Près de trois semaines se sont déjà écoulées depuis le début du mois de Ramadhan et des milliers de familles algéroises démunies attendent toujours l'aide promise. Près de trois semaines se sont déjà écoulées depuis le début du mois de Ramadhan et des milliers de familles algéroises démunies attendent toujours l'aide promise. Pour des problèmes administratifs touchant leurs assemblées populaires communales, les communes respectivement de La casbah, Gué de Constantine et Bab Ezzouar, n'ont tpujours pas remis les couffins du Ramadhan aux familles nécessiteuses. La commune de La Casbah, elle est sans P/APC depuis quelques mois déjà, puisque ce dernier a été dégommé par le wali délégué de Bab El-Oued. Les habitants de La Casbah, notamment ceux nécessiteux sont donc perdus en l'absence d'un président d'APC qui a lui seul les prérogatives concernant toutes les questions relatives à la gestion de la commune dont la signature des budgets accordés pour les actions sociales et la solidarité, tel le couffin du Ramadhan. Des blocages pénalisant les familles Il est à noter que les habitants ont sollicité, selon certains citoyens, à maintes reprises les responsables de la commune qui disent, selon eux « attendre la décision du wali délégué de la daïra de Bab El-Oued ou encore la wilaya d'Alger » qui devrait selon un responsable contacté par le Midi Libre, « régler très prochainement cette question dans le but de distribuer le plus tôt possible ces aides aux familles nécessiteuses qui dépassent les 2 mille dans la localité». Les habitants de la commune de Gué de Constantine, qui elle aussi connaît ce même blocage, vu que le président de l'APC a été lui aussi viré de son poste accompagné de l'un de ses vice- présidents, attendent toujours de voir leurs aides arriver en dépit du fait que le mois s'achèvera dans à peine dix jours. « les familles démunies de notre commune, n'ont hélas pas passé ces vingt jours du mois sacré dignement comme toutes les autres familles algéroises, je connais des familles qui n'ont pas pu se permettre même un seul plat durant ce mois et plusieurs associations algéroises, Les associations à l'instar d'Afak ont procédé à la collecte de dons pour aider quelques familles, mais le nombre des familles, selon des chiffres officieux, dépasserait les 1.800 familles et cela n'est pas dans les capacité financières de ces organisations de pouvoir répondre à toutes ces demandes, nous dira le président de l'association Afak. Il faut dire que cette commune compte un nombre très important d'habitations précaires et de bidonvilles et de ce fait des milliers de familles pauvres. 1.700 familles continuent d'espèrer une aide La commune de Bab Ezzouar, de son côté, qui abrite plus de 1.700 familles démunies, n'a jusqu'à ce jour pas encore distribué les couffins de Ramadhan, ni attribué les aides aux familles nécessiteuses, toujours pour une question de blocage dans les procédures administratives, vu que treize membres de l'assemblée populaire communale de Bab Ezzouar ont retiré leur confiance à leur président, qui a lui aussi, seul le droit de signer les budgets accordés aux actions sociales, laissant les familles nécessiteuses toujours dans le besoin en ce mois où les dépenses augmentent. L'âme demande plus, mais aussi à l'approche de deux occasions aussi coûteuses que le mois sacré et la fête de l'Aïd el-fitr et la rentrée scolaire, dont les besoins à l'instar des habits et des affaires scolaires atteignent déjà le plafond en matière de prix. Ces milliers de familles qui déjà dans en temps normal, n'arrivaient pas à répondre à leurs besoins quotidiens, reitèrent leurs appels aux autorités concernées notamment les responsables de la wilaya d'Alger pour se pencher sur leurs situations en leurs accordant, rapidement, ces aides et leur permettre de pouvoir terminer ce mois dignement comme toutes les autres familles algéroises. Il est à noter que ces communes n'ont cette année, pas ouvert les restos de la Rahma pour les mêmes raisons. C'est des personnes