En ce mois du carême, qui est censé être placé sous le signe de la spiritualité et du sacré dédié à Dieu. Les comportements des jeûneurs algérois laissent beaucoup à désirer en la matière, fumeurs et autres n'arrivant pas à maitrîser leurs nerfs même très tôt le matin, avec un pic en fin d'après-midi où les jeûneurs sont littéralement sur le point d'exploser à la moindre "supposée" provocation. Des bagarres éclatent à tout bout du champ et finissent parfois très mal leurs acteurs, aveuglés par les manques, n'hésitant pas à utiliser des armes blanche mettant en péril la vie de ceux qui tenteraient d'intervenir. Ces bagarres se déclenchent, trop souvent, pour des futilités ; dans une chaîne devant une boulangerie, une boucherie ou un quelconque commerce (pour des problèmes de bousculades), de respect de tour, ou autres. Il sont donc très nombreux ceux qui cherche la petite bête à autrui pour déstresser et libérer le trop-plein de frustrations, surtout à quelques heures de la rupture du jeûne. Entre voisins, entre conducteurs sur les routes, au marché, ce genre de bagarres se retrouvent partout. La violence durant le mois de Ramadhan ne cesse de prendre une ampleur de plus en plus inquiétante à Alger, surtout comme déjà dit plus haut que ces énergumènes n'hésitent pas à faire appel aux armes blanches. L'affrontement verbal et les provocations en tous genres constituent le quotidien du Ramadhan des Algérois. Un simple incident se transforme en rixe. Les victimes de la violence et du stress du jeûne sont nombreuses. Rien qu'avant-hier les riverains et les passants ont eu droit, à El Biar, à un flot de grossièretés et insanités débitées par un jeune homm. Comme l'action se déroulait devant un magasin tenu par des demoiselles, le gérant des lieux s'est senti obligé de demander au jeune homme de mettre une sourdine ou de s'éloigner du magasin. Cette intervention lui a coûté très cher, puisqu'au retour de la rupture du jeûne, il a eu la désagréable surprise de trouver les façades de son magasin vandalisées. Ces violence se voient, quotidiennement, dans les rues de la capitale et elles peuvent se terminant hélas, trop souvent, par des blessés ou même pire. En ce mois du carême, qui est censé être placé sous le signe de la spiritualité et du sacré dédié à Dieu. Les comportements des jeûneurs algérois laissent beaucoup à désirer en la matière, fumeurs et autres n'arrivant pas à maitrîser leurs nerfs même très tôt le matin, avec un pic en fin d'après-midi où les jeûneurs sont littéralement sur le point d'exploser à la moindre "supposée" provocation. Des bagarres éclatent à tout bout du champ et finissent parfois très mal leurs acteurs, aveuglés par les manques, n'hésitant pas à utiliser des armes blanche mettant en péril la vie de ceux qui tenteraient d'intervenir. Ces bagarres se déclenchent, trop souvent, pour des futilités ; dans une chaîne devant une boulangerie, une boucherie ou un quelconque commerce (pour des problèmes de bousculades), de respect de tour, ou autres. Il sont donc très nombreux ceux qui cherche la petite bête à autrui pour déstresser et libérer le trop-plein de frustrations, surtout à quelques heures de la rupture du jeûne. Entre voisins, entre conducteurs sur les routes, au marché, ce genre de bagarres se retrouvent partout. La violence durant le mois de Ramadhan ne cesse de prendre une ampleur de plus en plus inquiétante à Alger, surtout comme déjà dit plus haut que ces énergumènes n'hésitent pas à faire appel aux armes blanches. L'affrontement verbal et les provocations en tous genres constituent le quotidien du Ramadhan des Algérois. Un simple incident se transforme en rixe. Les victimes de la violence et du stress du jeûne sont nombreuses. Rien qu'avant-hier les riverains et les passants ont eu droit, à El Biar, à un flot de grossièretés et insanités débitées par un jeune homm. Comme l'action se déroulait devant un magasin tenu par des demoiselles, le gérant des lieux s'est senti obligé de demander au jeune homme de mettre une sourdine ou de s'éloigner du magasin. Cette intervention lui a coûté très cher, puisqu'au retour de la rupture du jeûne, il a eu la désagréable surprise de trouver les façades de son magasin vandalisées. Ces violence se voient, quotidiennement, dans les rues de la capitale et elles peuvent se terminant hélas, trop souvent, par des blessés ou même pire.