Le groupe oranais El Hadhra Universal a animé la soirée de clôture du Casif et fait danser les jeunes friands de ce nouveau genre en vogue, le gnaoui. Le groupe oranais El Hadhra Universal a animé la soirée de clôture du Casif et fait danser les jeunes friands de ce nouveau genre en vogue, le gnaoui. Il est 22 h, les gradins inférieurs du théâtre sont encore claisemés. Des familles et les jeunes plus nombreux y prennent place. A l'entrée la Gendarmerie nationale et les agents de sécurité du Casif veillent à la sécurité et tranquillité des personnes. On est loin de la foule qui était venue entendre la voix sublime libanaise de Majda Erroumi, mais l'affiche alléchante du gnaoui avait de quoi faire déhancher tout un parterre de fans. Un groupe de jeunes demande à la sécurité de les placer pour, disent-ils, « entrer dans la danse » au moment opportun. Pour faire patienter l'assistance on entend un fond musical plus exactement un instrumental du célèbre chanteur Marcel Khalifa. Il est 11h45 l'animateur de la soirée fait un petit laïus pour remercier l'assistance et la presse qui a selon lui « largement contribué aux couvertures des soirées tant au Casif qu'à Timgad et à Djemila » et présente le groupe oranais Hadra Universal. Il est composé de dix personnes, neuf musiciens et du chanteur. Les premières notes donnent le ton aux sons des karkabous, petits et grands battent la mesure. Le chanteur exécute les pas de danse de la région. Le timbre de la voix et le rythme chauffent les esprits, le verrou saute les jeunes sans complexe aucun s'en donnent à cœur joie et laissent libre cours à leurs impulsions. une bonne partie reprennent en chœur les refrains d'un genre musical, le gnaoui, maintenant très en vogue chez nous. Le trompettiste exécute un morceau très applaudi par des connaisseurs qui lancent des « merci merci » Une aute chanson débute sur des notes de reaggee et de salsa à la sauce gnaouie là encore on bat le tempo. Le chanteur remercie l'ovation qui lui est faite « formidalble » dira-t-il. C'est au tour du synthé de jouer une partition de jazz, véritable coup de cœur pour les connaisseurs, il sera accompagné du trompettiste qui donnera la touche pour nous transporter dans le sublime. La sixième chanson de son répertoire est la chanson fétiche Goummari après les premières notes et évocations, le public en transe est en symbiose avec le groupe. On entend parfois des cris d'hystérie et des « ghaïa » « intic » l'argot des jeunes ados, bref les jeunes se défoulent. Un autre chanteur vient de faire son entrée sur scène au look, voix, sourire boucle d'oreille et même dans la façon de tenir le micro en chantant. Pas étonnant il s'agit de Abdelmadjid le jeune frère de Cheb Khaled à la taille longiligne, qui interprète une chanson en duo avec le groupe Universal. un régal pour les yeux et l'ouïe. La première partie du concert est arrivée à terme et les responsables de l'ONCI priment les medias qui ont accompagné tout au long les soirées organisées par l'Office culturel. Il est 22 h, les gradins inférieurs du théâtre sont encore claisemés. Des familles et les jeunes plus nombreux y prennent place. A l'entrée la Gendarmerie nationale et les agents de sécurité du Casif veillent à la sécurité et tranquillité des personnes. On est loin de la foule qui était venue entendre la voix sublime libanaise de Majda Erroumi, mais l'affiche alléchante du gnaoui avait de quoi faire déhancher tout un parterre de fans. Un groupe de jeunes demande à la sécurité de les placer pour, disent-ils, « entrer dans la danse » au moment opportun. Pour faire patienter l'assistance on entend un fond musical plus exactement un instrumental du célèbre chanteur Marcel Khalifa. Il est 11h45 l'animateur de la soirée fait un petit laïus pour remercier l'assistance et la presse qui a selon lui « largement contribué aux couvertures des soirées tant au Casif qu'à Timgad et à Djemila » et présente le groupe oranais Hadra Universal. Il est composé de dix personnes, neuf musiciens et du chanteur. Les premières notes donnent le ton aux sons des karkabous, petits et grands battent la mesure. Le chanteur exécute les pas de danse de la région. Le timbre de la voix et le rythme chauffent les esprits, le verrou saute les jeunes sans complexe aucun s'en donnent à cœur joie et laissent libre cours à leurs impulsions. une bonne partie reprennent en chœur les refrains d'un genre musical, le gnaoui, maintenant très en vogue chez nous. Le trompettiste exécute un morceau très applaudi par des connaisseurs qui lancent des « merci merci » Une aute chanson débute sur des notes de reaggee et de salsa à la sauce gnaouie là encore on bat le tempo. Le chanteur remercie l'ovation qui lui est faite « formidalble » dira-t-il. C'est au tour du synthé de jouer une partition de jazz, véritable coup de cœur pour les connaisseurs, il sera accompagné du trompettiste qui donnera la touche pour nous transporter dans le sublime. La sixième chanson de son répertoire est la chanson fétiche Goummari après les premières notes et évocations, le public en transe est en symbiose avec le groupe. On entend parfois des cris d'hystérie et des « ghaïa » « intic » l'argot des jeunes ados, bref les jeunes se défoulent. Un autre chanteur vient de faire son entrée sur scène au look, voix, sourire boucle d'oreille et même dans la façon de tenir le micro en chantant. Pas étonnant il s'agit de Abdelmadjid le jeune frère de Cheb Khaled à la taille longiligne, qui interprète une chanson en duo avec le groupe Universal. un régal pour les yeux et l'ouïe. La première partie du concert est arrivée à terme et les responsables de l'ONCI priment les medias qui ont accompagné tout au long les soirées organisées par l'Office culturel.