charitables qui ont pros l'initiative d'ouvrir ces derniers pour accueillir les personnes de passage, celles nécessiteuses en leur offrant un repas chaud chaque soir. Pour des problèmes administratifs touchant leurs assemblées populaires communales, les communes respectivement de La casbah, Gué de Constantine et Bab Ezzouar, n'ont tpujours pas remis les couffins du Ramadhan aux familles nécessiteuses. La commune de La Casbah, elle est sans P/APC depuis quelques mois déjà, puisque ce dernier a été dégommé par le wali délégué de Bab El-Oued. Les habitants de La Casbah, notamment ceux nécessiteux sont donc perdus en l'absence d'un président d'APC qui a lui seul les prérogatives concernant toutes les questions relatives à la gestion de la commune dont la signature des budgets accordés pour les actions sociales et la solidarité, tel le couffin du Ramadhan. Des blocages pénalisant les familles Il est à noter que les habitants ont sollicité, selon certains citoyens, à maintes reprises les responsables de la commune qui disent, selon eux « attendre la décision du wali délégué de la daïra de Bab El-Oued ou encore la wilaya d'Alger » qui devrait selon un responsable contacté par le Midi Libre, « régler très prochainement cette question dans le but de distribuer le plus tôt possible ces aides aux familles nécessiteuses qui dépassent les 2 mille dans la localité». Les habitants de la commune de Gué de Constantine, qui elle aussi connaît ce même blocage, vu que le président de l'APC a été lui aussi viré de son poste accompagné de l'un de ses vice- présidents, attendent toujours de voir leurs aides arriver en dépit du fait que le mois s'achèvera dans à peine dix jours. « les familles démunies de notre commune, n'ont hélas pas passé ces vingt jours du mois sacré dignement comme toutes les autres familles algéroises, je connais des familles qui n'ont pas pu se permettre même un seul plat durant ce mois et plusieurs associations algéroises, Les associations à l'instar d'Afak ont procédé à la collecte de dons pour aider quelques familles, mais le nombre des familles, selon des chiffres officieux, dépasserait les 1.800 familles et cela n'est pas dans les capacité financières de ces organisations de pouvoir répondre à toutes ces demandes, nous dira le président de l'association Afak. Il faut dire que cette commune compte un nombre très important d'habitations précaires et de bidonvilles et de ce fait des milliers de familles pauvres. 1.700 familles continuent d'espèrer une aide La commune de Bab Ezzouar, de son côté, qui abrite plus de 1.700 familles démunies, n'a jusqu'à ce jour pas encore distribué les couffins de Ramadhan, ni attribué les aides aux familles nécessiteuses, toujours pour une question de blocage dans les procédures administratives, vu que treize membres de l'assemblée populaire communale de Bab Ezzouar ont retiré leur confiance à leur président, qui a lui aussi, seul le droit de signer les budgets accordés aux actions sociales, laissant les familles nécessiteuses toujours dans le besoin en ce mois où les dépenses augmentent. L'âme demande plus, mais aussi à l'approche de deux occasions aussi coûteuses que le mois sacré et la fête de l'Aïd el-fitr et la rentrée scolaire, dont les besoins à l'instar des habits et des affaires scolaires atteignent déjà le plafond en matière de prix. Ces milliers de familles qui déjà dans en temps normal, n'arrivaient pas à répondre à leurs besoins quotidiens, reitèrent leurs appels aux autorités concernées notamment les responsables de la wilaya d'Alger pour se pencher sur leurs situations en leurs accordant, rapidement, ces aides et leur permettre de pouvoir terminer ce mois dignement comme toutes les autres familles algéroises. Il est à noter que ces communes n'ont cette année, pas ouvert les restos de la Rahma pour les mêmes raisons. C'est des personnes charitables qui ont pros l'initiative d'ouvrir ces derniers pour accueillir les personnes de passage, celles nécessiteuses en leur offrant un repas chaud chaque soir.