A l'exception de quelques ministres dont l'activité est abondamment couverte par la presse nationale, notamment les médias publics lourds, la quasi- totalité des membres du gouvernement s'est distinguée par son absence de la scène nationale. Ces ministres ont sans doute préféré prolonger leurs vacances. A l'exception de quelques ministres dont l'activité est abondamment couverte par la presse nationale, notamment les médias publics lourds, la quasi- totalité des membres du gouvernement s'est distinguée par son absence de la scène nationale. Ces ministres ont sans doute préféré prolonger leurs vacances. Le gouvernement ne donne nullement l'impression d'avoir repris ses activités normales. Car une quinzaine de jours après être rentré de congé, qui s'est étalé du 25 juillet au 8 août, l'équipe d'Ahmed Ouyahia, le Premier ministre, se fait très discrète. Une discrétion tellement évidente que l'opinion publique nationale n'a pas manqué, à juste titre d'ailleurs, d'interpréter cette absence comme le signe concret du prolongement par des membres du gouvernement de leurs vacances. En effet, à l'exception de quelques ministres dont l'activité est abondamment couverte par la presse nationale, notamment les médias publics lourds, la quasi-totalité des membres du gouvernement s'est distinguée par son absence de la scène nationale. Ces ministres ont sans doute préféré prolonger leurs vacances. En effet, quelques rares ministres seulement se sont effectivement lancés dans le travail après leur retour de vacances. Il en est ainsi de Boubekeur Benbouzid, le ministre de l'Education nationale, de Djamal Ould Abbès, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Amar Tou, le ministre des Transports, Mustapha Benbada, le ministre du Commerce, Halim Benatallah, secrétaire d'Etat chargé de la communauté nationale à l'étranger ainsi que Amar Ghoul, le ministre des Travaux publics. Il faut dire que ces ministres ont déployé depuis le 9 août une intense activité. Boubekeur Benbouzid est, ainsi, sur tous les fronts. Le ministre de l'Education nationale s'attèlle à réunir les conditions, les meilleures, pour la prochaine rentrée scolaire, prévue le 13 septembre prochain. Djamal Ould Abbès a, comme à l'accoutumée, débordé d'activités en multipliant les visites, souvent inopinées, aux hopitaux pour s'enquérir de la situation d'un secteur qui connaît moult dysfonctionnements. Il semble même que le ministre de la Santé a bel et bien sacrifié ses vacances puisque même de la période allant du 25 juillet au 8 août il a effectué quelques visites d‘inspection. Et c'est un peu le même cas pour Amar Tou, le ministre des Transports, qui est rentrée de congé un peu plus tôt que ses collègues. Le ministre des Transports a, il faut le reconnaître, fort à faire avec les projets de réalisation du métro d'Alger, mais aussi des tramways dans différentes villes du pays. Des projets, dont la réalisation connaît d'importants retards qui induisent, qui plus est, des surcoûts qui se chiffrent souvent à des dizaines de milliards. Or le président de la République a beaucoup insisté sur la nécessité d'éviter les « réévaluations» des projets qui grèvent lourdement le budget de l'Etat. C'est dire combien sont grands les soucis de Amar Tou qui est passé, avant-hier, devant le président de la République dans le cadre des auditions des ministres. Cela dit des ministres n'ont donné aucun signe de vie depuis presque un mois, sinon plus. D'autres ministres ne se sont manifestés que le temps de leur audition par le chef de l'Etat avant de s'éclipser de nouveau. Dans ce registre l'on peut citer Youcef Youcefi, le ministre de l'Energie et des Mines qui semble ne pas affectionner les feux de la rampe. Abdelmalek Sellal est lui aussi dans ce même registre car, à l'exception de son apparition lors de sa présentation devant le président de la République d'un rapport détaillé sur le secteur de l'eau, il se fait de nouveau très discret. Comme c'est le cas aussi pour Daho Ould Kablia et de Mustapha Benbada, le ministre du Commerce, qui ne s'est manifesté lui aussi qu'une seule fois depuis son retour de congé. Benbada a effectué une visite au port d'Alger pour inspecter le travail des agents du ministère du Commerce qui mènent une lutte acharnée contre les importateurs véreux. Un autre ministre, Rachid Haraoubia, n'a pas du tout fait parler de lui alors que la rentrée universitaire est pour demain. Et Dieu seul sait que cette rentrée est toujours émaillée de différents incidents. L'opinion publique a aussi remarqué une absence totale de certains ministres qui ne se sont distingués par aucune activité officielle depuis fort longtemps déjà. Le cas de Abdelhamid Temmar est sur toutes les lèvres. Depuis sa nomination au poste de ministre de la Prospective et de la Statistique on ne lui connaît, en effet, aucune activité officielle. C'est le cas aussi du Nouara Djaâfar en dépit du protefeuille sensible qu'elle gère, celui de la famille. Saïd Barkat lui, a fait un tour puis s'en est allé. Il en est de même pour le ministre de la Jeunesse et des Sports et de Mourad Medelci. Cherif Abbas, mis à part le fait de déposer une gerbe de fleurs le 20 Août, n'a plus donné signe de