Récemment, des citoyens de la ville d'El-Kala, dans la wilaya d'El-Tarf, ont aperçu, tôt le matin, une horde de sangliers au niveau de la décharge publique de la cité des Crêtes, située sur les hauteurs de la ville, à la recherche de nourriture. En cette matinée, la présence de ces animaux sauvages a provoqué une panique chez les jeunes et moins jeunes qui se dirigeaient vers la gare routière. Récemment, des citoyens de la ville d'El-Kala, dans la wilaya d'El-Tarf, ont aperçu, tôt le matin, une horde de sangliers au niveau de la décharge publique de la cité des Crêtes, située sur les hauteurs de la ville, à la recherche de nourriture. En cette matinée, la présence de ces animaux sauvages a provoqué une panique chez les jeunes et moins jeunes qui se dirigeaient vers la gare routière. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, de nos jours, les animaux sauvages ont tendance à se confondre avec les animaux domestiques. Récemment, des citoyens de la ville d‘El-Kala, dans la wilaya d‘El-Tarf, ont aperçu, tôt le matin, une horde de sangliers au niveau de la décharge publique de la cité des Crêtes, située sur les hauteurs de la ville, à la recherche de nourriture. En cette matinée, la présence de ces animaux sauvages a provoqué une panique chez les jeunes et moins jeunes qui se dirigeaient vers la gare routière. Aussi, plusieurs cultivateurs de la région ne savent plus quoi faire pour préserver leurs lopins de terre dévastés en ce moment par les sangliers, dont le nombre ne cesse d‘augmenter depuis les années 90. Du côté de Bougous, Boutheldja, Bouhadjar et El-Kala, pour ne citer que ces régions, cet animal destructeur se "promène" librement dans les champs, faute de battues. Dans la commune de Berihane, il s‘attaque aux plantations d‘arachides, de pastèques et de melons, les seules ressources de la population. Les pertes sont assez importantes et les agriculteurs demeurent impuissants face à ce fléau qui risque de prendre de l‘ampleur dans les prochains jours. Dans un passé récent, cet animal n‘osait même pas s‘aventurer, parfois à la limite des sentiers périphériques d‘El-Tarf. C‘est le cas de Ben M‘hidi où, pendant la nuit, on assiste à une véritable bataille rangée entre les chiens errants, à la recherche de ripailles, et les sangliers. Dans certains endroits, on a l‘impression que les sangliers cherchent à se familiariser avec le milieu urbain. La cause réside dans l‘absence de battues, les citoyens ne disposant pas d‘autorisations. Dans un passé récent, les paysans disposaient d‘armes à feu et procédaient à la chasse du sanglier, ce qui a permis, à l‘époque, de réduire leur nombre. Il y a quelques jours, les fellahs de la région, et ils sont nombreux, sont venus se plaindre à cause des dégâts enregistrés. A Metrouha, localité située à six kilomètres du chef-lieu El-Tarf, le nombre d‘accidents de la circulation routière a pour origine ces animaux sauvages. L‘apparition du sanglier aux abords des agglomérations n‘est pas étonnante par les temps qui courent. Les loups aussi se manifestent en traquant le sanglier. Dès la tombée de la nuit jusqu‘à l‘aube, il est devenu dangereux de s‘aventurer même en voiture du côté de la cité des 112 Logements ou de la nouvelle cité récemment réalisée dans les quartiers périphériques des grandes agglomérations de la wilaya. Devant les pertes occasionnées par ces bêtes, les vignobles des plaines d‘El-Tarf ainsi que de Bouteldja ont perdu beuacoup de leur réputation. Les arboriculteurs ayant des arbres fruitiers à la sortie du chef-lieu, plus précisément à Metrouha, n‘osent plus entretenir leurs vergers qui sont devenus le plat préféré des sangliers. Dans une pétition récemment expédiée aux autorités locales, ils insistent pour qu‘il y ait des battues afin de minimiser les dégâts qui sont énormes. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, de nos jours, les animaux sauvages ont tendance à se confondre avec les animaux domestiques. Récemment, des citoyens de la ville d‘El-Kala, dans la wilaya d‘El-Tarf, ont aperçu, tôt le matin, une horde de sangliers au niveau de la décharge publique de la cité des Crêtes, située sur les hauteurs de la ville, à la recherche de nourriture. En cette matinée, la présence de ces animaux sauvages a provoqué une panique chez les jeunes et moins jeunes qui se dirigeaient vers la gare routière. Aussi, plusieurs cultivateurs de la région ne savent plus quoi faire pour préserver leurs lopins de terre dévastés en ce moment par les sangliers, dont le nombre ne cesse d‘augmenter depuis les années 90. Du côté de Bougous, Boutheldja, Bouhadjar et El-Kala, pour ne citer que ces régions, cet animal destructeur se "promène" librement dans les champs, faute de battues. Dans la commune de Berihane, il s‘attaque aux plantations d‘arachides, de pastèques et de melons, les seules ressources de la population. Les pertes sont assez importantes et les agriculteurs demeurent impuissants face à ce fléau qui risque de prendre de l‘ampleur dans les prochains jours. Dans un passé récent, cet animal n‘osait même pas s‘aventurer, parfois à la limite des sentiers périphériques d‘El-Tarf. C‘est le cas de Ben M‘hidi où, pendant la nuit, on assiste à une véritable bataille rangée entre les chiens errants, à la recherche de ripailles, et les sangliers. Dans certains endroits, on a l‘impression que les sangliers cherchent à se familiariser avec le milieu urbain. La cause réside dans l‘absence de battues, les citoyens ne disposant pas d‘autorisations. Dans un passé récent, les paysans disposaient d‘armes à feu et procédaient à la chasse du sanglier, ce qui a permis, à l‘époque, de réduire leur nombre. Il y a quelques jours, les fellahs de la région, et ils sont nombreux, sont venus se plaindre à cause des dégâts enregistrés. A Metrouha, localité située à six kilomètres du chef-lieu El-Tarf, le nombre d‘accidents de la circulation routière a pour origine ces animaux sauvages. L‘apparition du sanglier aux abords des agglomérations n‘est pas étonnante par les temps qui courent. Les loups aussi se manifestent en traquant le sanglier. Dès la tombée de la nuit jusqu‘à l‘aube, il est devenu dangereux de s‘aventurer même en voiture du côté de la cité des 112 Logements ou de la nouvelle cité récemment réalisée dans les quartiers périphériques des grandes agglomérations de la wilaya. Devant les pertes occasionnées par ces bêtes, les vignobles des plaines d‘El-Tarf ainsi que de Bouteldja ont perdu beuacoup de leur réputation. Les arboriculteurs ayant des arbres fruitiers à la sortie du chef-lieu, plus précisément à Metrouha, n‘osent plus entretenir leurs vergers qui sont devenus le plat préféré des sangliers. Dans une pétition récemment expédiée aux autorités locales, ils insistent pour qu‘il y ait des battues afin de minimiser les dégâts qui sont énormes.