuis plusieurs décennies maintenant, de l'absence totale de commodités de vie décentes et encore moins moderne. Ni gaz ni électricité durant toutes ces longues années et les habitants s'éclairent toujours aux bougies. Chose qui a obligé les plus audacieux parmi les habitants à raccorder leurs foyers anarchiquement au réseau électrique en piratant des fils des poteaux électriques de la région. Pourtant ce quartier n'est plus un bidonville puisque les habitants ont, dans leur grande majorité, construit en dur. Des problème en gros dans l'absence du gaz de ville aussi et la dégradation de l'état des routes du quartier ce qui rend plus difficile la mission des distributeurs des bonbonnes de gaz de butane qui ne viennent aujourd'hui laissant les habitants devant l'obligation de se déplacer en dehors de leurs quartiers pour y chercher cette matière vitale et la ramener encore à l'ancienne à dos d'âne ou dans des chariots tirés à la main. La précarité a aussi atteint le réseau d'assainissement qui très vétustes n'arrivent plus à contenir les eaux usées et les restes biologiques des habitants qui vivent aujourd'hui entourés de rivières d d'égouts et d'ordures, des lieux fertiles pour la prolifération des insectes et l'apparition de maladies respiratoires. Les habitants disent pourtant avoir contacté les responsables locaux à maintes reprises pour se pencher sur leur situation, mais en vain, nous dira l'un des habitants qui nous a contacté. Devant cette situati aux responsables leurs devoirs et surtout promesses «lors des différentes occasions notamment les élections » d'améliorer leurs cadre de vie et leur assurer une vie digne.
