Le phénomène de l'exode rural transforme les villages de la wilaya de Boumerdès en localités fantômes. Plusieurs villages se sont vidés et les habitants qui y vivotaient ont quitté carrément la vie rurale. Le phénomène de l'exode rural transforme les villages de la wilaya de Boumerdès en localités fantômes. Plusieurs villages se sont vidés et les habitants qui y vivotaient ont quitté carrément la vie rurale. La décennie noire dans laquelle l'Algérie a été plongée, ainsi que la malvie sont en grande partie, la raison d'un exode massif jamais enregistré depuis l'indépendance. L'isolement et l'enclavement ainsi le manque de commodités de base sont, encore quelques raisons dudit exode. Les moyens de transports font défaut, les routes sont détériorées, absence d'infrastructures éducatives, d'infrastructures sanitaires, absence de foyers de jeunes, bref, les villageois sont confrontés journellement à un quotidien des plus durs. Par conséquent, les villageois vivent dans le marasme et le sous développement et préfèrent quitter leurs terres pour des cieux plus cléments. Outre cela, l'on trouve des villageois qui ont carrément quitté le pays vers d'autres contrées de la terre et ne sont pas encore revenus. Car, pour eux, le cadre de vie ne fait que se dégrader et la situation sécuritaire en rajoute un peu plus.. Plusieurs projets de développement sont gelés et les investisseurs boudent de plus en plus les régions où l'insécurité règne. Les politiques de repeuplement du gouvernement, semblent loin d'atteindre l'effet escompté. Exemple : le programme de l'habitat rural dans la wilaya de Boumerdès piétine, d'ailleurs c'est le constat fait par le ministre de l'habitat M. Nordine Moussa, lors de sa visite à Boumerdès en mois du mai dernier. Plusieurs lacunes particulièrement celles liées au foncier sont à l'origine du blocage dudit programme. De ce fait, l'engouement de la population s'amoindrit. Autre exemple, le plan de proximité de développement rurale intégré (PPDRI), semble loin d'offrir un confort pour les villageois. Plusieurs contrées lointaines n'ont pas été concernées par ce programme voire exclu définitivement à l'instar de Chabet El Ameur qui n'a pas été considérée comme rurale pendant des années durant. Les pouvoirs publics ont affecté récemment un programme PPDRI avec un montant de trois milliards à cette commune mais aux yeux des villageois, ce programme ne va pas résoudre les problèmes dans lesquels se débat leur commune depuis près de trente ans. Exemple de villages vidés par ses habitants au cours des deux dernières décennies : le village Ouled Ali dans la commune de Thénia, s'est totalement vidé. Actuellement, selon le P/APC de ladite municipalité, il reste uniquement cinq familles qui y vivent, pourtant, c'est le village le plus doté en commodités de bases telles qu'une antenne postale, une salle de soin, un primaire et infrastructures routières en bons états. Les raisons de l'exode sont multiples, au premier plan la dégradation sécuritaire au niveau de cette contrée qui est longtemps considérée parmi les fiefs traditionnels de la nébuleuse terroriste dans toute la région. L'exploitation effrénée des carrières d'agrégats qui nuisent le quotidien des villageois et qui constitue un danger de santé publique du fait de la poussière qui s'y dégage. Les détonations des explosifs utilisés pour l'extraction du sable ont causé d'énormes fissures aux habitations. Pour son repeuplement, le P/APC nous a déclaré que les villageois avaient exprimés leurs souhaits de retrouver leurs terres une fois le réseau électrique rétabli. Quelques hameaux, par ailleurs, se trouvant au pied des monts de Sidi Ali Bounab, dans la commune de Naciria, sont vidés par leurs habitants en raisons de l'enclavement et d'absences de commodités de vie et incursions terroristes. Dans la commune de Chabet El Ameur, le village Béni Ibrahim, s'est vidé totalement particulièrement au milieu des années 90 au moment où le terrorisme battait son plein. Aujourd'hui, plusieurs familles ont regagné leurs terres mais l'enclavement dudit village n'incite point les autres à revenir. Il est le village le plus démuni de la localité, il est tout juste doté d'une école primaire construite au début des années 80. Il n'a toujours pas deréseau AEP, et le problèmede l'eau se pose avec acuité. Le centre de soins reste toujours fermé et les responsables locauxn'ont toujours pas procédé à son ouverture sous prétexte de la situation sécuritaire. Les travaux de revêtement de la route lancée récemment par l'APC sont à l'arrêt. En