Femmes enceintes, victimes d'accidents domestiques, d'intoxications ou de la route, des simples bobos aux grands brûlés et traumatismes, tous passent par les urgences. Or ce service, si nevralgique de l'hôpital Bouzidi, s'avère désormais exigu pour accueillir le nombre croissant de malades affluant d'autres coins de la wilaya. Les médecins qui y travaillent, à savoir ceux des urgences et l'unique médecin de réanimation, sollicités presque par tous les services, se disent débordés et épuisés par un rythme infernal, laissant entendre qu'ils sont victimes d'un numerus clausus sévère. Ce qui, à l'évidence, ne permet pas au malade l'accès aux meilleurs soins et à la meilleure prise en charge. A ce propos, le directeur de l'hôpital nous dit : "Deux médecins réanimateurs, dont un du privé, vont être affectés d'ici à la fin du mois d'août. Quant aux urgences et au sort des patients qui s'y présentent en attendant leur tour "debout", notre interlocuteur nous dira: "Nous allons procéder incessamment à l'élargissement de ce service relativement avec le nombre de malades que l'on accueille, et dans le confort". Justement, pendant notre présence sur les lieux, nous avons rencontré fortuitement une généreuse personne qui a souhaité garder l'anonymat, faisant un don d'une vingtaine de climatiseurs au profit des locataires de l'hôpital. Mis à part la générosité des uns et le dévouement des autres, beaucoup reste à faire dans les salles d'attente où les bancs font défaut, dans le raccordement en réseau d'assainissement dans la gestion des déchets hospitaliers… Femmes enceintes, victimes d'accidents domestiques, d'intoxications ou de la route, des simples bobos aux grands brûlés et traumatismes, tous passent par les urgences. Or ce service, si nevralgique de l'hôpital Bouzidi, s'avère désormais exigu pour accueillir le nombre croissant de malades affluant d'autres coins de la wilaya. Les médecins qui y travaillent, à savoir ceux des urgences et l'unique médecin de réanimation, sollicités presque par tous les services, se disent débordés et épuisés par un rythme infernal, laissant entendre qu'ils sont victimes d'un numerus clausus sévère. Ce qui, à l'évidence, ne permet pas au malade l'accès aux meilleurs soins et à la meilleure prise en charge. A ce propos, le directeur de l'hôpital nous dit : "Deux médecins réanimateurs, dont un du privé, vont être affectés d'ici à la fin du mois d'août. Quant aux urgences et au sort des patients qui s'y présentent en attendant leur tour "debout", notre interlocuteur nous dira: "Nous allons procéder incessamment à l'élargissement de ce service relativement avec le nombre de malades que l'on accueille, et dans le confort". Justement, pendant notre présence sur les lieux, nous avons rencontré fortuitement une généreuse personne qui a souhaité garder l'anonymat, faisant un don d'une vingtaine de climatiseurs au profit des locataires de l'hôpital. Mis à part la générosité des uns et le dévouement des autres, beaucoup reste à faire dans les salles d'attente où les bancs font défaut, dans le raccordement en réseau d'assainissement dans la gestion des déchets hospitaliers…