vie. Quant à El Hadi Khaldi il y a longtemps qu'il est aux abonnés absents. Le président de la République saisira certainement l'occasion de la tenue, demain, d'une réunion du Conseil des ministres, pour tancer ses ministres car le mois de Ramadhan ne saurait justifier ce retrait des membres de l'Exécutif. Le gouvernement ne donne nullement l'impression d'avoir repris ses activités normales. Car une quinzaine de jours après être rentré de congé, qui s'est étalé du 25 juillet au 8 août, l'équipe d'Ahmed Ouyahia, le Premier ministre, se fait très discrète. Une discrétion tellement évidente que l'opinion publique nationale n'a pas manqué, à juste titre d'ailleurs, d'interpréter cette absence comme le signe concret du prolongement par des membres du gouvernement de leurs vacances. En effet, à l'exception de quelques ministres dont l'activité est abondamment couverte par la presse nationale, notamment les médias publics lourds, la quasi-totalité des membres du gouvernement s'est distinguée par son absence de la scène nationale. Ces ministres ont sans doute préféré prolonger leurs vacances. En effet, quelques rares ministres seulement se sont effectivement lancés dans le travail après leur retour de vacances. Il en est ainsi de Boubekeur Benbouzid, le ministre de l'Education nationale, de Djamal Ould Abbès, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Amar Tou, le ministre des Transports, Mustapha Benbada, le ministre du Commerce, Halim Benatallah, secrétaire d'Etat chargé de la communauté nationale à l'étranger ainsi que Amar Ghoul, le ministre des Travaux publics. Il faut dire que ces ministres ont déployé depuis le 9 août une intense activité. Boubekeur Benbouzid est, ainsi, sur tous les fronts. Le ministre de l'Education nationale s'attèlle à réunir les conditions, les meilleures, pour la prochaine rentrée scolaire, prévue le 13 septembre prochain. Djamal Ould Abbès a, comme à l'accoutumée, débordé d'activités en multipliant les visites, souvent inopinées, aux hopitaux pour s'enquérir de la situation d'un secteur qui connaît moult dysfonctionnements. Il semble même que le ministre de la Santé a bel et bien sacrifié ses vacances puisque même de la période allant du 25 juillet au 8 août il a effectué quelques visites d‘inspection. Et c'est un peu le même cas pour Amar Tou, le ministre des Transports, qui est rentrée de congé un peu plus tôt que ses collègues. Le ministre des Transports a, il faut le reconnaître, fort à faire avec les projets de réalisation du métro d'Alger, mais aussi des tramways dans différentes villes du pays. Des projets, dont la réalisation connaît d'importants retards qui induisent, qui plus est, des surcoûts qui se chiffrent souvent à des dizaines de milliards. Or le président de la République a beaucoup insisté sur la nécessité d'éviter les « réévaluations» des projets qui grèvent lourdement le budget de l'Etat. C'est dire combien sont grands les soucis de Amar Tou qui est passé, avant-hier, devant le président de la République dans le cadre des auditions des ministres. Cela dit des ministres n'ont donné aucun signe de vie depuis presque un mois, sinon plus. D'autres ministres ne se sont manifestés que le temps de leur audition par le chef de l'Etat avant de s'éclipser de nouveau. Dans ce registre l'on peut citer Youcef Youcefi, le ministre de l'Energie et des Mines qui semble ne pas affectionner les feux de la rampe. Abdelmalek Sellal est lui aussi dans ce même registre car, à l'exception de son apparition lors de sa présentation devant le président de la République d'un rapport détaillé sur le secteur de l'eau, il se fait de nouveau très discret. Comme c'est le cas aussi pour Daho Ould Kablia et de Mustapha Benbada, le ministre du Commerce, qui ne s'est manifesté lui aussi qu'une seule fois depuis son retour de congé. Benbada a effectué une visite au port d'Alger pour inspecter le travail des agents du ministère du Commerce qui mènent une lutte acharnée contre les importateurs véreux. Un autre ministre, Rachid Haraoubia, n'a pas du tout fait parler de lui alors que la rentrée universitaire est pour demain. Et Dieu seul sait que cette rentrée est toujours émaillée de différents incidents. L'opinion publique a aussi remarqué une absence totale de certains ministres qui ne se sont distingués par aucune activité officielle depuis fort longtemps déjà. Le cas de Abdelhamid Temmar est sur toutes les lèvres. Depuis sa nomination au poste de ministre de la Prospective et de la Statistique on ne lui connaît, en effet, aucune activité officielle. C'est le cas aussi du Nouara Djaâfar en dépit du protefeuille sensible qu'elle gère, celui de la famille. Saïd Barkat lui, a fait un tour puis s'en est allé. Il en est de même pour le ministre de la Jeunesse et des Sports et de Mourad Medelci. Cherif Abbas, mis à part le fait de déposer une gerbe de fleurs le 20 Août, n'a plus donné signe de vie. Quant à El Hadi Khaldi il y a longtemps qu'il est aux abonnés absents. Le président de la République saisira certainement l'occasion de la tenue, demain, d'une réunion du Conseil des ministres, pour tancer ses ministres car le mois de Ramadhan ne saurait justifier ce retrait des membres de l'Exécutif.