conclusion, plusieurs villages à Boumerdès souffrent d'enclavement chronique et se confinent dans un exode chronique qui le maintient t dans la même situation d'avant le déclenchement de la lutte de Libération T. O. La décennie noire dans laquelle l'Algérie a été plongée, ainsi que la malvie sont en grande partie, la raison d'un exode massif jamais enregistré depuis l'indépendance. L'isolement et l'enclavement ainsi le manque de commodités de base sont, encore quelques raisons dudit exode. Les moyens de transports font défaut, les routes sont détériorées, absence d'infrastructures éducatives, d'infrastructures sanitaires, absence de foyers de jeunes, bref, les villageois sont confrontés journellement à un quotidien des plus durs. Par conséquent, les villageois vivent dans le marasme et le sous développement et préfèrent quitter leurs terres pour des cieux plus cléments. Outre cela, l'on trouve des villageois qui ont carrément quitté le pays vers d'autres contrées de la terre et ne sont pas encore revenus. Car, pour eux, le cadre de vie ne fait que se dégrader et la situation sécuritaire en rajoute un peu plus.. Plusieurs projets de développement sont gelés et les investisseurs boudent de plus en plus les régions où l'insécurité règne. Les politiques de repeuplement du gouvernement, semblent loin d'atteindre l'effet escompté. Exemple : le programme de l'habitat rural dans la wilaya de Boumerdès piétine, d'ailleurs c'est le constat fait par le ministre de l'habitat M. Nordine Moussa, lors de sa visite à Boumerdès en mois du mai dernier. Plusieurs lacunes particulièrement celles liées au foncier sont à l'origine du blocage dudit programme. De ce fait, l'engouement de la population s'amoindrit. Autre exemple, le plan de proximité de développement rurale intégré (PPDRI), semble loin d'offrir un confort pour les villageois. Plusieurs contrées lointaines n'ont pas été concernées par ce programme voire exclu définitivement à l'instar de Chabet El Ameur qui n'a pas été considérée comme rurale pendant des années durant. Les pouvoirs publics ont affecté récemment un programme PPDRI avec un montant de trois milliards à cette commune mais aux yeux des villageois, ce programme ne va pas résoudre les problèmes dans lesquels se débat leur commune depuis près de trente ans. Exemple de villages vidés par ses habitants au cours des deux dernières décennies : le village Ouled Ali dans la commune de Thénia, s'est totalement vidé. Actuellement, selon le P/APC de ladite municipalité, il reste uniquement cinq familles qui y vivent, pourtant, c'est le village le plus doté en commodités de bases telles qu'une antenne postale, une salle de soin, un primaire et infrastructures routières en bons états. Les raisons de l'exode sont multiples, au premier plan la dégradation sécuritaire au niveau de cette contrée qui est longtemps considérée parmi les fiefs traditionnels de la nébuleuse terroriste dans toute la région. L'exploitation effrénée des carrières d'agrégats qui nuisent le quotidien des villageois et qui constitue un danger de santé publique du fait de la poussière qui s'y dégage. Les détonations des explosifs utilisés pour l'extraction du sable ont causé d'énormes fissures aux habitations. Pour son repeuplement, le P/APC nous a déclaré que les villageois avaient exprimés leurs souhaits de retrouver leurs terres une fois le réseau électrique rétabli. Quelques hameaux, par ailleurs, se trouvant au pied des monts de Sidi Ali Bounab, dans la commune de Naciria, sont vidés par leurs habitants en raisons de l'enclavement et d'absences de commodités de vie et incursions terroristes. Dans la commune de Chabet El Ameur, le village Béni Ibrahim, s'est vidé totalement particulièrement au milieu des années 90 au moment où le terrorisme battait son plein. Aujourd'hui, plusieurs familles ont regagné leurs terres mais l'enclavement dudit village n'incite point les autres à revenir. Il est le village le plus démuni de la localité, il est tout juste doté d'une école primaire construite au début des années 80. Il n'a toujours pas deréseau AEP, et le problèmede l'eau se pose avec acuité. Le centre de soins reste toujours fermé et les responsables locauxn'ont toujours pas procédé à son ouverture sous prétexte de la situation sécuritaire. Les travaux de revêtement de la route lancée récemment par l'APC sont à l'arrêt. En conclusion, plusieurs villages à Boumerdès souffrent d'enclavement chronique et se confinent dans un exode chronique qui le maintient t dans la même situation d'avant le déclenchement de la lutte de Libération T. O.