Pendant le Ramadhan, l'horloge biologique se dérègle à cause des changements des paramètres d'activité et de repos. Ce mois sacré exige une réorganisation alimentaire adaptée aux besoins du corps et de l'esprit. Nombreuses sont les maladies liées à une surabondance de l'alimentation. Le mois de Ramadhan est une opportunité fascinante pour accélérer la guérison de certains problèmes de santé, comme l'hypertension, l'asthme, l'allergie, les maux de tête chroniques, les ulcères gastriques, le diabète, les maladies cardio-vasculaires, l'arthrite rhumatoïde, les fibromes utérins, les tumeurs bénignes, les inflammations, pour ne citer que celles-ci. Le jeûne est un processus thérapeutique puissant car l'organisme à jeun se désintoxique et se purifie, et ses cellules se régénèrent et rajeunissent. Durant ce mois, un grand travail de libération s'opère aux niveaux physique, mental, émotionnel et spirituel. Comment s'alimenter durant le Ramadhan ? Pendant le Ramadhan, l'horloge biologique n'est plus en harmonie à cause des changements d'activité et de repos. Cette période requiert, donc, une réorganisation alimentaire des plus sérieuses, adaptée aux besoins du corps et de l'esprit du jeûneur, et qui devrait fait appel à une «chrono nutrition» consistant à optimiser sa nourriture quantitativement, qualitativement et chronologiquement. Gare aux excès de sucre direct, comme celui contenu dans les pâtisseries qui, non seulement se compte directement sur la balance, mais qui joue aussi un rôle de coupe-faim, ce qui finit par masquer notre véritable appétit et vous inciter à manger davantage ! Ainsi, les mets consommés doivent être équilibrés, contenant des aliments de chaque groupe alimentaire, c'est-à-dire des fruits, des légumes, de la viande (viande rouge, volaille et poisson), des céréales et des produits laitiers. Les fritures sont généralement malsaines et leur consommation devrait être limitée puisqu'elles ont tendance à provoquer des troubles de la digestion, en plus d'accentuer le poids. Parlant de poids, pour les gens soucieux de leur apparence et de leur corps, le Ramadhan est un moment idéal pour perdre des kilos en trop, ou au moins pour stabiliser leur poids. En effet, quand on jeûne, on contraint le corps à puiser dans ses réserves d'énergie. Cela tombe bien puisque ces réserves sont stockées dans la masse graisseuse dont nous nous débarrasserons volontiers. Nombre de nutritionnistes suggèrent à cet effet de consommer beaucoup de fruits et de légumes, aussi bien pour la rupture du jeûne (f'tour) que pour le repas de l'aube (s'hour). Il est aussi recommandé de boire de l'eau plate et d'éviter les boissons carbonatées. Il est également préférable de manger de la salade végétale avant de prendre des plats cuits car ça activerait les enzymes dans le corps et accélèrerait la digestion. Conseil de notre Prophète Le jeûne est salutaire pour la santé, s'il est, bien sûr, fait correctement et conformément aux instructions diététiques élémentaires. Et nul besoin d'aller très loin pour s'en convaincre. Notre Prophète ne nous l'a-t-il pas clairement recommandé en nous incitant à «Ne pas trop manger, en remplissant son estomac de plus du tiers de sa contenance.». Pendant le Ramadhan, l'horloge biologique se dérègle à cause des changements des paramètres d'activité et de repos. Ce mois sacré exige une réorganisation alimentaire adaptée aux besoins du corps et de l'esprit. Nombreuses sont les maladies liées à une surabondance de l'alimentation. Le mois de Ramadhan est une opportunité fascinante pour accélérer la guérison de certains problèmes de santé, comme l'hypertension, l'asthme, l'allergie, les maux de tête chroniques, les ulcères gastriques, le diabète, les maladies cardio-vasculaires, l'arthrite rhumatoïde, les fibromes utérins, les tumeurs bénignes, les inflammations, pour ne citer que celles-ci. Le jeûne est un processus thérapeutique puissant car l'organisme à jeun se désintoxique et se purifie, et ses cellules se régénèrent et rajeunissent. Durant ce mois, un grand travail de libération s'opère aux niveaux physique, mental, émotionnel et spirituel. Comment s'alimenter durant le Ramadhan ? Pendant le Ramadhan, l'horloge biologique n'est plus en harmonie à cause des changements d'activité et de repos. Cette période requiert, donc, une réorganisation alimentaire des plus sérieuses, adaptée aux besoins du corps et de l'esprit du jeûneur, et qui devrait fait appel à une «chrono nutrition» consistant à optimiser sa nourriture quantitativement, qualitativement et chronologiquement. Gare aux excès de sucre direct, comme celui contenu dans les pâtisseries qui, non seulement se compte directement sur la balance, mais qui joue aussi un rôle de coupe-faim, ce qui finit par masquer notre véritable appétit et vous inciter à manger davantage ! Ainsi, les mets consommés doivent être équilibrés, contenant des aliments de chaque groupe alimentaire, c'est-à-dire des fruits, des légumes, de la viande (viande rouge, volaille et poisson), des céréales et des produits laitiers. Les fritures sont généralement malsaines et leur consommation devrait être limitée puisqu'elles ont tendance à provoquer des troubles de la digestion, en plus d'accentuer le poids. Parlant de poids, pour les gens soucieux de leur apparence et de leur corps, le Ramadhan est un moment idéal pour perdre des kilos en trop, ou au moins pour stabiliser leur poids. En effet, quand on jeûne, on contraint le corps à puiser dans ses réserves d'énergie. Cela tombe bien puisque ces réserves sont stockées dans la masse graisseuse dont nous nous débarrasserons volontiers. Nombre de nutritionnistes suggèrent à cet effet de consommer beaucoup de fruits et de légumes, aussi bien pour la rupture du jeûne (f'tour) que pour le repas de l'aube (s'hour). Il est aussi recommandé de boire de l'eau plate et d'éviter les boissons carbonatées. Il est également préférable de manger de la salade végétale avant de prendre des plats cuits car ça activerait les enzymes dans le corps et accélèrerait la digestion. Conseil de notre Prophète Le jeûne est salutaire pour la santé, s'il est, bien sûr, fait correctement et conformément aux instructions diététiques élémentaires. Et nul besoin d'aller très loin pour s'en convaincre. Notre Prophète ne nous l'a-t-il pas clairement recommandé en nous incitant à «Ne pas trop manger, en remplissant son estomac de plus du tiers de sa contenance.».