L'épineux problème auquel sont confrontés les habitants est lié au manque d'eau potable, notamment en période hivernale. En été, les villageois souffrent le martyr. C'est à partir de deux fontaines qu'ils s'approvisionnent et n'ont droit qu'à 30 litres/24 h pour un foyer. L'épineux problème auquel sont confrontés les habitants est lié au manque d'eau potable, notamment en période hivernale. En été, les villageois souffrent le martyr. C'est à partir de deux fontaines qu'ils s'approvisionnent et n'ont droit qu'à 30 litres/24 h pour un foyer. Perché sur les hauteurs de Lala Oumsâad, le village Ouled Ibrahim, dans la commune de Chabet El Ameur, à l'est du chef-lieu de Boumerdès, est dans un isolement absolu. Les trois cents familles qui y vivotent sont confrontées à une série de problèmes. De ce fait, leur quotidien est dur. Ledit village est parmi les plus démunis de toute la wilaya. L'épineux problème auquel sont confrontés les habitants est lié au manque d'eau potable, notamment en période hivernale. En été, les villageois souffrent le martyr. C'est à partir de deux fontaines qu'ils s'approvisionnent et n'ont droit qu'à 30 litres/24 h pour un foyer. Il y a des moments, particulièrement les périodes de grandes chaleurs, où les fontaines sont à sec. Et elles ne répondent nullement aux besoins des villageois. Outre cela, les deux fontaines de villages sont menacées par la prolifération de fosses septiques. Elles ne cessent de s'y répandre en raison de l'absence d'un réseau d'assainissement des eaux usées. De ce fait, elles risquent des contaminations, qui de surcroît, menaceraient la santé des villageois par des maladies à transmission hydriques. L'utilisation des dites fosses s'accroît au fur et à mesure de l'extension des habitations. Ce village est parmi tant d'autres qui ne sont toujours pas raccordés au réseau AEP dans cette localité rurale. Selon les villageois, le chef de daïra des Issers, à laquelle relève administrativement Chabet El Ameur, leur avait promis en 2007, de réaliser un château d'eau sur les hauteurs de ce village. À ce jour, affirment les villageois, les promesses dudit responsable, n'ont pas été tenues. Pour venir à bout de leurs souffrances, les villageois recourent à l'achat de citernes à eau avec des prix souvent exorbitants. Pour faire entendre et exprimer leur colère, les villageois avaient à maintes reprises, observé des actions de protestation devant les sièges de l'APC et de la daïra. La dernière en date était la fermeture du siège APC, il y a près de huit mois de cela. Mais toutes ces actions ont été vaines. « Notre localité est délaissée par l'Etat, les commodités de base se font rares et nous n'avons rien qui peu maintenir les villageois dans leurs terres, plusieurs familles avaient quitté leurs maisons et sont installées au chef-lieu de la commune », nous dira un représentant dudit village. L'on déplore ainsi la défaillance de la politique de repeuplement prônée par le gouvernement, notamment par le lancement des aides à l'autoconstruction et les PPDRI. Au sujet de l'habitat rural, notre interlocuteur nous a précisé que plusieurs demandeurs attendent depuis des années ladite aide et d'autres sont rattrapés par des retards multiples liés souvent à la régularisation de leur situation foncière. La fermeture de la salle de soins d'un village mitoyen, depuis le début des années 90, sous prétexte de la dégradation sécuritaire, a accentué le calvaire des villageois. C'est le désarroi total, car, pour se soigner ou pour une simple injection, les habitants d'Ouled Ibrahim sont contraints de parcourir des kilomètres jusqu'à la polyclinique du chef-lieu communal. En sus de ce parcours, les villageois attendent des heures durant pour se faire soigner en raison du grand rush des citoyens vers cette unité de soins en cette période d'été notamment. Les villageois avaient réclamé son ouverture, mais les responsables locaux s'entêtent et campent sur leurs positions en pénalisant toute une population en détresse. « La situation sécuritaire s'est améliorée depuis des années, pourquoi n'ont-ils pas (les responsables locaux) pensé à son ouverture qui sera bénéfique pour nous d'une part et pour atténué un tant soit peu la