La commune de Larbaâ Nath Irathen s'étend sur 39,27 km2 et compte 31.133 habitants (2008) repartis entre un ensemble de villages dont Taourirt Amokrane qui serait l'un des villages les plus peuplés de Kabylie. La ville de Larbaâ Nath Irathen culmine à 927 mètres d'altitude. Cette commune est limitée territorialement par Tizi-Rached au nord, Aït Oumalou et Aït Aggouacha à l'est, At-Yanni Beni Yenni au sud, Ait Mahmoud et Irdjen à l'ouest qui sont les cinq communes qui la composent. Située sur un relief tourmenté et très accidenté, la vaste et puissante confédération des Aït Iraten campe au nord de la chaîne montagneuse du Djurdjura, plutôt à ses avant-postes. Le caïd turc Ali Khodja soutenu par des fractions tribales supplétives de la plaine était parvenu à 'apprivoiser' un tant soit peu les Kabyles. Il bâtit des bordjs (fortins) avancés qu'il égraina à des distances à peu près égales les unes des autres dans la plaine afin de contrôler les Kabyles et d'y collecter les impots ce qui n'était pas pour plaire : nous citons Bordj Boghni, Bordj Sébaou, Bordj Ménaïel et Bordj Bouira. Et afin de concurrencer l'économie des belliqueux montagnards, il créa le marché du samedi, appelé Sebt El Khodja, dans l'actuelle cité de Tizi-Ouzou. En 1857, sous le régime de Napoléon III, lors de la conquête difficile de la Kabylie, le général François de Chabaud-Latour décida de construire sur l'ancien village de Icheriden où serait né le fameux poète berbère Si Mohand, un fort qu'il nomma le Fort-Napoléon et construisit une route pour le relier à la ville de Tizi Ouzou. C'est sur le territoire de cette grande confédération que vit le jour la première école communale de Kabylie, au village de Tamazirt précisément. Grâce à la scolarisation précoce que connut la région elle fut une grande pourvoyeuse d'instituteurs qui accélérèrent son évolution parmi lesquels furent issus les tout premiers berbérisants algériens Boulifa et Lechani originaires des Irdjen. Aujourd'hui Larbaâ Nath Iraten a signé des accords de coopération avec la ville de Saint-Denis en France La commune de Larbaâ Nath Irathen s'étend sur 39,27 km2 et compte 31.133 habitants (2008) repartis entre un ensemble de villages dont Taourirt Amokrane qui serait l'un des villages les plus peuplés de Kabylie. La ville de Larbaâ Nath Irathen culmine à 927 mètres d'altitude. Cette commune est limitée territorialement par Tizi-Rached au nord, Aït Oumalou et Aït Aggouacha à l'est, At-Yanni Beni Yenni au sud, Ait Mahmoud et Irdjen à l'ouest qui sont les cinq communes qui la composent. Située sur un relief tourmenté et très accidenté, la vaste et puissante confédération des Aït Iraten campe au nord de la chaîne montagneuse du Djurdjura, plutôt à ses avant-postes. Le caïd turc Ali Khodja soutenu par des fractions tribales supplétives de la plaine était parvenu à 'apprivoiser' un tant soit peu les Kabyles. Il bâtit des bordjs (fortins) avancés qu'il égraina à des distances à peu près égales les unes des autres dans la plaine afin de contrôler les Kabyles et d'y collecter les impots ce qui n'était pas pour plaire : nous citons Bordj Boghni, Bordj Sébaou, Bordj Ménaïel et Bordj Bouira. Et afin de concurrencer l'économie des belliqueux montagnards, il créa le marché du samedi, appelé Sebt El Khodja, dans l'actuelle cité de Tizi-Ouzou. En 1857, sous le régime de Napoléon III, lors de la conquête difficile de la Kabylie, le général François de Chabaud-Latour décida de construire sur l'ancien village de Icheriden où serait né le fameux poète berbère Si Mohand, un fort qu'il nomma le Fort-Napoléon et construisit une route pour le relier à la ville de Tizi Ouzou. C'est sur le territoire de cette grande confédération que vit le jour la première école communale de Kabylie, au village de Tamazirt précisément. Grâce à la scolarisation précoce que connut la région elle fut une grande pourvoyeuse d'instituteurs qui accélérèrent son évolution parmi lesquels furent issus les tout premiers berbérisants algériens Boulifa et Lechani originaires des Irdjen. Aujourd'hui Larbaâ Nath Iraten a signé des accords de coopération avec la ville de Saint-Denis en France