Originaire d'Oran cette jeune femme de 30 ans, a débuté l'aventure avec les enfants SOS depuis plus de 06 ans, elle est devenue aujourd'hui parmi l'une des favorites pour ces enfants sans famille. Originaire d'Oran cette jeune femme de 30 ans, a débuté l'aventure avec les enfants SOS depuis plus de 06 ans, elle est devenue aujourd'hui parmi l'une des favorites pour ces enfants sans famille. Midi Libre : comment a débuté votre aventure avec le village SOS de Draria ? Fadila : Le faite de dire que c'est des enfants privés de famille naturellement ce sont des cas sociaux et ils sont bien nombreux dans notre société, ce qui fait que chacun d'entre eux a sa propose histoire. Je suis une maman SOS depuis six ans. A mon arrivée à Alger en 2004 avec une donatrice pour visiter le centre, je l'ai accompagné . Je ne peux vous expliquer ce que j'ai ressenti, mais quelque chose m'a attiré . Quel était le point de vue de votre famille par rapport à votre choix ? Au début mon père était contre, vue que je devais partir seule , certes cela a été très difficile de les convaincre. Cependant leurs visites au village a changé leurs visions des choses et ils viennent aujourd'hui beaucoup plus souvent, comme si les grands parents venaient rendre visite à leurs petits enfants. Avez-vous été formé pour accomplir cette tâche? J'ai eu deux ans de formation au niveau du village et cela pour avoir le titre de maman SOS. Mais il y a aussi d'autres formations que l'on appelle les formations continuelles : la gestion de la maison, sur les difficultés des jeunes et les pré ados et celle de la psychologie de l'enfant. Cela m'a beaucoup aidé, ces dernières soutenues par ma propre éducation et les valeurs que mes parents m‘ont inculquées. Il m'arrive de revenir vers ma mère pour qu'elle me conseille. Avoir la responsabilité de huit enfant n'est pas chose aisée, comment arrivez vous à faire la part des chose quotidiennement ? Etre une maman SOS ce n'ai pas facile, mais si on est motivé on peut réussir à trouver la force de vouloir toujours faire mieux. Pour cela, je dispose d'une autonomie presque totale pour gérer mon foyer. Le coté psychologique est très important pour moi, il faut approcher l'enfant et être là pour eux. A la veille de l'Aid El Fitr, comment se déroulent les préparatifs? Nous préparons cette fête comme chaque famille algérienne, l'achat de vêtements neufs pour les enfants, je vais les prendre avec moi et ils auront la liberté de choisir ce qu'ils veulent porter le jour de l'Aid. Et pour la préparation des gâteaux, ce sera le 27è jour du ramadan (Laylet El Kadr) et cela avec l'aide de mes filles. Propos recueillis par K. H. Midi Libre : comment a débuté votre aventure avec le village SOS de Draria ? Fadila : Le faite de dire que c'est des enfants privés de famille naturellement ce sont des cas sociaux et ils sont bien nombreux dans notre société, ce qui fait que chacun d'entre eux a sa propose histoire. Je suis une maman SOS depuis six ans. A mon arrivée à Alger en 2004 avec une donatrice pour visiter le centre, je l'ai accompagné . Je ne peux vous expliquer ce que j'ai ressenti, mais quelque chose m'a attiré . Quel était le point de vue de votre famille par rapport à votre choix ? Au début mon père était contre, vue que je devais partir seule , certes cela a été très difficile de les convaincre. Cependant leurs visites au village a changé leurs visions des choses et ils viennent aujourd'hui beaucoup plus souvent, comme si les grands parents venaient rendre visite à leurs petits enfants. Avez-vous été formé pour accomplir cette tâche? J'ai eu deux ans de formation au niveau du village et cela pour avoir le titre de maman SOS. Mais il y a aussi d'autres formations que l'on appelle les formations continuelles : la gestion de la maison, sur les difficultés des jeunes et les pré ados et celle de la psychologie de l'enfant. Cela m'a beaucoup aidé, ces dernières soutenues par ma propre éducation et les valeurs que mes parents m‘ont inculquées. Il m'arrive de revenir vers ma mère pour qu'elle me conseille. Avoir la responsabilité de huit enfant n'est pas chose aisée, comment arrivez vous à faire la part des chose quotidiennement ? Etre une maman SOS ce n'ai pas facile, mais si on est motivé on peut réussir à trouver la force de vouloir toujours faire mieux. Pour cela, je dispose d'une autonomie presque totale pour gérer mon foyer. Le coté psychologique est très important pour moi, il faut approcher l'enfant et être là pour eux. A la veille de l'Aid El Fitr, comment se déroulent les préparatifs? Nous préparons cette fête comme chaque famille algérienne, l'achat de vêtements neufs pour les enfants, je vais les prendre avec moi et ils auront la liberté de choisir ce qu'ils veulent porter le jour de l'Aid. Et pour la préparation des gâteaux, ce sera le 27è jour du ramadan (Laylet El Kadr) et cela avec l'aide de mes filles. Propos recueillis par K. H.