pression qui s'exerce sur la polyclinique du chef-lieu », déplore un villageois. Par ailleurs, après un calvaire qui a duré des années, les villageois réclament une opération de revêtement de la route menant à leur localité, ce qui atténuera un tant soit peu leurs souffrances. Perché sur les hauteurs de Lala Oumsâad, le village Ouled Ibrahim, dans la commune de Chabet El Ameur, à l'est du chef-lieu de Boumerdès, est dans un isolement absolu. Les trois cents familles qui y vivotent sont confrontées à une série de problèmes. De ce fait, leur quotidien est dur. Ledit village est parmi les plus démunis de toute la wilaya. L'épineux problème auquel sont confrontés les habitants est lié au manque d'eau potable, notamment en période hivernale. En été, les villageois souffrent le martyr. C'est à partir de deux fontaines qu'ils s'approvisionnent et n'ont droit qu'à 30 litres/24 h pour un foyer. Il y a des moments, particulièrement les périodes de grandes chaleurs, où les fontaines sont à sec. Et elles ne répondent nullement aux besoins des villageois. Outre cela, les deux fontaines de villages sont menacées par la prolifération de fosses septiques. Elles ne cessent de s'y répandre en raison de l'absence d'un réseau d'assainissement des eaux usées. De ce fait, elles risquent des contaminations, qui de surcroît, menaceraient la santé des villageois par des maladies à transmission hydriques. L'utilisation des dites fosses s'accroît au fur et à mesure de l'extension des habitations. Ce village est parmi tant d'autres qui ne sont toujours pas raccordés au réseau AEP dans cette localité rurale. Selon les villageois, le chef de daïra des Issers, à laquelle relève administrativement Chabet El Ameur, leur avait promis en 2007, de réaliser un château d'eau sur les hauteurs de ce village. À ce jour, affirment les villageois, les promesses dudit responsable, n'ont pas été tenues. Pour venir à bout de leurs souffrances, les villageois recourent à l'achat de citernes à eau avec des prix souvent exorbitants. Pour faire entendre et exprimer leur colère, les villageois avaient à maintes reprises, observé des actions de protestation devant les sièges de l'APC et de la daïra. La dernière en date était la fermeture du siège APC, il y a près de huit mois de cela. Mais toutes ces actions ont été vaines. « Notre localité est délaissée par l'Etat, les commodités de base se font rares et nous n'avons rien qui peu maintenir les villageois dans leurs terres, plusieurs familles avaient quitté leurs maisons et sont installées au chef-lieu de la commune », nous dira un représentant dudit village. L'on déplore ainsi la défaillance de la politique de repeuplement prônée par le gouvernement, notamment par le lancement des aides à l'autoconstruction et les PPDRI. Au sujet de l'habitat rural, notre interlocuteur nous a précisé que plusieurs demandeurs attendent depuis des années ladite aide et d'autres sont rattrapés par des retards multiples liés souvent à la régularisation de leur situation foncière. La fermeture de la salle de soins d'un village mitoyen, depuis le début des années 90, sous prétexte de la dégradation sécuritaire, a accentué le calvaire des villageois. C'est le désarroi total, car, pour se soigner ou pour une simple injection, les habitants d'Ouled Ibrahim sont contraints de parcourir des kilomètres jusqu'à la polyclinique du chef-lieu communal. En sus de ce parcours, les villageois attendent des heures durant pour se faire soigner en raison du grand rush des citoyens vers cette unité de soins en cette période d'été notamment. Les villageois avaient réclamé son ouverture, mais les responsables locaux s'entêtent et campent sur leurs positions en pénalisant toute une population en détresse. « La situation sécuritaire s'est améliorée depuis des années, pourquoi n'ont-ils pas (les responsables locaux) pensé à son ouverture qui sera bénéfique pour nous d'une part et pour atténué un tant soit peu la pression qui s'exerce sur la polyclinique du chef-lieu », déplore un villageois. Par ailleurs, après un calvaire qui a duré des années, les villageois réclament une opération de revêtement de la route menant à leur localité, ce qui atténuera un tant soit peu leurs souffrances.